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Macaque

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  • Premier article le 06/06/2012
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Derniers commentaires



  • macaque 26 janvier 2012 19:11

    Je n’ai pas compris la démonstration.
    Vous dîtes :

    Pour en revenir à la réélection de Chirac en 2002, le résultat aurait été rigoureusement le même en ce qui concerne le pourcentage des voix obtenu par chacun des deux candidats…

    Et si le P.S. avait demandé à ses électeurs de voter blanc ? Même chose [...]

    Cela me semble totalement faux. On peut dire que le vote blanc donne le même résultat en % que l’abstention mais pas qu’un autre vote.
    Je m’explique, si 18% de Le Pen représentant 18 voix, il y avait donc 82 voix pour Chirac dans les suffrages exprimés (non nuls).
    Donc si parmis les 82 voix de Chirac, mettons 41 avait choisi de voté blanc (ou nul puisque c’est la même chose). Alors le pourcentage de Le Pen aurait été de 30,5%.

    Donc soit j’ai loupé un truc et je vous prie de l’expliquer, soit ce qui me semble être le fond de cet article est faux.



  • macaque 9 janvier 2012 13:05

    Si je suis d’accord avec l’article sur le fait de dénoncer la démagogie et le système d’oligarchie actuelle qui peut prendre des décisions sans être capable de (ou sans vouloir) les expliquer, attention à ne pas tomber dans l’excès de démagogie inverse.
    Pour reprendre l’exemple d’Airbus, oui c’est vrai si une entreprise paie ses salariés moins chers, elle devient plus compétitive. Si on avait le même salaire en France que dans les pays en voies de développement nos entreprises seraient plus compétitives. Est-ce pour autant souhaitable ?
    Et le passage sur la France un des pays les plus prospères quand elle possédait sa propre monnaie, n’est-ce pas vraiment de la pure démagogie pour le coup ?
    Il me semble que certains classes encore la France 2ième pays le plus riche d’Europe et 5ième du monde. Après je suis bien d’accord que richesse (au sens économique) est différent de prospérité et que l’on devrait peut être parfois s’intéresser un peu moins aux PIB par habitant. Et même sans revenir sur le « c’était mieux avant », peut être qu’au lieu de s’intéresser à la chute, il faudrait mieux s’interroger sur le fait que l’euro l’a accéléré ou ralenti ?



  • macaque 7 janvier 2012 19:44

    Je trouve dommage que l’on critique la TVA sociale en n’expliquant pas clairement les arguments adverses (volontairement ou involontairement ?). Bien que n’ayant pas jamais fait d’économie, je vais me faire l’avocat du « diable » et expliquer ce que j’ai retenu du point de vue adverse, en essayant de lui rester fidèle le temps que je pourrais.

    L’idée de la TVA sociale est donc de déplacer une partie des charges sociales entre la taxation du travail et la taxation de la consommation.
    L’hypothèse de base avancée (avec laquelle on peut ne pas être d’accord mais comment expliqué ce désaccord sans nommée cette hypothèse) est que ce déplacement des charges peut se faire sans augmentation du prix des produits ni baisse des salaires (enfin logiquement une petite hausse des prix des produits importés et une baisse de ceux importés).
    Grâce au système si parfait de la concurence, en réduisant les charges liées à la production des biens et des services, les prix HT diminueront d’autant et du coup la hausse de la TVA sur ceux-ci sera transparente.

    Cela exclu les produits d’importations qui verront eux leur prix augmenter, mais on pourrait argumenter que si la balance reste à l’équilibre, cette augmentation des prix des produits importés permettra une baisse de ceux produits sur le territoire.

    Bien sûr (mais là je ne suis plus vraiment du côté que j’avais indiqué essayer de défendre), les produits que nous exporterons ne participeront plus à la protection sociale et viendront donc déséquilibrer cette balance.

    Donc même en faisant l’hypothèse (absurde ?) que les entreprises réduiront d’autant leur prix que leur charge diminue, on fait donc plus ou moins porter aux  consommateurs (via une taxation des produits importés) une baisse du prix des produits exportés.

    Mais cette augmentation des prix, du moins il nous l’est promis, nous donnera un fort gain de compétitivité qui compensera facilement tout cela.



  • macaque 21 décembre 2011 18:29

    Merci Marc Bruxmanje partage votre avis, il faut savoir choisir le langage qu’on va utiliser en fonction de ce qu’on veut faire.

    Certains langage permettent de faire certaines choses en quelques minutes avec très peu de lignes de codes alors qu’il faudrait plusieurs jours pour le coder avec un autre langage.
    Et certains langage permettent d’introduire beaucoup moins d’erreur que d’autres et permettent de construire des applications très complexes (même avec des développeurs moyen).

    Pourquoi passer trois jours a développer une application en C que l’on exécutera une fois en 1ms alors que l’on l’on peut faire en 3 minutes un script groovy qui s’exécutera en 1seconde mais fera la même choses.
    A contrario essayer de développer une application très complexe avec de nombreux développeurs sans aucun typage ne serait pas plus intelligent. Le jour on l’on voudrait intégrer tout cela ensemble il y aurait des tas d’erreurs de partout sans que l’on puisse savoir d’où elles viennent.

    Un bon nombre de vos commentaires laissent penser que vous imaginer que le développement ce résume à des applications clientes du type « word ».
    Une grande partie des développements actuelles se concentrent en réalité sur des applications serveurs qui forment des systèmes complexes avec un grand nombre d’échanges de données.
    Un techno comme java qui doit ça réputation de lenteur en grande partie à sa phase de démarrage en souffre beaucoup moins sur des applications qui ne s’arrêtent pas pendant plusieurs jours. Alors qu’une petite fuite mémoire C sur de telle application devient beaucoup plus problématique.

    Les applications actuelles passent de main en main et même d’entreprise en entreprise. On développe et corrige certaines parties sans avoir le temps de savoir comment le reste fonctionne.
    Alors oui il faut souvent mieux écrire un code clair que faire une optimisation qui sera efficace mais le rendra difficilement compréhensible.

    Aucun développeur n’est parfait, il lui arrivera toujours de faire une petite erreur. Et si un langage permet d’en évité un grand nombre et évite de passer plusieurs semaines à comprendre d’où vient cette segmentation fault sur le système en production, alors ce langage à son intérêt, même s’il est plus lent.

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