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Michèle DRAYE

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Derniers commentaires



  • Michèle DRAYE 25 mars 2014 12:30

    Qui était la cible de la manipulation Clearstream : Sarkozy ou Villepin ?

     http://www.voltairenet.org/article163784.html




    LA STRATEGIE EUROPENNE DES NEO-CONSERVATEURS

    http://www.voltairenet.org/article128785.html

     

    27 septembre 2007

    Comité américain pour une Europe forte

    par Thierry Meyssan*

     

    (Extraits)

    La donne européenne a été bouleversée par le rejet du Traité constitutionnel européen en France ainsi qu’aux Pays-Bas et par les élections législatives allemandes. Thierry Meyssan dévoile les analyses des néo-conservateurs états-uniens et leur nouvelle stratégie pour l’Europe.

    .../...

    À Washington, les néoconservateurs ont décidé d’adapter leur dispositif organisationnel à leur nouvelle stratégie. Le groupe qui, au sein de l’American Enterprise Institute, avait été chargé de rédiger le programme de la présidence G. W. Bush, le Project for a New American Century (Projet pour un nouveau siècle américain), a été discrètement dissout il y a deux semaines. Il a été remplacé par un American Committee for a Strong Europe (Comité américain pour une Europe forte).

     

    Par « Europe forte », il faut comprendre, une Europe capable de suppléer les troupes US dans le monde et de vaincre les résistances anti-globalisation dans sa population.

    Ce Comité, qui évitera d’intervenir trop ouvertement dans la politique de l’Union, a immédiatement sollicité des « amis de l’Amérique » pour le faire en son nom.

     

     Ainsi, l’Arabie saoudite a-telle répondu présent pour financer les prochaines campagnes électorales de Nicolas Sarkozy en France et permettre aux néoconservateurs d’en finir avec Dominique de Villepin.

     

     Des mesures similaires ont été prises pour chaque grand État membre de l’Union.

    Thierry Meyssan


    Analyste politique, fondateur du Réseau Voltaire.


    Mon commentaire :

    IL FALLAIT PUNIR LA FRANCE

    pour s’être opposée à l’agression de l’IRAQ

    Ils nous l’ont fait payer très cher

    Mais...


    « Il y a entre la grandeur de la France et le liberté du monde

    un pacte 30 fois séculaire »

    Charles de Gaulle


    La grandeur de la France, c’est SON PEUPLE

    dont tu es, dont je suis




     

     



  • Michèle DRAYE 25 mars 2014 12:21

     Scandale autour des parrainages


    Pris en flagrant délit de mépris de la Démocratie

     



    Lundi 19 mars 2007 à 17h30,

     

     Le Conseil constitutionnel a publié la liste des candidats à l’élection présidentielle ayant obtenu plus de 500 parrainages. Ils étaient douze : 7 candidats à gauche, 2 à droite, 1 au centre, 1 à l’extrême-droite, et 1 chasseur.

     

    Aucun candidat écologiste indépendant n’a pu obtenir les 500 parrainages (ni France Gamerre, ni Antoine Waechter, ni Jean Marc Governatori).

     

     Deux candidats ont été très surpris de ne pas avoir obtenu les 500 parrainages : Rachid Nekkaz, qui disait avoir réuni plus de 700 promesses de parrainages et Jean Marc Governatori qui avait réussi à cumuler sur son nom plus de 800 promesses en tant que représentant de 9 candidats émergents à la présidentielle.

    Rachid Nekkaz a déposé un recours devant le Conseil constitutionnel le 21 mars, affirmant que des pressions auraient été exercées sur des élus. Sa réclamation a été rejetée mais elle a permis de révéler le nombre de parrainages qui avait été validé par le Conseil constitutionnel : 13.

    Les autres candidats n’ont pas pu savoir officiellement le nombre de parrainages qu’ils ont obtenu. En effet le Conseil constitutionnel a décidé de ne pas publier le nom des élus qui ont accordé leurs parrainages aux candidats qui ont obtenu moins de 500 parrainages (ce qui n’était pas le cas lors des trois élections présidentielles précédentes). Il semblerait que la loi n’oblige pas le Conseil à publier cette liste.

    Fait troublant, on peut noter que Jean Louis Debré a été nommé à la tête du Conseil constitutionnel le 23 février, soit le lendemain du début de l’enregistrement des parrainages par le Conseil.

    De son côté Jean Marc Governatori, qui avait demandé aux élus d’envoyer leurs parrainages directement au Conseil constitutionnel, n’a pas pu obtenir officiellement le nombre de parrainages enregistrés. Cependant un des membres du Conseil constitutionnel a révélé au conseiller de Jean Marc Governatori que le Conseil constitutionnel aurait enregistré 11 parrainages à son nom (sur plus de 800 promesses  !).

    Trois hypothèses sont donc apparues :

    Soit la plupart des élus n’ont pas tenu leurs promesses


    Soit la plupart des parrainages ont été invalidés par le Conseil constitutionnel, ce qui est fort peu probable car il y a habituellement à peine 1% de parrainages invalidés


    Soit la plupart des parrainages ne sont jamais parvenus au Conseil constitutionnel, car le courrier destiné au Conseil constitutionnel aurait mystérieusement disparu.


    Mercredi 21 mars 2007 au matin,

     

    Le conseiller de Jean Marc Governatori a évoqué ces hypothèses avec le candidat par téléphone, et lui a suggéré de déposer un recours, sachant qu’il était possible de connaître le nombre d’élus qui avaient envoyé un parrainage au Conseil constitutionnel en le leur demandant directement.

    Quelques heures plus tard le secrétariat de Jean Marc Governatori recevait un appel anonyme leur affirmant :

     

     « nous sommes au courant de la conversation téléphonique de ce matin et nous vous conseillons vivement de ne pas entamer de procédure de recours, si vous tenez à rester en vie.

     Oubliez l’élection présidentielle. C’est un domaine réservé. »

    Suite à cela, Jean Marc Governatori a décidé de ne pas entâmer de procédure de recours pour pouvoir préparer sereinement les élections législatives avec son mouvement « La France en action ».

    Les menaces envoyées à Jean Marc Governatori semblent donc prouver qu’il avait en fait obtenu les 500 parrainages, mais que sa candidature dérangeait énormément certains. Cela expliquerait également pourquoi il a eu si peu accès aux médias ces derniers mois, et surtout pourquoi certains enregistrements télévisés ont été coupés au montage. A l’évidence le programme que porte Jean Marc Governatori dérange beaucoup les gouvernants en place et ils ont tout fait pour qu’il ne puisse pas le faire connaître auprès du grand public.

    A l’évidence, dans cette élection, un candidat qui avait le contrôle des renseignements généraux (et donc des « écoutes ») et des services secrets (et donc la possibilité d’intercepter du courrier destiné au Conseil constitutionnel) a fait en sorte d’éliminer tous les candidats qui le dérangeaient

    (et notamment Nicolas Dupont Aignan, Rachid Nekkaz et Jean Marc Governatori).

    Il a également aidé certains candidats dont la présence au 1er tour l’arrangeait à obtenir les 500 parrainages (notamment Olivier Besancenot et Jean Marie Le Pen).

    Tout cela dans le seul but de parvenir au pouvoir.


    Mais au delà de la colère que peut susciter une telle injustice et un tel mépris de la démocratie, nous avons le pouvoir de rétablir la justice et la démocratie, par notre vote le 22 avril 2007 mais aussi en éclairant les citoyens sur la personnalité de ce candidat, par la diffusion de ce message au plus grand nombre.

    Des décisions que nous allons prendre dans les jours et les semaines à venir dépend le destin de la France et l’avenir de nos enfants et de notre planète. Ils peuvent être le pire comme le meilleur.

    Bertrand Séné, Paris, le 25 mars 2007


    Fichier PDF à télécharger et à faire tourner à vos listes de diffusion.
    Article extrait du site Démocratie en danger

    Jeudi 24 avril 2008 



  • Michèle DRAYE 25 mars 2014 12:20

    2) Censure inconcevable…

     

    Dimanche 22 avril 2007 (23h12)

    En France, on n’a pas le droit de divulguer les résultats des élections avant 20h ; à l’étranger, oui.

     

    Curieux comme beaucoup d’électeurs, j’ai voulu aller voir « ailleurs » avant l’heure…

    Et bien, c’était impossible : tous les sites d’informations étrangers (et peut-être même tous les sites étrangers d’ailleurs), étaient inaccessibles.

     

     J’ai pensé qu’un nombre de curieux, à mon image, saturaient le trafic sur ces sites, les rendant inaccessibles.

    Je me suis donc retranché sur ma télé, et ai cherché les chaines étrangères sur TPS.

     

    Magie : disparues du bouquet habituel.

     

     A ma connaissance, une telle censure est une première.

     

     Quel boulot monstrueux pour fliquer et rendre inaccessibles tous ces sites et chaines télévisées.

    Que d’efforts déployés pour désinformer. Comment peut-on avoir encore envie de voter pour un gouvernement aussi totalitaire ?

     

     Pourquoi, par désir de pouvoir, priver des millions d’’étrangers innocents et non concernés de leurs chaines favorites ; alors qu’ils payent des abonnements pour ça ? Je trouve ça scandaleux ! Pas vous ?

    Le vote utile au premier tour nous a rendu victime de cela ; que nous prépare le futur gouvernement comme fliquage et censure ?

     

     En tous cas, il vient de nous prouver qu’il est capable d’employer des moyens considérables !

     

     Nos libertés sont en danger.

    Pour moi, le vote du second tour sera un réel vote utile  : contre qui ? contre quoi ?

     

     Je pense que vous l’avez compris et me suivrez tous !



    Chien Guevara en colère

     

     

    (Message posté sur le site de bellaciao.org)

     



  • Michèle DRAYE 25 mars 2014 12:17

    (suite)


    Résumons :

     1. La soirée électorale, donc l’élément décisif de la campagne du second tour, a été complètement faussée par une panne informatique.

     2. Contrairement à ce que tous les Français croient, le ministère de l’intérieur ne gère pas lui-même les moyens nécessaires à la production des résultats électoraux officiels, ayant force de loi.

     3. Ce travail décisif pour la démocratie française est confié non seulement à une société privée, mais, mieux encore, à une société américaine, LEVEL 3 COMMUNICATIONS

     4. Vérifications faites à partir d’informations ouvertes disponibles sur Internet, cette importante société américaine se trouve avoir des liens très étroits avec les deux principaux partis politiques américains, le Parti Républicain et le Parti Démocrate, qu’elle finance l’un et l’autre avant chaque élection présidentielle (cliquez ici)

     5. La société en question n’a fourni aucune explication sur la panne. Personne n’est donc en mesure de garantir que cette panne n’a pas été volontairement provoquée, à la demande d’un mystérieux commanditaire, pour aboutir aux résultats faux de dimanche soir. Circulez, il n’y a rien à voir !

     6. Mis à part l’article du Monde, aucun média ne s’est interrogé sur ce grave et troublant dysfonctionnement qui entachent le résultat officiel des élections. Personne ne s’interroge non plus sur la fiabilité et les contrôles réels de l’ensemble « machines à voter + serveurs hébergés par la société américaine LEVEL 3 COMMUNICATIONS » qui a également produit les résultats des présidentielles et des législatives.

     7. On nous présente un scénario rocambolesque à base de « serveurs qui s’écroulent » puis « d’adresse de délestage ». Mais ce scénario ne tient pas la route une seconde pour qui connaît un minimum l’informatique : collecter les votes de 25 millions d’inscrits, préalablement centralisés dans une centaine de préfectures, c’est bien le minimum que doit pouvoir faire n’importe quel serveur informatique bon marché. Du reste, on n’a pas attendu mars 2008 pour gérer ce type de situations et les Français ont connu suffisamment de soirées électorales télévisées depuis 40 ans pour savoir que la collecte des résultats ne posait aucun problème par le passé, avec des ordinateurs pourtant infiniment moins puissants que de nos jours. Comme par ailleurs le ministère précise avoir recours à « ce qu’on peut trouver de plus puissant », on est en droit de se poser de très graves questions sur la cause réelle de la « panne ».

     8. Nous voudrions également comprendre pourquoi un gouvernement qui nous rebat les oreilles avec son soutien à l’économie numérique juge préférable d’avoir recours aux services d’une société étrangère pour résoudre un problème bête comme chou, et parfaitement bien résolu depuis des décennies, qui est la simple collecte des résultats électoraux transmis par la centaine de préfectures françaises.

     9. Nous voudrions enfin comprendre pourquoi la France, qui est capable de mettre au point des armes thermonucléaires par des simulations informatiques extraordinairement sophistiquées, qui a été choisi internationalement pour développer le centre de recherche sur la fusion atomique ITER serait incapable de gérer par lui-même l’addition des votes de ses électeurs.

    Conclusion :

    Il n’est pas tolérable qu’une société américaine produise, on ne sait comment, ce que le peuple français est censé devoir accepter comme l’expression suprême de la souveraineté populaire. Cette procédure est d’autant moins admissible qu’elle s’accompagne de la mise en place, en nombre croissant, de « machines à voter » électroniques qui produisent des résultats dont l’opacité suscite la défiance d’une écrasante majorité de nos concitoyens.

     Rien ne serait plus grave pour la démocratie et plus périlleux pour la paix civile en France si une suspicion généralisée devait désormais se porter sur la véracité des résultats annoncés à l’issue de toutes nos élections.

     Nous exigeons donc de revenir à la situation antérieure, qui donnait toute satisfaction sans soulever les moindres soupçons. Le ministère de l’intérieur doit obtenir et rendre publiques les explications de son prestataire américain, puis rompre immédiatement ce contrat.

     L’Union Populaire Républicaine envoie le présent texte à l’ensemble des députés et sénateurs de la République, et leur demande que soit créée une commission d’enquête parlementaire sur cette question d’une exceptionnelle gravité.

     Nous leur demandons aussi que soit déposé, le plus rapidement possible, une proposition de loi interdisant toute intervention de sociétés privées dans les opérations électorales, ainsi que tout usage des machines à voter.



  • Michèle DRAYE 25 mars 2014 12:14

    1ère partie


    SCANDALEUX - Y-A-T-IL LEVEE DE BOUCLIER ?


    ETIEZ-VOUS AU COURANT ?

    Les résultats électoraux produits par une société américaine ?

     

    Dimanche dernier, les commentateurs du 1er tour des élections municipales se sont montrés unanimes : alors qu’on attendait un effondrement de la droite, la première surprise de la soirée aurait été la relative et inattendue bonne tenue des listes UMP ; la seconde surprise, c’est que le taux global de participation était en hausse depuis 2001.

     

    La tonalité de la soirée électorale fut ainsi donnée par ces deux « surprises », qui dominèrent également les lignes éditoriales de la presse écrite du lendemain. Pour la majorité des Français, la messe du 1er tour était dite : forte participation et maintien surprise de l’UMP. Pourtant, dès le mardi, puis tout au long de la semaine, des informations d’une toute autre tonalité ont commencé à se faire jour. Des informations capitales dont ont été privés la grande majorité des Français, qui n’ont porté attention à ces élections que le dimanche soir ou dans la presse écrite du lundi.

     Ainsi, il a fallu attendre le vendredi, ce qui ne s’était jamais vu depuis la dernière guerre, pour enfin connaître les chiffres officiels de la participation. Surprise : il n’est plus du tout question d’une hausse mais d’un effondrement historique : jamais depuis 1959 la participation n’avait été aussi basse : 66,54% au total et 61,07% dans les communes de plus de 3500 habitants. Dans la capitale, c’est même 43% des électeurs qui ont refusé d’aller voter.

     

      Les étranges innovations électorales du ministère de l’intérieur

     

     Que s’est-il passé le soir de l’élection pour que l’information et la perception de la situation politique réelle soient ainsi faussées ?


     Un début de réponse nous a été donné par un article stupéfiant du journal le Monde. On y apprend les causes de la »panne«  : « Les résultats ont d’abord parcouru le chemin traditionnel : les mairies les ont envoyés, par téléphone ou par fax, dans les préfectures, qui les ont communiqués via un système Intranet au ministère. « La synthèse s’est faite tout à fait normalement » (…) Mais les serveurs, hébergés par une société externe, dont le ministère n’a pas voulu divulguer le nom, se sont écroulés à plusieurs reprises. »
     
    En clair, cela signifie :

     * d’une part que les serveurs du ministère de l’intérieur ne sont pas gérés par les fonctionnaires habilités à cette fin mais par "une société externe"

     * d’autre part que le ministère de l’intérieur refuse de communiquer l’identité de la société qui a désormais la haute main sur les élections françaises.

     Ce n’est pas tout :
    « Le système étant engorgé, les services de l’intérieur ont dû ressaisir les résultats. Le taux de participation définitif n’a été établi que lundi après-midi. Le prestataire, qui avait traité les élections présidentielle et législatives de 2007, utilise "ce que l’on peut trouver de plus puissant", assure Bertrand Maréchaux, directeur des systèmes d’information du ministère. (…) M. Maréchaux confiait, lundi soir, n’avoir toujours pas trouvé « de véritable explication technique ».  Mme Alliot-Marie, rompant avec l’habitude de la plupart de ses prédécesseurs, s’est refusée dimanche à toute apparition publique pour donner les résultats et s’est contentée d’un communiqué diffusé à 23 h 13. »


      En clair cela signifie :

      * que le mystérieux prestataire privé a eu également la haute main sur les présidentielles et les législatives, premières élections françaises où étaient utilisées les machines à voter, qui, elles aussi, suscitent de nombreuses et justifiées interrogations.

     * et que le directeur des systèmes d’information du ministère de l’intérieur avoue n’avoir reçu aucune explication de ce mystérieux prestataire extérieur.

     
    Qui est la mystérieuse société qui produit désormais les résultats électoraux français officiels ?

     Est-il normal et sain pour la démocratie que le ministère de l’intérieur garde le silence sur l’identité de la société prestataire qui gère désormais nos résultats électoraux officiels ?

     Pour l’UPR, la réponse est non. Nous avons donc décidé d’en savoir plus, ce qui n’est pas très difficile puisqu’un simple logiciel gratuit « whosip.exe » permet à tout internaute de découvrir le pot aux roses.

    (télécharger whosip ici, copiez-le dans C : puis, dans Accessoires > Invites de commandes > tapez cd > Enter puis : whosip www.interieur.gouv.fr > Enter )
     
    Vous obtiendrez ce résultat autant spectaculaire que révoltant, s’agissant du ministère de l’intérieur de la République Française :

      WHOIS Source : ARIN

     IP Address : 8.12.199.126
     Country : USA - Colorado
     Network Name : LVLT-ORG-8-8
     Owner Name : Level 3 Communications, Inc.
     From IP : 8.0.0.0
     To IP :  8.255.255.255
     Allocated : Yes
     Contact Name : Level 3 Communications, Inc.
     Address : 1025 Eldorado Blvd., Broomfield


     Email :  [email protected]
     Abuse Email : [email protected]
     Phone :  877-453-8353

     Fax :

     

       Sauf erreur, cela signifie, en clair, que « le système intranet » du ministère français de l’intérieur est hébergé par la société américaine LEVEL 3 COMMUNICATIONS, situé à Denver, Colorado, USA.




     

     

     

     

     

     

     

     

     

     



      

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