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  • mitra 28 mars 2013 20:27

    Votre démonstration, aussi raisonnée soit-elle, aura du mal à franchir moultes murailles.

    L’ambition que vous portez est politique : il faut donc l’insérer dans une construction politique en trouvant les points d’accrochage idéologiques avec des courants existants.
    Il vous faut aussi une stratégie, et là ce n’est pas le plus simple : pétitions c’est le minimum mais ça ne portera pas jusqu’au politique, justement parce que cela ne s’insérera pas magiquement dans leur structure de réflexion. Quand je dis stratégie, je ne dit surtout pas « plan com »

    L’ambition que vous portez est culturelle : il vous faut donc des actes ou événements culturels.
    C’est la partie qui est peut-être la plus réalisable étant donné le nombre de personnes à travers le monde qui peut apporter une pièce à ce type d’édifice. L’événement, c’est le plus simple, l’acte, c’est moins évident.

    S’infiltrer quelque part : là aussi les murailles sont bien gardées. La voie académique des sciences
    (congrès, conf, publications) a le cerbère anglophone qui veille, mais un petit événement (un locuteur qui fait sa conf en ayant prévu un traducteur simultané en anglais, ça peut être une goutte d’eau à condition que ça ne nuise pas à sa réputation ou sa carrière)

    Le monde de ingénierie a une telle vacuité culturelle ou politique qu’il ne me semble pas opportun de tenter par là ( à moins d’un coup de génie, mais je met rarement de l’espoir dans les miracles)

    La voie geek peut être à explorer puisqu’ils se sont bien mis au Klingon mais il faut un événement (ou fait) culturel adapté et séduisant, captivant ou fascinant qui puisse permettre de s’accocher dessus ,un peu comme le grain de poussière sans lequel le cristal de neige ne peut se former (voyez comme un « 42 » a pu laisser sa trace)

    Il faut peut être sacrifier un peu de temps des association dédié à l’apprentissage pour le consacrer à une création culturelle, même si ça ne met pas du beurre dans les épinards.

    Les conseilleurs ne sont pas les payeurs, je vous le concède et ma démarche n’est nullement moralisatrice : c’est juste ce que la lecture de votre texte m’a mis à l’esprit.

    Salutations et merci de ce que vous faites.



  • mitra 1er décembre 2012 12:26

    Dans la liste des éléphanteaux blancs, on peut aller fouiner aussi l’histoire des aéroports de Metz-Nancy-Lorraine, et Chalon en Champagne (un peu moins flagrant pour Chalon).

    Même phraséologie à l’œuvre.

    Sinon, juste un petit rafraîchissement géographique où l’on peut s’apercevoir que Saint-Nazaire est à 60 km de Nantes...Il y a aussi un aéroport à St Nazaire.



  • mitra 3 avril 2011 17:43

    On ne va pas y arriver, mais ce n’est pas grave ;o)

    Juste pour tenter de comprendre ce que vous voulez dire par :
    "ce que disait la personne interrogée était complètement faux et trompeur, c’est bien ce que je voulais dire dans mon article, puisqu’il induisait dans la tête du spectateur une notion fausse, comme quoi le délégataire laisserait fuire le réseau car il facturait l’eau dans tous les cas, ce qui est faux« 

    Ce qui est faux (donc absolument pas vrai) c’est :
    1) Le délégataire laisse fuire (au lieu de »il ne se bouscule pas pour réparer« ou »il ne s’acquitte pas du taux de remplacement de 1% par an du réseau de distribution« )
    2) Il facture la totalité de l’eau perdue (au lieu de »il en facture indirectement une partie« )
    3) Dans tous les cas ( au lieu de »mais ce n’est pas toujours comme ça" )

    Ou l’ensemble des 3 réunis ?

    Pis après j’arrête promis ;o)

    Mitra



  • mitra 3 avril 2011 15:57

    "En l’occurence pour une Délégation de Service Public, c’est totalement différent, la différence dont vous parlez (les 900 de perte) sont bien pour la pomme du délégataire (ce qui ne lui coûte pas tant que ça d’ailleurs, puisqu’ entre le prix facturé et le prix d’un litre d’eau produit, il y a quand même un gap)."

    Justement, je voulais (maladroitement je l’admet) parler de comment le producteur re-transfert par ce gap la partie qui est perdue dans les tuyaux. C’est bien pour cela que la différence est bien pour sa pomme, mais il la répercute sur les tarifs pour que ce soit au final payé par les poires (sinon, tous les ans, le producteur serait en faillite pour faire simplet).

    Bref son prix de l’eau prend en compte les pertes en charge ainsi que les pénalités qui sont répercutées aussi en les diluant sur des années de fournitures (pareil pour le droit d’entrée)

    Mais de l’eau comme pour bien d’autre choses, la complexité camoufle le fonctionnent complet. Cette complexité est-elle voulue/nécessaire/fortuite ? Difficile de démêler.

    Mitra



  • mitra 2 avril 2011 19:01

    Bonjour à l’auteur.
    Vous écrivez :
    " Ma séquence préférée est celle où l’on voit une canalisation fuir, et un zozo explique que le délégataire ne répare pas la fuite, parce que de toute manière l’eau est facturée. Stop. Arrêt sur image. C’est bien entendu complètement faux, puisque, pour quiconque a déjà eu une facture d’eau à payer, c’est bien au compteur du consommateur qu’est calculée la consommation facturée (donc après la fuite), et non pas à la sortie de l’usine. Comment une telle énormité peut-elle passer dans un reportage à large diffusion ? Mystère et boule(tte) de gomme !"

    Hum.. Le producteur facture effectivement la totalité de ce qui sort de chez lui réparti sur la somme de ce qui arrive chez vous. Comme vous aimez la base 10, imaginez qu’il sort 1000 l de la station de production qui sont envoyés dans les tuyaux auxquels sont connectés 10 abonnés . Il y a une perte de 900 l par les fuites d’adductions d’eau situées avant les compteurs particuliers (oui, c’est beaucoup et pas représentatif ;o). Il arrive alors que 100 l réparti sur les 10 abonnés. La somme de ce qu’ils paieront correspondra au prix de 1000 l que doit recevoir le producteur. La facture des utilisateurs est donc multipliée par 10 par rapport à un système sans fuites. Dans les 2 cas le producteur ne perd rien.
    De la même façon que nous payons l’électricité perdue par effet joule dans les câbles de distribution (sauf que ça on ne sait pas bien le limiter si ce n’est augmenter la tension, mais ça génère d’autre problèmes)

    Sinon il y a des bons trucs dans votre article, mais je dirais qu’il n’y a pas que le journalisme classique qui peut être mis en question. (et je ne m’en prive pas ;o)

    Sans rancunes

    Mitra

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