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minijack

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Auteur lui-même et éditeur virtuel pour de nombreux autres auteurs inédits, minijack est branché depuis 1997, autant dire l’aube de l’Internet en France.

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  • Premier article le 23/05/2006
  • Modérateur depuis le 08/09/2006
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Derniers commentaires



  • minijack minijack 13 septembre 2006 18:01

    « Ce n’est pas la question du sexe du candidat qui apportera de la valeur ajoutée à notre démocratie... »

    En effet, ce n’est pas la question du sexe qui doit changer quelque chose à l’élection, quelle que soit le potentiel de séduction d’un ou d’une candidat(e), mais pourtant, la « manière » féminine de diriger la France pourrait bien faire retrouver cette démocratie dont vous parlez mais qui, pour l’instant, semble avoir disparu sous les oripeaux d’une république de plus en plus dirigiste et obéissant aux seules critères des considérations économiques. L’économie, surtout l’économie sauvage d’un ultralibaralisme mondial flamboyant, n’est pas tout. Elle nous fait oublier les principes essentiels de toute vie en société : la convivialité et la solidarité.

    La « manière » féminine pourrait bien amener une nouvelle méthode, aussi ferme espérons-le, mais plus douce et plus équitable que toutes ces batailles de coqs qu’on nous montre quotidiennement, ces rivalités politiques et ces conquêtes militaires ou OPA boursières, comme si les « bourses » dans le monde entier étaient l’apanage des hommes !

    Nous avons UNE ministre des armées qui se tire fort bien de sa charge même si elle n’a pas de greonades à exhiber.

    Une présidence féminine, et une proportion de femmes à l’Assemblée plus « homothétique » de la Société Française, amèneraient inconstestablement un changement visible de la politique, au moins de la politique intérieure, sociale, économique et culturelle, changement dont nous avons grand besoin.

    Et c’est un homme qui écrit cela.

    .



  • minijack minijack 13 septembre 2006 17:22

    Très bon article, mais le sujet n’est pas nouveau. A l’occasion de la loi DADVSI nous aurions déjà pu faire le même constat. Les medias classiques sont aujourd’hui « aux ordres » d’une poignée de décideurs. Seul le Net reste encore vraiment libre (pour combien de temps ?), avec son effervescence et ses excès.

    .



  • minijack minijack 13 septembre 2006 16:55

    Excellent article qui pose bien le dilemne qui s’offre à nous : devons nous rester les vaches à lait de l’industrie culturelle et nous laisser traire sans rien dire, nous laissant conduire dans les barrières du corral jusqu’à l’auge contenant le foin sans parfum qu’on nous propose, ou devenir des terroristes de la culture officielle en choisissant la clandestinité et l’illégalité pour conserver le goût des marguerites et de l’herbe tendre ?

    Le rétrécissement de l’éventail de l’offre parallèlement au durcissement de la répression vont peu à peu tuer le P2P légal pour le transformer en vulgaire B2C (business to consumers).

    Organiser la raréfaction de l’offre pour mieux la contenir et la maintenir sous contrôle, voilà le véritable programme de « soutien à la création culturelle » envisagé par les majors. En clair, tout ce qui ne passera pas par elles et ne leur paiera pas tribut n’aura pas droit de cité. Il ne restera aux créateurs indépendants que le seul choix des licences Creative Commons, « protégeant » (si l’on peut dire) des oeuvres par définition gratuites et partageables, et donc réduisant la création culturelle à la merci de « dons » éventuels des consomatUeurs de culture.

    Il est dommage que les aficionados du P2P -créateurs inclus- n’aient, pas davantage que les majors, compris que le danger était identique d’un sens comme de l’autre. Le « tout fliqué et payant » ou le « tout libre et gratuit » sont l’un comme l’autre aussi redoutables pour la création.

    Il me semble qu’une troisième voie était possible avec une formule de Licence Globale, dût elle être aménagée spécifiquement pour la création sur le Net. En haut lieu on n’en a pas voulu parce qu’elle était « soi-disant » impossible à mettre en oeuvre techniquement. C’est faux bien sûr. La vérité est qu’on n’en a pas voulu parce que c’était la porte ouverte à la Liberté de circulation des oeuvres, AVEC rémunération des artistes, mais SANS contrôle par les majors et donc sans gain pour elles. Mais la récupération ou la disparition de fabricants de logiciels d’échange, qu’ils soient du monde du « Libre » ou pas, ne résoudra pas la question de leur utilisation et encore moins des contenus légaux ou pas qui circuleront dessus.

    .



  • minijack minijack 11 septembre 2006 16:04

    A peine étonnant, dis-tu ? Je dirai moi à peine Détonnant.

    Et c’est bien le problème de nos démocraties endormies, hypnotisées par les infos délétères déversées par nos petits écrans depuis cinq ans.

    Qu’autant de preuves réunies ne fassent pas réagir les hommes de tous pays y compris des Etats Unis est un phénomène tout aussi inexplicable que les voix de Jeanne d’Arc. Preuves, pour le moins, de mensonges évidents quant aux explications officielles, à défaut de preuves d’un véritable complot (que le bon peuple ne peut que soupçonner) visant à justifier la conquête et la maîtrise des états pétroliers tel l’Irak, ou des chemins obligés de pipe lines tel l’Afghanistan.

    Car quels que soient les défauts des systèmes politiques de ces états (et Allah sait s’ils en avaient !) ils ne gênaient pas beaucoup les dirigeants occidentaux avant cette date fatidique. Leur principal défaut aux yeux du gouvernement Bush était bel et bien de contrôler la route du pétrole dans l’hypothèse du remplacement prochain de l’Arabie Saoudite comme premier fournisseur des USA. Car quoi qu’on en dise, les réserves saoudiennes s’épuisent à vitesse grand V, et l’Amérique est un boulimique d’énergie, consommant 50% de la production mondiale et n’en produisant que 3%. Elle dépend donc à 96% de ses importations. Plus de pétrole, plus d’Amérique !

    Dès avant le 11 Septembre 2001 l’Amérique avait discuté avec ces « diables » de Talibans pour faire passer un oléoduc venant de la mer Caspienne. Ca n’avait pas abouti... Depuis l’invasion de l’Afghanistan, il est en construction.

    Dès avant le 11 Septembre toujours, des plans d’invasion de l’Irak existaient... La production pétrolière d’Irak est maintenant sous contrôle anglo américain.

    Et on commence depuis quelques temps à mettre en cause l’action de l’Iran dans la question israélienne (ce qui n’est pas faux mais qu’on peut aussi parfaitement considérer comme un pur prétexte)... A quand la prochaine explosion justifiant l’invasion de ce dernier pays clé de la production mondiale ?

    .



  • minijack minijack 9 septembre 2006 18:16

    @ am

    Si je vous comprends bien, vous aussi vous confondez « paternité » (qui correspond au « droit moral ») et l’aspect pécuniaire qui correspond au « droit patrimonial ».

    Effectivement chacun peut à sa guise gouacher sa propre « reproduction » de Picasso dès lors qu’il l’a régulièrement acquise. Mais ce n’est pas parce qu’on « peut le faire » que c’est légal. Et si c’est pour barbouiller par-dessus, pourquoi acheter une repro de Picasso ? La moindre planche, toile ou panneau suffit. Vous avez aussi la possibilité de brûler vos billets de banque. Ca n’est pas pour autant légal.

    C’est très différent d’acheter UN Picasso, de la retoucher et de le présenter toujours comme UN Picasso. Dans ce cas, ce serait attenter à l’intégrité de l’oeuvre originale, et outre les poursuite éventuelles des héritiers, ce cher Picasso se retournera dans sa tombe... Pauvre vieux Pablo. Vous ne pouvez pas vouloir cela ? !!! smiley

    La propriété inaliénable est celle de l’auteur sur l’oeuvre originale. Celle du retoucheur amateur s’exerce éventuellement sur la parodie ou le pastiche qu’il fait de cet original. Mais il vaut mieux pour lui en effet avoir obtenu avant l’autorisation de l’auteur dont il utilise le travail comme base.

    .

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