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lucien bomberger

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Je ne suis rien qui puisse être défini en une seule ligne, si ce n'est peut être la trajectoire parcourue par le grain de sable que je suis, venu du néant pour vous rejoindre jusqu'ici.

Tableau de bord

  • Premier article le 24/08/2009
  • Modérateur depuis le 16/03/2013
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Derniers commentaires



  • lucien bomberger marduk from nibiru 24 août 2009 23:10

    Voici deux liens très intéressants. Merci.



  • lucien bomberger marduk from nibiru 24 août 2009 23:09

    Bravo franc pour ces précisions mais aussi pour l’audace des réformes que vous envisageriez.

     Il est toujours nécessaire et plaisant d’apprendre que bien avant nous de grands penseurs ont cherché à résoudre les problèmes du monde que nous essayons encore d’améliorer de nos jours. Mais la démocratie, comme s’il en fallait toujours plus, n’a pas finie d’être remise en doute tant qu’elle n’aura pas revêtue toutes ses différentes formes jusqu’à en inventer de nouvelles,et ce au fil des nécessités... notamment conjoncturelles.
     
    Je suis d’accord avec vous bien sûr sur le fait qu’il faille un permis de voter pour plusieurs bonnes raisons. Mais il me semble qu’il serait trop facile de croire simplement qu’un vote quel qu’il soit puisse être remis en doute dans sa démarche ou dans son exactitude. Même si le vote prend quelque fois l’allure d’une sanction, ou encore d’un jeu de bluff, il en est ainsi certainement déprécié du fait de sa rareté, de l’absence de choix réel de parti politique, et plus encore s’il en arrive à ce stade c’est qu’il est conditionné par l’ innéficacité volontaire et prouvée des candidats aux promesses perdues (mais au charisme souvent impeccable).

    L’abstention est le fléau de la démocratie et voir que son taux atteint des records jusqu’à frôler la majorité il n’est pas besoin d’être médecin pour voir que la bête est malade et qu’elle souffre, qu’elle s’étouffe, qu’elle se meurt. A l’heure où nos « leaderships » prétendent nous assurer de leur confiance (la démocratie ne s’est jamais aussi bien portée) ils nous demande bien gentiement de garder la ceinture et les coudes serrés jusqu’à la prochaine éléction tandis que se consomme les richesses de la nation de manière ostentatoire. Nous priant presque de ne pas vivre l’indignation dans la rue car nous courrions le risque de la répression, la perte de salaire et au pire la perte de l’emploi, . Le peuple mécontent conscent à patienter mais n’acceptera jamais de restreindre sa parole qu’a de robotiques « oui-oui ». Les sondages cherchent tant bien que mal le remède soporifique en nous jetant en guise de poignée de sable des chiffres et de résultats approximatifs, pour ne pas dire truqués. S’il fallait d’ailleurs qu’ils nous démontrent encore (ces « instituts ») que l’opinion publique n’est pas si défavorable que le prétend la rumeur urbaine alors ils iraient peut-être jusqu’à demander de couper la retransmission des sifflets qui accueillent notre grand intérimaire en chef lors de ses apparitions... lumineuses. 

     En ce qui concerne la réduction du budget de l’Etat vous avez de très bonnes idées.



  • lucien bomberger marduk from nibiru 24 août 2009 15:44

    Pour reprendre l’exemple de la famille Tiberi qui n’écope qu’une peine d’un an d’inéligibilité pour avoir trafiquer des bulletins de vote en masse, alors oui je conteste cette décision de justice. Les violeur de la démocratie doivent être sévèrement puni et ne doivent plus se retrouver sur la scène politique. 
    Et il y a hélas plein d’autre exemple. 



  • lucien bomberger marduk from nibiru 24 août 2009 15:10

    Approximativement :
    L’idée serait d’instaurer un code de conduite qui pénaliserait les contrevenants en 2 temps. Le premier sur décision de justice en parution immédiate et le second à l’appréciation d’un vote sanction de l’opinion publique pour y ajouter un coefficient plus ou moins sévère ou indulgent.
    Par exemple sur décision de justice l’élu se voit condamné à la perte de 6 points sur son permis de diriger suite à la ratification d’un traité préalablement rejeter par référundum (je suis sûr que vous voyez). Ecopant ainsi, si son capital est de 12 points et ce toujours à titre d’exemple, de la perte de la moitié de son capital de départ. Soumise à l’avis de l’opinion publique, sa faute est ensuite réprimander d’une manière plus ou moins sévère par un vote sanction durant une émission de télé réalité grâce à laquelle il pourra mesurer l’évolution de sa côte de popularité et l’accueil de son erreur. Si la jauge parvient à finir dans le rouge avec par ex 65% d’opinion défavorable alors sa peine (ses points perdus) sera allourdie. Si l’opinion publique décide qu’il y a moindre mal alors il perdra moins de points.
    L’idée n’est pas de substiuer la justice à l’approbation populaire, mais d’un côté criminaliser les violeurs de la démocratie et d’un autre faire rentrer les citoyens dans un programme (cher à l’UMP et c’est un comble) d’individualisation et de responsabilisation.
    Il n’y a pas de raisons que nous soit réservé pour les siècles avenir des irresponsables comme nous en avons déjà connus. La démocratie participative c’est aussi le droit aux citoyens de pouvoir manifester leurs opinions depuis chez eux et non dans la rue. C’est une façon pacifique d’éviter les émeutes, et les manifestations. Et c’est la seule et unique manière d’avoir des chefs d’état qui consultent le peuple (averti et non lobotomisé comme aiment à le penser certains) de façon régulière et non 1 fois tous les cinq ans, et ce en respectant leur vote.



  • lucien bomberger marduk from nibiru 24 août 2009 13:37

    Je comprends bien où vous voulez en venir. Mais en l’occurence l’idée est aussi de « contrôler » après obtention du mandat les dérives vénales des élus. Et les statuts ne peuvent à eux seuls mesurer les écarts au cours du mandat. Il faut une structure citoyenne qui fasse office de vigile et réprimande les erreurs de cap.

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