Passionné par les applications des technologies de l’information à l’organisation, en particulier dans les réseaux d’entreprises et le développement local.
A partir d’un certain niveau, l’argent n’est qu’un moyen d’agir sur la conduite du monde, rien à voir avec
ce qu’il represente pour la plupart. Maitriser la conduite du monde n’a qu’une relation lointaine avec
la satisfaction des besoins les plus communs si ce n’est quand cela peut remettre en cause ce
pouvoir.... et meme dans ce scenario, le pouvoir a les moyens de se perenniser.
Paradoxalement, plus les choses vont mal, plus ce pouvoir pourrait etre remis en cause, plus
ceux qui l’ont sont enclins a ne pas agir autrement qu’en le renforcant . Les dictatures mettent l’armée
dans la rue, les democraties multiplient les systemes de controle des systemes sans toucher au
systeme lui-mêrme mais avec le souci de le perenniser.
Du point de l’individu, que l’on exerce son pouvoir sur un lopin de terre ou sur le monde,
ces fondamentaux restent les memes. Par contre, les consequences ne le sont pas.
Voila pour l’aspect rationnel.
Pour le reste, j’ai quand meme le sentiment que ceux qui nous gouvernent considerent que tant que
la planete n’explose pas, il restera toujours un lopin de terre viable ou profiter de ce pouvoir .
C’est une forme de renoncement qui n’est pas à la hauteur de la responsabilité qui ont choisi de
prendre. Un homme seul ne peut rien faire, il ne peut permettre qu’aux autres de faire. Plusieurs
sont morts a essayer...
Quand Obama sera aux commandes, ou bien il nomme les gens n’ayant pas necessairement à ne
pas changer les choses pour maintenir leur pouvoir ou il ne le fait pas. Nous le saurons dans les
premiers mois de l’année pendant qu’il beneficiera d’un etat de grace.
En avril prochain, nous serons fixes. A defaut, le prochain rendez-vous du G20 n’a aucun interet
pour vous ou moi. Je ne pense pas dans ce cas que vous jouiez les cassandres.
Nous sommes au dela du cynisme ou des conflits d’interets. Quelques egos entrainent le monde vers le
gouffre. Par moment, je me demande si la solution n’est pas un G20 mais un sceance de psychanalyse
collective, suivi d’une retraite pour mediter er apprehender la réalité des choses...
Il est vrai que nous ne pouvions attendre d’eux un plan ’concret’ . mais au moins un diagnostic lucide et
partagé. Il est clair que le marché est aussi un puissant mecanisme d’organisation des pressions
resultant dans une incapacité à voir. Agir requiert de la lucidité qui elle meme commence par cette
capacité à voir... mais pour cela il faut deja en avoir la volonté.
La finance, est le moyen d’alimenter les outils concus pour resoudre nos problemes, et la liste est
longue entre crises climatique, demographique, energetique et ecologique...
Refuser de traiter le probleme financier demontre une incapacité à traiter les autres problemes.
Je crains que l’option prise consciemment ou non, soit de laisser aux forces que notre economie
devrait contenir le soin de resoudre les choses....
Nous sommes au dela du cynisme ou des conflits d’interets. Quelques egos entrainent le monde vers le
gouffre. Par moment, je me demande si la solution n’est pas un G20 mais un sceance de psychanalyse
collective, suivi d’une retraite pour meditater er apprehender la réalité des choses...
Il est vrai que nous ne pouvions attendre d’eux un plan ’concret’ . mais un diagnostic lucide et
partagé. Il est clair que le marché est aussi un puissant mecanisme d’organisation des pressions
resultant dans une incapacité à voir. Agir requiert de la lucidité qui elle meme commence par cette
capacité à voir... mais pour cela il faut deja en avoir la volonté.
La finance, est le moyen d’alimenter les outils concus pour resoudre nos problemes, et la liste est
longue entre crises climatique, demographique, energetique et ecologique...
Refuser de traiter le probleme financier demontre une incapacité à traiter les autres problemes.
Je crains que l’option prise consciemment ou non, soit de laisser aux forces que notre economie
devrait contenir le soin de resoudre les choses....
....des acteurs économiques que certains voudraient diaboliser font le boulot de vigilance et de critique constructive…
C’est ce que la presse devrait regulierement rappeler si elle prenait soin de differencier son
discours pour les grandes entreprises d’une part et les PMEs de l’autre.
En France, la propension à attendre qu’un marché soit mur pour le financer crée un barriere à
l’entrée pour les PMEs : la taile du marché. La PME ne peut pas croitre avec le marché.
C’est un veritable probleme de culture dans les grandes entreprises des l’instant ou un
marché est adossé à une technologie. Seul un modele de business innovant permet à la PME
de passer à travers le filet. La croissance du marché exige alors du temps qui laissent aux
grands groupes tout le temps pour absorber la PMEs. Vous y etes d’abord contraints par vos
investisseurs....