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lucien bomberger

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Je ne suis rien qui puisse être défini en une seule ligne, si ce n'est peut être la trajectoire parcourue par le grain de sable que je suis, venu du néant pour vous rejoindre jusqu'ici.

Tableau de bord

  • Premier article le 24/08/2009
  • Modérateur depuis le 16/03/2013
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Derniers commentaires



  • lucien bomberger lucien bomberger 26 mai 2013 18:08

    Ce n’est pas la philosophie qui est morte, c’est son image. Comme le déclin du pouvoir de l’image, les postures dégoulines dans un monde gouverné par des ondes « invisibles », où ceux qui se disent être ne sont pas. Ou alors sont tout le contraire de ce qu’ils affirment. Comme si le verbe s’annulait lui-même dans la bouche des antiverbes.

    Le vrai philosophe est avant tout un autodidacte qui brise les codes. Il est comme une étoile filante venant illuminé ceux qui jouaient du mimétisme. C’est le 7 milliardième humain, ou le centième singe. Il donne l’exemple, parfois qu’en acte et sans mot.

    JE SUIS reste une cible à atteindre pour le philosophe, et par cet alchimie de l’introspection totale de son être il devient sans forcer un exemple pour le NOUS SOMMES. Sans pour cela prétendre au titre de couronné.

    Ensuite il y a philosophe et philosophe. Sénèque comme d’autres sont des philosophes dans les mailles des tyrans. Ils deviennent des penseurs pigistes qui travaillent pour ennoblir la pensée tyrannique. Et bien souvent ce sont leur livres qu’ils nous restent à lire. Puis à nous de nous en dé-livrer si nous voulons retrouvons notre source initiale d’inspiration, celle de l’autodidacte qui cultive l’intuition, la spontanéité, et donc forcément la fraîcheur de la pensée.

    Toutes les pensées dites philosophiques semblent tirées vers le bas. Qui sont les plumes des élites ? Buisson, Guaino, Attali, BHL, Onfray ?
    Un philosophe s’il pratique l’amour de la sagesse est donc un grand médiateur. Il concilie, réconcilie, tempère. Jamais il n’invite à la prise d’arme, à l’intolérance des religions, à une vision morbide du futur.

    Il n’existe qu’une espèce qui s’attache avec des mots et des images dans la nature. C’est l’homme. Rien que sur le mot philosophie il y a déjà du mal à y avoir consensus.

    Au-delà des mots il reste les actes. Et Dieu sait que les hommes sont des êtres paradoxaux, et que même si le plus grand philosophe ils rencontraient, ils finiraient toujours par lui reprocher d’être imparfait, ou trouver l’erreur qui coince entre les paroles et les actes. Le philosophe est un héros s’il meurt en buvant sa ciguë et restant en position de liberté, il devient un emmerdeur à lier lorsqu’il est vivant : sa vérité est comme du sel sur les blessures de l’esprit.
    Nous aimons les philosophes morts. C’est aussi cela l’humanité : on vénère les morts et on prend posture sur leur tombe en déclinant une transmission reçue, un héritage. Alors qu’en vérité il n’y a que mimétisme.

    Si l’humanité a peiné pour former des êtres accomplis, c’est aussi parce que la foi s’oppose trop souvent à la raison, et le philosophe tombe souvent de le piège d’ériger la raison contre la foi. Sans juste milieu, qui est apte à garder raison tout en déployant une foi indétrônable ? Saurions-nous un jour y parvenir pour être des embassadeurs d’une philosophie rénovée, plus à même de réconcilier et de tempérer, d’être des créateurs de paix autour d’eux ?

    La philosophie meut tous les jours et renaît tous les jours. Mais une chose est sûre c’est qu’en l’état ctuel de la prostitution des intellectuels, il n’y a peu de chance que nous puissions la découvrir sur les antennes mainstream. Faut plonger dans les bois, dans les grottes, et accepter que ce qui nous constitue n’est pas forcément uniforme. Nous avons une pensée occidentale souvent rectiligne, comme un axe cherchant la bonne trajectoire, la bonne coupe sagittale pour atteindre le centre de la vérité, alors que la vision périphérique, ou sphérique est plus difficilement envisageable dans des esprits formatés par le manichéisme. Par ce fait de trancher , de diviser le bon grain de l’ivraie.

    Souvenons nous que Dieu est un mot qui vient d’un concept de division succédant à l’unité multiple primordiale. Nous avons le pouvoir de chaos comme de l’harmonie. Le libre arbitre réside dans ce choix continuel. La sagesse tend vers l’équilibre de ces forces. Dommage que des philosophes en oublie trop vite la substance et finissent amis des tyrans. Mais cela c’est la voie facile et précipitée : le sage est comme un jardinier il cultive avec patience. Celui qui se précipite est victime de l’impatience, cette impatience de ne pas être reconnu comme étant un grand philosophe, et ainsi il en arrive à en vouloir à l’humanité entière qu’il considère comme une plèbe inculte qui mérite son sort. La soumission à l’ordre divin établit devient ensuite religion qui traduit la haine de l’intelligence du peuple... Tout le contraire de l’intention de départ du philosophe...qui reste comme tout être humain paradoxal par nature.  

    S’il n’y a qu’un tout fin espace qui sépare le ciel et la terre de l’épaisseur d’un cheveu. Alors soyez le cheveu !

    Le masque de la vertu est le plus courant dans un monde où ce qui se disent être ne sont absolument pas. smiley



  • lucien bomberger lucien bomberger 27 avril 2013 20:17

    La tentation de l’électeur à ne voter que pour un programme. La division est là : mettre dans l’urne un papier « nominal » au lieu de remplir des cases avec des croix pour répondre à suffrage universel par QCM, comme pour remplir un papier administratif lambda mais cette fois pour tracer le cap clairement en faisant la nomenclature des propositions. Ainsi les parti divisent encore en prétextant rassembler des idées en programme parfait et mieux que l’autre adverse qui lui va droit dans le mur ?
    Sauf que la duperie pour l’exemple du FN c’est l’anti-système UMPS (qui disent) mais aussi vous voter pour le replis identitaire qui se trouve dans le pot pourri de des idées, et l’idée fanée d’un nationalisme, vous êtes dragués et vous tombez dans le panneau : c’était un miroir aux alouettes extrêmistes. Voter FN c’est bien pour changer de politique dans l’idée de sortir du faux bipartisme, mais faut accepter de légitimer le reste.Et encore faut-il que tous les partis ne soient pas des parkings à velléités populaires et partis de l’ensemble illusoire de notre démocratie actuelle.
    Bref, en ne réformant pas le suffrage universel, en continuant de voter pour un sac de propositions et un programme fourre tout, en continuant de délaisser sa citoyenneté en légitimant un président qui fera de la 31ème proposition une priorité de l’agenda politique et en divisant le peuple, alors ce n’est pas la peine de choisir à voter encore pour un parti dans le contexte actuel : la déception, le désespoir, la trahison, le mensonge, les promesses perdues seront sinon TOUJOURS au rendez-vous ! 

    Ainsi vient le temps de ce que j’appelle la politique quantique.

    Vous souhaitez que vos votes se réalisent citoyens ? Vous voulez que votre citoyenneté soit modernisée, respectée, et que vous soyez sondés et consultés régulièrement ? La politique quantique est ce qu’il vous faut !
    La politique quantique c’est un cap permanent, qui se trace en commun avec tous. La politique quantique c’est la maîtrise des possibilités futures votées comme étant les meilleures, avec une vigie permanente. Avec la politique quantique les mauvaises surprises du destin sont écartées au rang des impossibles, il n’y a jamais de mauvais capitaine, tous sont riches du même voyage, du vaisseau commun. En créant le futur consciemment dans un élan plus joyeux, la politique quantique nécessite d’être expérimentée selon mon opinion, car aujourd’hui ne sachant pour l’instant vous prouvez l’intérêt de mes propos, je laisse le soin à chacun d’imaginer le côté quantique de la chose, et l’insoutenable nécessité de retrouver un peu de volonté, de joie, pour imaginer le meilleur, le plus beau, la plus belle histoire. Car si tout devient possibles réalisables et réalisés, que sommes-nous donc prêts à exercer la magie de créer un futur commun harmonieux bien pensé ?
    Comme disait le marocain hier soir : « Si, il faut rêver ! smiley »
    Ne laissons dès lors que les idées devant, et mettons les partis complices des médias aux oubliettes.



  • lucien bomberger lucien bomberger 28 mars 2013 11:29

    Si tout est politique, si tout est spirituel, le citoyen libre d’exercer sa citoyenneté n’existe pas. Pourquoi ? Parce que sa volonté lui a été substituée que ce soit de la part de l’Eglise, de la FM et de sa laïcité, et par l’Etat.
    Pourquoi la politi
    que salirait ? Parce qu’elle est infectée de partout de corruption ?
    D’un côté l’Eglise fait des assemblées en ses temples (chapelles, église, cathédrales...) avec le peuple de Dieu (Dieu c’est aussi le peuple) mais dans un but restreint : prière (votum), communion, mariage, messes... sans pour cela que le peuple soit convié à émettre une volonté « populaire » précise tel un vote pour adoucir sa vie dans la cité pour bénéficier de plus de bien être, d’épanouissement en commun, et donc de spiritualité, bien qu’au départ la loi et la morale étaient de source divine.
    Au centre nous avons la laïcité et la Franc-maçonnerie qui est garante de la séparation de l’Eglise et de l’Etat, tout en étant « religieuse » et fidèle au Christ humaniste (les Lumières), tenant des assemblées « secrètes » en temple (secret à tenir sous peine de gorge tranchée : quelle franchise pour des affranchis !), et dont on sait qu’elle est aussi dans l’affairisme politique (Quelle liberté !)
    Et vient enfin l’Etat, chargé de récolter les votes du peuple de Dieu une fois tous les cinq ans pour les présidentielles.
    La volonté de tous, au détriment de quelques uns, semble être la plus belle subtilisation dans cette hiérarchie trine.
    En l’Eglise la volonté est remise à Dieu (Que ta volonté soit faite), en Franc-maçonnerie nos « frères » secrets font de l’humanisme et de la morale (où est la morale dans notre monde qui marche sur la tête ?) sans se préoccuper de consulter le peuple laïc. Et L’Etat qui structure comme l’Eglise une assemblée « nationale » au lieu d’une assemblée populaire, et qui organise des délibérations citoyennes tous les 36 du mois, en simulant l’existence d’une opinion publique par le truchement douteux de la science très controversée des sondages d’opinons, qui ne sont comme chacun devrait le savoir qu’un organe du pouvoir pour inviter au conformisme le démos qui n’est jamais consulté de manière exhaustive, mais qui perçoit dans cette illusion de sa révélation réelle un moyen de connaître néanmoins ce que penseraient « Tous les Français » sur les sujets politiques.

    La volonté du citoyen est donc savamment subtilisée de part et d’autre, sans qu’aucun citoyen n’ait envie, dans ce contexte de fausse démocratie et de fausse assemblée populaire, de donner corps et vie au suprême démos dont il fait partie, par le moyen d’un outil efficace et moderne qu’il inventerait comme un coeur à la démocratie pour soulager ses semblables actuellement contraint au mutisme permanent de leurs volontés politiques.



  • lucien bomberger lucien bomberger 26 mars 2013 19:04

    Et si les investisseurs boudaient la France pour la mettre à genou, comme sait si bien le faire les marchés financiers qui s’affolent dès que le mot referendum est prononcé ?
    Oui il y a une fessée financière qui sévit en France, et c’est une guerre qui ne peut que se faire si les peuples courent après l’argent qui manque, et pour cause, les fortunes dorment dans les paradis fiscaux, ou vont faire du green buisiness dans les pays en développement.

    Pas de risque que l’emploi revienne en France dans cet état de fait, où la « Gauche » râcle les niches fiscales et fait une chasse aux sorcières corrompues.

    Ainsi le faux bipartisme avec l’appui de son outil d’endoctrinement favori, fait du bourrage de crâne en proposant déjà l’alternative : la résurrection de notre Berlusconi national comme zombie.

    Le plus dur au capital c’est de trouver des professionnels de l’enfumage, des gourous de l’éloquence, des geoliers des mots et des images avec lesquelles le peuple s’attache tout seul, pour vendre le système encore et encore... Il faut du cran pour mentir à des millions...leur dire ce qu’ils veulent entendre.

    Le plus fou c’est que tout le monde croit que la télé et les JT et les radios-presses ont encore un pouvoir de dissuasion, alors que bon nombre d’entre nous ne les croient plus un seul instant. La Tv et son information sont le plus grand leurre qu’il existe. LE contenu se fait passer pour la réalité, et pour cause, alors qu’en fait il n’en est rien. Le monde a déjà éclot, la graine essaie de percé le voile de l’herbe morte un peu épaisse. Et c’est c’est écran qui cache l’autre côté du miroir, une réalité beaucoup plus grande et joyeuse...

    Robespierre voulait imposer la terreur pour obtenir ensuite la vertu. En fait il y a un peu de cela : pour révéler une autre vérité, il faut s’emparer des médias et les réformer, sans effusion de sang bien sûr !
    Ils ne donneront jamais les clés de leur locaux par la voix démocratique...il faut leur prendre de force, sans quoi l’endoctrinement permanent n’a pas fini de diviser les citoyens.

    Quelles solutions pour la démocratie réelle ?

    Voici mon pied de nez !

    Il est temps que le Démos prenne conscience de lui-même, qu’il naisse enfin comme un premier né tant attendu, quitte à le faire dans la douleur puisque les conservatismes font de l’endoctrinement permanent et écrase son érection. Le Démos, ce 7 en milliard, doit prendre conscience de lui-même dans une démocratie rénovée et en plénitude (réelle) du troisième millénaire. A l’heure de l’information instantanée quoi de plus facile de le faire vivre pour tous et chacun via une centrale qui collecte toutes ses données, ses opinions, ses votes ? Le Démos, constitué de toutes ses particules citoyennes sans exception, doit faire la fabuleuse expérience de ses premiers pas pour enfin se contempler dans un miroir après tant d’années de souffrance dans le mutisme imposé. Ce miroir c’est l’organe centralisateur où seules les idées sont mises en valeurs, et où les porteurs d’idées en mauvaises postures doivent « s’éclipser » ne pouvant jamais bien les incarner. Les rassemblement d’idées, en sac ou en pot ou en pochette surprise, qui simule la constitution d’un programme fourre tout, ne fait en réalité que diviser, diviser, et diviser le Démos, et les idées après l’élection ont quasi toutes disparues !
    Un peu comme le fait très intelligemment la bourse pour servir ses intérêts, elle centralise et rassemblent les valeurs financières, où seules les valeurs financières sont cotées via une centrale (vous n’achetez pas sur plusieurs valeurs inséparables vous achetez valeur par valeur, ensuite plusieurs valeurs si vous le souhaitez). Le Démos doit ainsi établir de la même manière une jauge de ses propres valeurs idées-votes-opinions, en traçant en toute conscience et toute transparence un cap, un horizon clair, en sondant même le plus humble des citoyens, sans pour cela qu’il dispose d’un capital monétaire pour pouvoir participer à sa vision de l’avenir, juste en en étant partie, infime certes, mais partie intégrée au Démos.

    Concernant les déclarations de François Hollande hier. Il se serait targué de sa légitimité incontestable à mettre la loi pour le « mariage pour tous » à l’ordre du jour, puisqu’elle était le 31ème engagement de « son » programme (pas du votre !). Considérant que le vote « François Hollande » (nominatif) comprenait de fait l’adhésion de toutes « ses » idées de « son » programme, et ramenant de fait la couverture à lui en tant qu’incarnation de toutes ses idées les tous pouvoirs, (puisque le suffrage universel de la Vème permet aussi le lustrage de la posture de « président », le président s’appuierait dessus, comme un piédestal valide, pour refuser toute contestation. Le vote valide toutes les idées, quels que soient les manifestations.
    En admettant que vous ayez voté pour lui tout en étant d’accord avec cette loi, tout va bien. Si toutefois, comme beaucoup d’électeurs vous aviez voté pour lui comme sortie de secours à l’hystérie du précédent, et n’étiez pas d’accord avec la totalité du programme, quelle doit être maintenant votre déception d’entendre que votre vote « utile », votre vote « zapping » de l’autre bien pire, soit instrumentalisé de la sorte. Que pouvez vous faire pour contester à part manifester dans la rue et arriver gazés ?
    Ainsi il aisé de comprendre que les programmes fourre-tout, où tout un tas d’idées aussi diverses soient-elles sont mises en pot commun, colmatées et inséparables une à une, vous avez été obligés de souscrire aux idées les plus absurdes, qui ne faisaient en rien votre adhésion totale au programme, et vous invitaient de fait à l’espérance qu’elles ne soient pas perdues, ou pas essentielles à l’ordre du jour de son action. Dans vos convictions politiques vous avez donc été divisé puisque ne pouvant voter une à une les idées du programme pour lesquelles vous étiez prêt à accorder votre vote, il ne reste plus celles qui vous semblaient primordiales et urgente (trahison et promesses sacrifiées), et vous êtes un après les élections bien dépourvus que la mouise fut venue, si tôt !
    Aujourd’hui, acte de bulletin dans l’urne faisait foi, il ose s’en servir et instrumentaliser les résultats des suffrages à son profit, ou pour celui du bipartisme illusoire qui sait, en réduisant le citoyen électeur à une télécommande dont le programme est bien souvent sans contenu malgré les jolies professions de foi hétéroclites.



  • lucien bomberger lucien bomberger 23 mars 2013 09:16

    De tous les êtres de la nature, seuls les humains s’attachent avec des mots et des images. Leurs chaînes les plus tenaces sont « Liberté » et « papier monnaie ».

    Que reste-t-il une fois que l’argent les emprisonnent ?

    Il reste qu’il faudrait qu’ils retrouvent la notion de partage, de confiance entre eux sans l’argent qui ne vaut plus rien, sans quoi il s’entretueront.

    La mise en faillite du monde par une fausse crise invite donc chacun à retrouver un sens à sa vie, pour qu’elle soit meilleure, plus dans l’être (bien être) que dans l’avoir égoïste. Seul l’amour vous sauvera semble être d’actualité. Seul l’amour que vous vous porterez mutuellement, entre humains, même en absence de pouvoir d’achat via l’argent, saura guider les hommes vers la paix et la joie. Si vous ne le faîtes pas vous serez invités par ceux qui organisent le chaos (avec notamment l’aide des merdias) à vous entretuer. Et vous y aurez été bien progressivement habitués...avec des mots et des images.

    Si la guerre est une solution à tous ceux qui se sont enrichis malhonnêtement tels des pharaons, autant dire que leurs dynasties sortiront victorieuses de vos mises à mort respectives, et seront ravis que leur pensée malthusienne vienne enfin à terme, vu qu’ils pensent que « vous » êtes trop nombreux sur terre, trop bêtes pour vous unir en démos, trop ignorant de vous mêmes.

    Il Signore, Il Signore ! Ils s’ignorent, Ils s’ignorent !

    L’enjeu reste bien sûr de retrouver le goût de la vie avant tout sans poser les questions qui traitent les solutions qu’avec la solution de l’argent. Il faudra faire sans argent dans un premier temps, ni surtout pas courir après l’or métal maudit que vos tortionnaires possèdent, ni répondre à l’offre d’emploi des sonnantes et trébuchantes qu’ils aimeraient vous acheter pour assoir leur suprême pouvoir de corrompre. Ensuite sans tomber dans le repli communautaire et ni sur soi, il faudra trouver les liens forts qui permettent de s’unir plutôt que de se diviser, de se voler. Comment résoudre la faim ? Ensuite il faudra vite se réapproprier la création monétaire afin que les voleurs d’or maudit soit dépossédés de leur richesse bien mal acquise, et donc abandonner l’idée que l’or métal est une valeur de confiance, mais comprendre que c’est tout le contraire et que c’est une « malédiction »...

    Pas facile à résoudre comme énigme n’est-il point ? Mais l’univers est construit d’harmonie, alors pas de place pour le pessimisme, le plan du futur joyeux est inscrit dans le futur.

    Pour ceux qui parle de la « bête » et de leur phobie du Diable ou de Satan ou de Lucifer, il ne sert à rien de rester puérils, nous avons tous ce chaos en nous...
    666 est un rapport. Il représente le rapport 2/3. Ce qui en musique correspond à la quinte, qui pour ceux qui ne le savent pas encore, la quinte est l’harmonie naturelle qui sonne en premier dans le son d’une corde-note. Si vous jouer un Do, le Sol est sa quinte, et c’est la « suite logique ». Maintenant prenez les chiffres romain. Additionnez les !
    I + V + X + L + C + D = 666.
    Maintenant prenez 1+2+3+4+5+6+7...+36= 666
    Détonnant non ?

    Vous voyez que la « bête » est vraiment très forte en math ! Et que ce qui gère des comptes à l’infini, telle la bourse des marches financiers pour ne citer qu’elle, elle pave toutes les routes par des plus grandes équations, elle manipule les chiffres en très grande quantité toutes les secondes. Et Ils apprirent que l’Enfer était pavé de bonnes équations. 

    Et comme dirait le dicton amélioré : quand on aime on ne tient pas de comptes d’apothicaires !

    Solutions d’urgence en cas de pénurie de liquidité. Pensez aux monnaies locales ! Elles permettent de tenir des comptes humblement entre citoyens. Si les guerres sont rendues possibles c’est aussi parce que les citoyens n’ont pas l’idée de tenir des comptes eux-mêmes entre eux. Réfléchissez bien après quoi vous courez, qu’est ce qui attache vos croyances. 

    Tous ceux qui continueront à courir après l’image papier-monnaie du système entièrment vicié seront perdus.

    En cela l’univers est bien fait : il élève l’humble qui semblait le plus faible, et rabaisse les puissants. Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut... Les premiers seront les derniers et vice versa... C’est quand même beau la vie !

    Soyez fraternels, vraiment !

    (désolé pour le ton « moralisateur », mais la France n’est-elle pas la mère de La Fontaine, de Molière, et de tant d’autres moralistes ?)

    @+

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