Passionné par les applications des technologies de l’information à l’organisation, en particulier dans les réseaux d’entreprises et le développement local.
un americain emprunte 500.000$ pour payer une maison sur 20 ans.
il ne peut plus payer.
la banque veut ses 500.000$ maintenant.
pour cela elle fait saisir et mettre en vente le bien.
les titres emis et basés sur l’interet du pret ne valent plus rien et font un trou compable dans la raquette.
la maison est vendu meme 300.000$
la banque recupere 300.000$ et garde cet argent.
c super rentable comme affaire. il lui reste 19 ans pour faire fructifier ses 300.000$.
un americain emprunte 500.000$ pour payer une maison sur 20 ans.
il ne peut plus payer.
la banque veut ses 500.000$ maintenant.
pour cela elle fait saisir et mettre en vente le bien.
la maison est vendu meme 300.000$
la banque recupere 300.000$
c super rentable comme affaire. il lui reste 19 ans pour faire fructifier ses 300.000$.
Et si l’on avait dit que les actifs pourris ne l’etaient pas, pris un moratoire sur les saisies, laissé les
comptes en l’etat., cree un poste comptable dit d’investissement dans les banques pour les pertes
correspondantes, sachant que l’argent n’existe pas reellement et de plus est une dette sur 20 ans !
Ne confond t’on pas la réalité et les livres de comptes,la carte et le territoire ?
Meme chose pour les produits derives. les additionner n’a pas de sens, ce qui importe c’est le flux
’reel’ correspondant à ce flux de "gestion de risque". On s’echange des valeurs qui n’ont sont que
dans les livres. Si un desequilibre est créée dans ce chateau de cartes et que l’on continue à
considerer ces valeurs comme réelles on fume la moquette serieux ! C’est la soupe des
banques hors systeme.
Et si l’on avait dit que les actifs pourris ne l’etaient pas, pris un moratoire sur les saisies, laissé les
comptes en l’etat., cree un poste comptable dit d’investissement dans les banques pour les pertes
correspondantes, sachant que l’argent n’existe pas reellement et de plus est une dette sur 20 ans !
Ne confond t’on pas la réalité et les livres de comptes,la carte et le territoire ?