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minijack

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Auteur lui-même et éditeur virtuel pour de nombreux autres auteurs inédits, minijack est branché depuis 1997, autant dire l’aube de l’Internet en France.

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  • Premier article le 23/05/2006
  • Modérateur depuis le 08/09/2006
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Derniers commentaires



  • minijack minijack 5 septembre 2006 16:45

    Monsieur Turcey,

    Vous avez la chance indigne insigne d’appartenir à une corporation où, sauf exception à incidence politique, l’on ne paie jamais ses fautes qu’avec une promotion. Il me semble donc très pertinent de veiller d’un peu plus près à ce qui se passe dans les cabinets et la manière dont sont prises les décisions.

    Prenons un exemple :

    J’ai personnellement connu dans les années 80, dans une petite ville de Picardie, un juge qui ressemblait à ceux dont vous défendez la quiétude. Ce brave homme, débutant sa carrière sans aucun doute, a cru bon de mettre sous mandat de dépôt un mineur de 16 ans qui avait banalement volé une voiture. Le mineur désespéré s’est suicidé quelques jours après dans sa cellule. Sans nul doute, il regrettait son geste. Le juge, lui, regretta-t-il sa décision ? L’histoire ne le dit pas.

    Les petites villes de province étant facilement sujettes à propagation de rumeurs et de scandales, ce juge a été déplacé à la capitale et promu à la communication... Au moins il n’avait plus à juger, c’était déjà ça !

    Vous vous dites sans doute que Justice est passée dans les deux cas, pour le jeune et pour le juge ? Selon moi elle n’est pas passée par le même train...

    Je serais curieux de savoir si, aujourd’hui, un entretien dans ce même cabinet se passerait de la même manière sous l’oeil attentif d’une caméra, et si la mise en détention du jeune serait de nouveau requise par ce même juge ou s’il réfléchirait davantage à la fragilité psychologique des prévenus qu’on lui présente ? Je serais heureux d’avoir une réponse sur votre manière de voir la chose aujourd’hui, sous l’oeil d’une caméra.

    Accessoirement, dans d’autres affaires toutes aussi bénignes, la mutation de ce juge a entraîné pour d’autres prévenus une durée de détention provisoire injustifiée, par le simple fait que les dossiers en cours n’avaient pu être traités par l’intérim avant la nomination d’un successeur titulaire... Qu’à cela ne tienne ! pourront se dire certains, ils n’avaient qu’à ne pas se mettre dans cette situation ! J’excuserai l’argument de la part des imbéciles qui ne savent pas de quoi ils parlent, mais pas de la part d’un juge. Lui sait la différence entre quelques jours et quelques mois en préventive.

    Oui décidément, la présence d’une caméra dans les cabinets m’apparaît comme un rempart de la Liberté.

    .



  • minijack minijack 5 septembre 2006 15:40

    Alors oui, l’enregistrement ne peut qu’aider. Et, chez le juge d’instruction, ça ne peut que s’avérer utile face aux pratiques d’intimidation.

    Oui, dans les deux cas. L’intimidation n’est pas le fait des seuls juges d’instruction. Et les réponses d’interrogatoires s’avèrent très souvent tendancieuses une fois transcrites sur le papier. (Comme par hasard, toujours dans un sens « à charge ».)

    Il serait donc très positif pour une véritable instruction « à charge ET à décharge » que ces diverses interviews soient enregistrées en video + son, car la tonalité et les mimiques sont souvent bien plus parlantes que les mots inscrits.

    .



  • minijack minijack 5 septembre 2006 15:27

    Gratuité tout court contre l’espoir d’un « DON » ?

    Débile ! Pourquoi croyez-vous qu’on ait été obligé d’inventer le Droit d’Auteur ? Parce que les gens ne sont pas naturellement généreux ni reconnaissants du plaisir qu’on leur donne. Il faut toujours les forcer un peu pour qu’ils sortent le porte monnaie. La gratuité complète c’est la mort de la création.

    L’ennui c’est que les cadenas aussi !

    Gratuité contre publicité obligatoire ?

    Une manière comme une autre d’obtenir ce qu’on veut sans sortir d’argent, mais est-ce bien vraiment plus cool de s’obliger à écouter des inepties publicitaires afin de parvenir à ses fins ? Outre le temps perdu à écouter quelque chose qui ne vous intéresse absolument pas, ce me semble relever d’un conditionnement mental encore plus dangereux pour le consommateur que son contraire, la censure médiatique.

    Ne serait-il pas tellement plus simple d’accepter de payer à son juste prix ce que l’on consomme, tout bêtement, au lieu de se farcir la tête de choses insipides et inutilement encombrantes ?...

    .



  • minijack minijack 5 septembre 2006 15:07

    Et je reconnais que tu ne t’en « prives » pas ! smiley

    .



  • minijack minijack 5 septembre 2006 15:05

    L’idée est mauvaise, car avec la suppression de la propriété, on perd le droit d’usage libre. Je prédis qu’un tel système s’effondrerait en caricature totalitaire sous le poids des Termes d’Usage et des Conditions d’Utilisation du Service.

    Tout à fait d’accord.

    Il n’est pas mauvais que cette hypothèse « tout-en-loc » co-existe avec la propriété, mais je ne veux y être conduit par obligation. A la limite, ça justifierait le vol !

    Et puis... dépendre à ce point de son portable en permanence... C’est la nouvelle version de l’esclavage.

    .

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