• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Manu

Manu

37 ans, terrien.

Tableau de bord

  • Premier article le 16/08/2005
  • Modérateur depuis le 12/10/2005
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 6 267 164
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 0 0 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique









Derniers commentaires



  • Manu Manu 18 décembre 2009 21:51

    Bonsoir.

    Normalement, l’intérêt d’un site comme Agoravox, ce sont les commentaires qui permettent de critiquer l’article.

    Or, je ne lis que des attaques !

    Quand je lis que l’article est : « bourré d’erreurs, d’approximations et de sources qui l’arrangent car elles ont été corrigées depuis », il serai extrêmement intéresssant de préciser lesquelles afin que chacun puisse en juger.

    pour approfondir le débat, voici un lien vers un forum d’un site loin d’être climato-sceptique : le moins que l’on puisse dire, c’est le consensus n’est pas de mise !



  • Manu Manu 26 novembre 2009 20:22

    Ce que je trouve important dans l’idée de collège voire lycée unique, c’est que chaque élève sorte du système en ayant vu les mêmes thèmes, matières, concepts, en un mot le même programme.

    Je précise que dans mon idée de tronc commun général, il se doit d’exister des portes de sortie en fin de cycle (primaire, collège, lycée, etc.) qui permettent ensuite d’intégrer des parcours spécialisés.

    Pour autant, ça ne signifie pas qu’il faille que tous doivent assimiler ledit programme à la même vitesse. Pourquoi ne pas utiliser un système d’UV comme à l’université ? Un cycle se verrait terminé une fois toutes les UV validées (ce qui n’empêcherait pas de commencer à valider les UV du cycle suivant).

    En tant que scientifique, je suis effaré du manque de présence des sciences en dehors du cursus S. De la même manière, la philosophie, les langues ou le sport ne doivent pas disparaitre des cursus scientifiques.
    En fait, j’aspire à la mise en place d’un vrai bac général, avec une exigence commune imposée à tous. Car il est indiscutable indépendamment du programme actuel de chaque filière, ce qui est le plus structurant est la différence colossale du niveau d’exigence demandé dans la filière S d’une part, et les autres. Ce ne sont pas les mathématiques qui sélectionnent, mais bien cette différence.

    Évidemment cela reste hautement spéculatif, et je ne peux prétendre avoir conscience de la réalité de terrain. Mais je pense qu’un système éducatif se base sur une vision du minimum à savoir pour tous, ce qui ne signifie pas une éducation au rabais.

    Ainsi, le tronc commun permettrait peut être enfin de mettre fin au système d’orientation actuel, complète basé sur l’incapacité ! Aujourd’hui, l’algorithme est simple :
    l’élève peut-il faire des siences dures : oui => S, sinon
    peut-il faire des siences humaines : oui => ES, sinon
    peut-il faire de lesttres : oui => L, sinon => voie « professionnelle ».
    J’aspire également à ce qu’un élève qualifié de « brillant » puisse sans honte vouloir devenir coiffeur ou boucher.

    La situation actuelle ne reflète-t-elle pas d’un problème d’organisation de la manière de transmettre le savoir plutôt que du savoir à transmettre ?



  • Manu Manu 23 novembre 2009 20:06

    Vu le titre de l’article, est-ce à dire qu’il faille abandonner le principe collège unique (sinon, le titre parlerai d’une réforme du collège « tout court ») ?
    Je pense que ça serait une erreur : il est importatnt que chacun sorte du système éducatif avec les mêmes bagages (je suis également favorable au lycée unique).
    Quant à améliorer la capacité dudit système à s’adapter aux élèves, il ne s’agit rien de moins de repenser la notion d’égalité non dans le sens de la fourniture d’un contenu identique pour tous, mais dans celui d’une égalité de traitement : à chaque niveau une réponse lui correspondant.



  • Manu Manu 22 novembre 2009 14:28

    Merci pour cet article.

    Que les faits soient ou non avérés, j’espère que cela fera au moins réfléchir sur la nécessaire décorrélation entre lutte contre le changement climatique (car si au aujourd’hui un réchauffement est craint, demain on voudra peut être lutter contre un refroidissement, comme dans les années 1980) et lutte contre la pollution.

    Aujourd’hui, les deux sont tellement liés qu’on peut entendre des politiques accuser des scientifiques de « négationnisme » ou de « non assistance à peuple en danger » s’ils émettent des doutes sur la réalité du réchauffement climatique. Il est triste de constater que les politiques sont incapables de s’impliquer sur ce sujet pourtant gravissime en lui-même, sans devoir invoquer un prétexte.

    Pourtant avec :

    • la pollution des eaux par les nitrates en Bretagne (et ailleurs),
    • les rejets d’eau non-taritées dans les mers,
    • la surpêche,
    • les pesticides,
    • les rejets de PCB ,
    • le nucléaire,
    • la dioxine,
    • le bisphénol A,
    • l’amiante,
    • les ondes des téléphones portables,
    • la déforestation en Asie & en Amérique du sud,
    • le bruit,
    • (vous pouvez compléter la liste )

    y a-t-il vraiment besoin du réchauffement climatique pour s’occuper de la planète ?


  • Manu Manu 28 septembre 2009 10:09

    Vive la clope !

    Formons un groupe de pression parlementaire afin d’abroger ces lois iniques ! La France, berceau des droits de l’homme, de la liberté, restreint à un tel point les libertés fondamentales de ses ressortissants que les chiffres migratoires sont sans appel : la France se dépeuple !

    Nous devons faire quelque chose ; un peu de pédagogie que diable ! Comment voulez résoudre le problème des retraites sans le coup de pouce du cancer du poumon ? Et l’industrie pharmaceutique, il faut soutenir les ventes de broncho-dilatateurs : encourageons les femmes enceintes à fumer pour qu’elles puissent ensuite enfumer sans attendre leur nouveau-né !
     Et s’il n’y avait que le tabac ! Et l’industrie automobile ! En ces temps de crise, soutenons ce secteur comme il se doit ! Comme s’il faillait choisir entre boire et conduire ! Il faut choisir entre ne pas boire et limiter le nombre d’accidents liés à l’alcool, ce qui vous en conviendrez, affecte sans aucun doute l’activité de nos constructeur nationaux. Sans oublier celle de nos garagistes.

    Mesdames et messieurs, j’espère que ces quelques lignes vous auront ouvert les yeux !
    Il n’est pas trop tard ! Réveillez-vous !

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv