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Mathias Delfe

Mathias Delfe

Jean-Michel Guillaume alias Quentin Sax, alias Mathias Delfe.
Ancien ! Ancien étudiant en philo, ancien éducateur spécialisé, ancien artisan plasticien, ancien BTS audiovisuel, ancien auteur de polars (Quentin Sax - Fleuve Noir), ancien de France 3, ancien des forums du Net.
Toujours polygraphe et photographe.

En matière d’information, l’objectivité n’est qu’affaire de prisme.

Tableau de bord

  • Premier article le 28/11/2006
  • Modérateur depuis le 17/04/2008
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Derniers commentaires



  • Mathias Delfe Mathias Delfe 27 août 2008 19:25

    Sans blague ? les démocrates américains seraient des centristes ?
    Il ne s’agit pas de ce qu’est Obama, mais de ce qu’il représente en terme d’image pour un électorat jeune pas encore blasé de la mascarade des élections en Amérique, un électorat susceptible d’avoir quelques exigences. C’est pour cette raison que ce "ticket" avec Joe Biden me fait penser à l’alliance de la carpe et du lapin. Mais bon, si tout le monde trouve ça très bien, ce que j’en pense, hein...



  • Mathias Delfe Mathias Delfe 27 août 2008 16:30

    Ah ! mais je me méfie de tout, Philou, savez-vous ? de Transparency International comme du Réseau Voltaire (au nom de quel angélisme donnerait-on plus de crédit à l’information alternative qu’à celle des médias officiels ?).
    Chavez est le premier à reconnaître l’existence de corruption dans son pays (et d’ailleurs même Castro fait régulièrement et très officiellement la chasse à celle-ci, comme quoi près de 50 ans d’éducation rhum-coco ne sont pas parvenus à l’éradiquer).

    Autre chose est d’attribuer l’existence de cette corruption consubstantielle aux oligarchies bourgeoises et aux mafias réactionnaires qui ont gouverné jusqu’à récemment la plupart des pays d’Amérique latine à l’administration Chavez (même si on la trouve probablement au moins aux marges, vu qu’un vernis socialiste n’a jamais transformé en saint le truand qui sommeille chez tant d’humains) comme le fait un peu légèrement l’auteur de l’article (qui ne manque pas pour autant d’intérêt).

     



  • Mathias Delfe Mathias Delfe 27 août 2008 14:51
    A Sisyphe et B.Dugué

    Selon Hugo Chavez
    , "l’insécurité et la corruption sont des maux hérités que nous devons empêcher de s’étendre, sinon ils deviendront le plus grand ennemi de notre révolution". Les adversaires du président soulignent toutefois, pour expliquer l’ampleur actuelle de la corruption, l’absence de contrôles budgétaires dans diverses administrations et dans des programmes sociaux financés par la manne pétrolière. Le classement 2007 de Transparency International présente le Venezuela comme le pays le plus corrompu des Amériques après Haïti. (in Latin Reporters)

    Tout cela n’implique pas que Chavez et ses proches soient eux-mêmes impliqués dans des affaires de corruption. Maintenant croire que le Venezuela serait devenu le pays de Candy grâce à Hugo, lui-même n’en semble pas convaincu.
    J’ajoute que je suis moi-même un supporter critique de Chavez (du moins tant que ce prétendu "dictateur" maintes fois réélu en dépit de toutes les procédures d’empeachment intentées par l’opposition continuera de remettre sa charge en question, a contrario des frères Castro par exemple, vrais autocrates pour le coup). De là à devenir naïf.




  • Mathias Delfe Mathias Delfe 27 août 2008 14:24

    "Le vice-président est un conseiller et un remplaçant éventuel, et il n’est pas rare de ne pas en entendre parler beaucoup en cours de mandat"...

    Ca dépend de l’envergure du vice-président, laquelle configure à la fois sa propre personnalité et l’importance de ses relations au sein des milieux d’affaires, y compris militaires.

    C’est encore un peu chaud, mais on pourrait bien apprendre (officiellement, parce qu’officieusement on s’en doute) d’ici à quelques années que les véritables décideurs durant les mandats Bush Jr furent Dick « Halliburton » Cheney et ses boys, Paul Wolfowitz, Richard Perle et Donald Rumsfeld (même si Dick a sacrifié ces derniers sur l’hôtel de l’impopularité du gouvernement).
    Concernant Hillary Clinton, difficile de considérer a priori qu’elle se contenterait d’inaugurer les chrysanthèmes sans la ramener sur la conduite du pays.

     



  • Mathias Delfe Mathias Delfe 27 août 2008 14:02

    Salut, Bernard.

    Bronzé, reposé, et tout ?

    Je me suis moi-même attelé hier à un papier dans le goût de celui-ci en me disant : « faut le finir avant que le Dugué ne revienne d’Arcachon ! »
    Trop tard !
    La nation a toujours été instrumentalisée par et mise au service d’une caste d’individus dès l’émergence de son concept moderne (avec les révolutions américaine et, surtout, française qui remplacèrent les aristocrates par des avocats).
    Cela dit, le portrait que tu traces de ses actuels maîtres me semble tout à fait judicieux.
    Je regretterai simplement ton mépris ironique de « l’homme providentiel ». Et Bayrou, alors ? tu ne l’aimes plus ? vive l’anarchie ?
    Le truc qui m’inquiète un peu quand même, c’est le nombre de guerres atroces qui ont débuté par des histoires de confettis d’empire revendiqués par des ploucs et défendus par des charognards.

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