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Qui était la cible de la manipulation Clearstream : Sarkozy ou Villepin ?
http://www.voltairenet.org/article163784.html
LA STRATEGIE EUROPENNE DES NEO-CONSERVATEURS
http://www.voltairenet.org/article128785.html
27
septembre 2007
Comité américain
pour une Europe forte
par Thierry Meyssan*
(Extraits)
La donne européenne a été bouleversée par le rejet du
Traité constitutionnel européen en France ainsi qu’aux Pays-Bas et par les
élections législatives allemandes. Thierry Meyssan dévoile les analyses des
néo-conservateurs états-uniens et leur nouvelle stratégie pour l’Europe.
.../...
À Washington, les néoconservateurs ont décidé d’adapter
leur dispositif organisationnel à leur nouvelle stratégie. Le groupe qui, au sein de l’American Enterprise Institute, avait
été chargé de rédiger le programme de la présidence G. W. Bush, le Project for a New American Century
(Projet pour un nouveau siècle américain), a été discrètement dissout il y a
deux semaines. Il a été remplacé par un American
Committee for a Strong Europe (Comité américain pour une Europe forte).
Par « Europe forte »,
il faut comprendre, une Europe capable de suppléer les troupes US dans le monde
et de vaincre les résistances anti-globalisation dans sa population.
Ce Comité, qui évitera d’intervenir trop ouvertement dans la politique
de l’Union, a immédiatement sollicité des « amis de l’Amérique » pour le faire
en son nom.
Ainsi, l’Arabie saoudite a-telle répondu présent pour financer les prochaines campagnes électorales de Nicolas Sarkozy en France et permettre aux néoconservateurs d’en finir avec Dominique de Villepin.
Des mesures
similaires ont été prises pour chaque grand État membre de l’Union.
Thierry Meyssan
Analyste politique, fondateur du Réseau Voltaire.
Mon commentaire :
IL FALLAIT PUNIR LA FRANCE
pour s’être opposée à l’agression de l’IRAQ
Ils nous l’ont fait payer très cher
Mais...
« Il y a entre la grandeur de la France et le liberté du monde
un pacte 30 fois séculaire »
Charles de Gaulle
La grandeur de la France, c’est SON PEUPLE
dont tu es, dont je suis
Scandale autour des parrainages
Pris en flagrant
délit de mépris de la Démocratie
Lundi 19 mars 2007 à
17h30,
Le Conseil constitutionnel a publié la liste des candidats à l’élection présidentielle ayant obtenu plus de 500 parrainages. Ils étaient douze : 7 candidats à gauche, 2 à droite, 1 au centre, 1 à l’extrême-droite, et 1 chasseur.
Aucun candidat écologiste indépendant n’a pu obtenir les 500 parrainages (ni France Gamerre, ni Antoine Waechter, ni Jean Marc Governatori).
Deux candidats ont
été très surpris de ne pas avoir obtenu les 500 parrainages : Rachid Nekkaz, qui disait avoir réuni
plus de 700
promesses de parrainages et Jean Marc
Governatori qui avait réussi à
cumuler sur son nom plus de 800 promesses en tant que représentant
de 9 candidats émergents à la
présidentielle.
Rachid Nekkaz
a déposé un recours devant le Conseil constitutionnel le 21 mars, affirmant que
des pressions auraient été exercées sur des élus. Sa réclamation a été rejetée
mais elle a permis de révéler le nombre de parrainages qui avait été validé par
le Conseil constitutionnel : 13.
Les autres candidats n’ont pas pu savoir officiellement
le nombre de parrainages qu’ils ont obtenu. En effet le Conseil constitutionnel
a décidé de ne pas publier le nom des élus qui ont accordé leurs parrainages
aux candidats qui ont obtenu moins de 500 parrainages (ce qui n’était pas le
cas lors des trois élections présidentielles précédentes). Il semblerait que la
loi n’oblige pas le Conseil à publier cette liste.
Fait troublant, on peut noter que Jean Louis Debré a été
nommé à la tête du Conseil
constitutionnel le 23 février, soit le lendemain du début de l’enregistrement
des parrainages par le Conseil.
De son côté Jean Marc Governatori, qui avait demandé aux
élus d’envoyer leurs parrainages directement au Conseil constitutionnel, n’a
pas pu obtenir officiellement le nombre de parrainages enregistrés. Cependant
un des membres du Conseil constitutionnel a révélé au conseiller de Jean Marc
Governatori que le Conseil constitutionnel aurait enregistré 11 parrainages à son nom (sur plus de 800 promesses
!).
Trois hypothèses sont donc apparues :
Soit la plupart des élus n’ont pas tenu leurs promesses
Soit la plupart des parrainages ont été invalidés par le
Conseil constitutionnel, ce qui est fort peu probable car il y a habituellement
à peine 1% de parrainages invalidés
Soit la plupart des parrainages ne sont jamais parvenus au
Conseil constitutionnel, car le courrier destiné au Conseil constitutionnel
aurait mystérieusement disparu.
Mercredi
21 mars 2007 au matin,
Le conseiller de Jean Marc Governatori a évoqué ces
hypothèses avec le candidat par téléphone, et lui a suggéré de déposer un
recours, sachant qu’il était possible de connaître le nombre d’élus qui avaient
envoyé un parrainage au Conseil constitutionnel en le leur demandant
directement.
Quelques heures plus tard le secrétariat de Jean Marc
Governatori recevait un appel anonyme leur affirmant :
« nous sommes au courant de la conversation téléphonique de ce matin et nous vous conseillons vivement de ne pas entamer de procédure de recours, si vous tenez à rester en vie.
Oubliez l’élection présidentielle. C’est un
domaine réservé. »
Suite à cela, Jean Marc
Governatori a décidé de ne pas entâmer de procédure de recours pour pouvoir
préparer sereinement les élections législatives avec son mouvement « La France en action ».
Les menaces envoyées à Jean Marc Governatori semblent donc prouver qu’il
avait en fait obtenu les 500 parrainages, mais que sa candidature dérangeait
énormément certains. Cela expliquerait également pourquoi il a eu si peu accès
aux médias ces derniers mois, et surtout pourquoi certains enregistrements
télévisés ont été coupés au montage. A l’évidence le programme que porte Jean
Marc Governatori dérange beaucoup les gouvernants en place et ils ont tout fait
pour qu’il ne puisse pas le faire connaître auprès du grand public.
A l’évidence, dans
cette élection, un candidat qui avait le contrôle des renseignements généraux
(et donc des « écoutes ») et des services secrets (et donc la possibilité
d’intercepter du courrier destiné au Conseil constitutionnel) a fait en sorte
d’éliminer tous les candidats qui le dérangeaient
(et notamment Nicolas Dupont
Aignan, Rachid Nekkaz et Jean Marc Governatori).
Il a également aidé certains candidats dont la présence
au 1er tour l’arrangeait à obtenir les
500 parrainages (notamment Olivier Besancenot et Jean Marie Le Pen).
Tout cela dans le seul but de parvenir au pouvoir.
Mais au delà de la colère que peut susciter une telle injustice et un
tel mépris de la démocratie, nous avons le pouvoir de rétablir la justice et la
démocratie, par notre vote le 22 avril 2007 mais aussi en éclairant les
citoyens sur la personnalité de ce candidat, par la diffusion de ce message au
plus grand nombre.
Des décisions que nous allons prendre dans les jours et
les semaines à
venir dépend le destin de la France et l’avenir de nos enfants et de
notre planète. Ils peuvent être le pire comme le meilleur.
Bertrand Séné, Paris, le 25 mars 2007
Fichier PDF à
télécharger et à faire tourner à
vos listes de diffusion.
Article extrait du site Démocratie en danger
Jeudi 24 avril 2008
2) Censure inconcevable…
Dimanche 22 avril 2007
(23h12)
En France, on n’a pas le droit de divulguer les résultats
des élections avant 20h ; à l’étranger,
oui.
Curieux comme beaucoup d’électeurs, j’ai voulu aller voir
« ailleurs » avant l’heure…
Et bien, c’était impossible : tous les sites
d’informations étrangers (et peut-être même tous les sites étrangers
d’ailleurs), étaient inaccessibles.
J’ai pensé qu’un
nombre de curieux, à mon image, saturaient le trafic sur ces sites, les
rendant inaccessibles.
Je me suis donc retranché sur ma télé, et ai cherché les
chaines étrangères sur TPS.
Magie : disparues du bouquet habituel.
A ma connaissance, une telle censure est une première.
Quel boulot
monstrueux pour fliquer et rendre inaccessibles tous ces sites et chaines
télévisées.
Que d’efforts déployés pour désinformer. Comment peut-on
avoir encore envie de voter pour un
gouvernement aussi totalitaire ?
Pourquoi, par désir
de pouvoir, priver des millions d’’étrangers innocents et non concernés de
leurs chaines favorites ; alors qu’ils payent des abonnements pour ça ? Je
trouve ça scandaleux ! Pas vous ?
Le vote utile au premier tour nous a rendu victime de
cela ; que nous prépare le futur gouvernement comme fliquage et censure ?
En tous cas, il vient de nous prouver qu’il est capable d’employer des moyens considérables !
Nos libertés
sont en danger.
Pour moi, le vote du second tour sera un réel vote utile
: contre qui ? contre quoi ?
Je pense que vous l’avez compris et me suivrez tous !
Chien Guevara en colère
(Message posté sur le site de bellaciao.org)
(suite)
Résumons :
1. La soirée électorale, donc l’élément décisif de la campagne du second tour, a été complètement faussée par une panne informatique.
2. Contrairement à ce que tous les Français croient, le ministère de l’intérieur ne gère pas lui-même les moyens nécessaires à la production des résultats électoraux officiels, ayant force de loi.
3. Ce travail décisif pour la démocratie française est confié non seulement à une société privée, mais, mieux encore, à une société américaine, LEVEL 3 COMMUNICATIONS
4. Vérifications faites à partir d’informations ouvertes disponibles sur Internet, cette importante société américaine se trouve avoir des liens très étroits avec les deux principaux partis politiques américains, le Parti Républicain et le Parti Démocrate, qu’elle finance l’un et l’autre avant chaque élection présidentielle (cliquez ici)
5. La société en question n’a fourni aucune explication sur la panne. Personne n’est donc en mesure de garantir que cette panne n’a pas été volontairement provoquée, à la demande d’un mystérieux commanditaire, pour aboutir aux résultats faux de dimanche soir. Circulez, il n’y a rien à voir !
6. Mis à part l’article du Monde, aucun média ne s’est interrogé sur ce grave et troublant dysfonctionnement qui entachent le résultat officiel des élections. Personne ne s’interroge non plus sur la fiabilité et les contrôles réels de l’ensemble « machines à voter + serveurs hébergés par la société américaine LEVEL 3 COMMUNICATIONS » qui a également produit les résultats des présidentielles et des législatives.
7. On nous présente un scénario rocambolesque à base de « serveurs qui s’écroulent » puis « d’adresse de délestage ». Mais ce scénario ne tient pas la route une seconde pour qui connaît un minimum l’informatique : collecter les votes de 25 millions d’inscrits, préalablement centralisés dans une centaine de préfectures, c’est bien le minimum que doit pouvoir faire n’importe quel serveur informatique bon marché. Du reste, on n’a pas attendu mars 2008 pour gérer ce type de situations et les Français ont connu suffisamment de soirées électorales télévisées depuis 40 ans pour savoir que la collecte des résultats ne posait aucun problème par le passé, avec des ordinateurs pourtant infiniment moins puissants que de nos jours. Comme par ailleurs le ministère précise avoir recours à « ce qu’on peut trouver de plus puissant », on est en droit de se poser de très graves questions sur la cause réelle de la « panne ».
8. Nous voudrions également comprendre pourquoi un gouvernement qui nous rebat les oreilles avec son soutien à l’économie numérique juge préférable d’avoir recours aux services d’une société étrangère pour résoudre un problème bête comme chou, et parfaitement bien résolu depuis des décennies, qui est la simple collecte des résultats électoraux transmis par la centaine de préfectures françaises.
9. Nous voudrions enfin comprendre pourquoi la France, qui est capable de mettre au point des armes thermonucléaires par des simulations informatiques extraordinairement sophistiquées, qui a été choisi internationalement pour développer le centre de recherche sur la fusion atomique ITER serait incapable de gérer par lui-même l’addition des votes de ses électeurs.
Conclusion :
Il n’est pas tolérable qu’une société américaine produise, on ne sait comment, ce que le peuple français est censé devoir accepter comme l’expression suprême de la souveraineté populaire. Cette procédure est d’autant moins admissible qu’elle s’accompagne de la mise en place, en nombre croissant, de « machines à voter » électroniques qui produisent des résultats dont l’opacité suscite la défiance d’une écrasante majorité de nos concitoyens.
Rien ne serait plus grave pour la démocratie et plus périlleux pour la paix civile en France si une suspicion généralisée devait désormais se porter sur la véracité des résultats annoncés à l’issue de toutes nos élections.
Nous exigeons donc de revenir à la situation antérieure, qui donnait toute satisfaction sans soulever les moindres soupçons. Le ministère de l’intérieur doit obtenir et rendre publiques les explications de son prestataire américain, puis rompre immédiatement ce contrat.
L’Union Populaire Républicaine envoie le présent texte à l’ensemble des députés et sénateurs de la République, et leur demande que soit créée une commission d’enquête parlementaire sur cette question d’une exceptionnelle gravité.
Nous leur demandons aussi que soit déposé, le plus rapidement possible, une proposition de loi interdisant toute intervention de sociétés privées dans les opérations électorales, ainsi que tout usage des machines à voter.
1ère partie
SCANDALEUX - Y-A-T-IL LEVEE DE
BOUCLIER ?
ETIEZ-VOUS AU COURANT ?
Les résultats électoraux produits par une société américaine ?
Dimanche dernier, les commentateurs du 1er tour des élections municipales se sont montrés unanimes : alors qu’on attendait un effondrement de la droite, la première surprise de la soirée aurait été la relative et inattendue bonne tenue des listes UMP ; la seconde surprise, c’est que le taux global de participation était en hausse depuis 2001.
La tonalité de la soirée électorale fut ainsi donnée par
ces deux « surprises », qui dominèrent également les lignes éditoriales
de la presse écrite du lendemain. Pour la majorité des Français, la messe
du 1er tour était dite : forte participation et maintien surprise de
l’UMP. Pourtant, dès le mardi, puis tout au long de la semaine, des
informations d’une toute autre tonalité ont commencé à se faire jour. Des
informations capitales dont ont été privés la grande majorité des
Français, qui n’ont porté attention à ces élections que le dimanche soir
ou dans la presse écrite du lundi.
Ainsi, il a fallu attendre le vendredi, ce qui ne
s’était jamais vu depuis la dernière guerre, pour enfin connaître les
chiffres officiels de la participation. Surprise : il n’est plus du tout
question d’une hausse mais d’un effondrement historique : jamais depuis
1959 la participation n’avait été aussi basse : 66,54% au total et 61,07%
dans les communes de plus de 3500 habitants. Dans la capitale, c’est même
43% des électeurs qui ont refusé d’aller voter.
Les étranges innovations électorales du ministère de l’intérieur
Que s’est-il passé le soir de l’élection pour que l’information et la perception de la situation politique réelle soient ainsi faussées ?
Un
début de réponse nous a été donné par un article stupéfiant du
journal le Monde. On y apprend les causes de la »panne« : « Les résultats ont d’abord parcouru le chemin
traditionnel : les mairies les ont envoyés, par téléphone ou par fax, dans
les préfectures, qui les ont communiqués via un système Intranet au
ministère. « La synthèse s’est faite tout à fait normalement » (…)
Mais les serveurs, hébergés par une société externe, dont le ministère n’a
pas voulu divulguer le nom, se sont écroulés à plusieurs reprises. »
En clair, cela signifie :
* d’une part
que les serveurs du ministère de l’intérieur ne sont pas gérés par les
fonctionnaires habilités à cette fin mais par "une société
externe"
* d’autre part que le ministère
de l’intérieur refuse de communiquer l’identité de la société qui a
désormais la haute main sur les élections françaises.
Ce n’est pas tout : « Le
système étant engorgé, les services de l’intérieur ont dû ressaisir les
résultats. Le taux de participation définitif n’a été établi que lundi
après-midi. Le prestataire, qui avait traité les élections présidentielle
et législatives de 2007, utilise "ce que l’on peut trouver de plus
puissant", assure Bertrand Maréchaux, directeur des systèmes
d’information du ministère. (…) M. Maréchaux confiait, lundi soir, n’avoir
toujours pas trouvé « de véritable explication technique ».
Mme Alliot-Marie, rompant avec l’habitude de la plupart de ses
prédécesseurs, s’est refusée dimanche à toute apparition publique pour donner
les résultats et s’est contentée d’un communiqué diffusé à 23 h 13. »
En clair cela signifie :
* que le mystérieux prestataire privé a eu également la haute main sur les
présidentielles et les législatives, premières élections françaises où
étaient utilisées les machines à voter, qui, elles aussi, suscitent de
nombreuses et justifiées interrogations.
* et que le directeur des
systèmes d’information du ministère de l’intérieur avoue n’avoir reçu
aucune explication de ce mystérieux prestataire extérieur.
Qui est la mystérieuse société qui produit désormais les
résultats électoraux français officiels ?
Est-il normal et sain pour la démocratie que le
ministère de l’intérieur garde le silence sur l’identité de la société
prestataire qui gère désormais nos résultats électoraux officiels ?
Pour l’UPR, la réponse est non. Nous avons donc décidé
d’en savoir plus, ce qui n’est pas très difficile puisqu’un simple logiciel
gratuit « whosip.exe » permet à tout internaute de découvrir le pot
aux roses.
(télécharger
whosip ici, copiez-le
dans C : puis, dans Accessoires > Invites de commandes > tapez cd >
Enter puis : whosip www.interieur.gouv.fr > Enter )
Vous obtiendrez ce résultat autant spectaculaire que révoltant, s’agissant
du ministère de l’intérieur de la République Française :
WHOIS Source : ARIN
IP Address : 8.12.199.126
Country : USA
- Colorado
Network Name : LVLT-ORG-8-8
Owner Name : Level 3 Communications, Inc.
From IP : 8.0.0.0
To IP :
8.255.255.255
Allocated : Yes
Contact Name : Level 3 Communications, Inc.
Address : 1025 Eldorado Blvd., Broomfield
Email :
[email protected]
Abuse Email : [email protected]
Phone :
877-453-8353
Fax :
Sauf erreur, cela signifie, en clair, que « le système intranet » du ministère français de l’intérieur est hébergé par la société américaine LEVEL 3 COMMUNICATIONS, situé à Denver, Colorado, USA.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
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