Vous êtes avachi(e) dans vos
déjections comme une bête à manger du foin. Alors, vous méritez qu’on
vous nettoie au karcher pour vous amener à l’abattoir. C’est ce que nous allons
faire ci-dessous.
Vous dites : « … l’Afrique
a toujours été en retard sur le reste du monde. ». Ceci est le fruit d’une imagination stupide,
arriérée et bornée. Il suffit de rappeler que
l’Homme MODERNE vient d’Afrique (1). L’Homme moderne (actuel), au sens
générique, est apparu en Afrique il y a environ 200.000 ans. Il est sorti
d’Afrique il y a environ 70.000 ans. Il est arrivé en Europe il y a environ
40.000 ans environ.
C’est dire qu’avant
de sortir d’Afrique, le seul homme moderne qui existait sur la terre était
l’Homme NOIR. Il vivait exclusivement en Afrique. Avant de sortir de l’Afrique,
cet Homme NOIR avait accumulé un arsenal impressionnant d’inventions
technologiques, scientifiques, économiques, philosophiques, culturelles,
médicales, artistiques, etc., et surtout le langage (2) et la civilisation. En
ces temps-là, l’Homme Blanc n’existait pas sur la terre, à fortiori l’Homme
Jaune. En ces temps-là, les autres continents étaient vierges de l’Homme, de l’Homme
moderne.
L’Homme Blanc actuel n’existe sur la terre que depuis environ 25.000
ans (Cro-Magnon). C’est l’Homme Noir, arrivé en Europe (Péninsule Ibérique)
avec tout son bagage civilisationnel, qui s’est transformé (mutation génétique
et mental) en Homme Blanc par un long séjour (environ 5000 ans) dans le froid
intense au cours de la dernière période glaciaire.
Vous avez encore
écrit : « Tout le monde sait que l’Afrique du Nord est rempli de vestiges
antiques, en particulier l’Egypte. Il est évident que nous parlons ici de
l’Afrique noire et l’Egypte ne fait pas parti de l’Afrique noire. »
Votre cerveau rempli de
camemberts pourris, grouillant d’asticots, est incapable de concevoir
l’ancienneté de l’époque où ces vestiges antiques avaient été construits. A
cette époque-là, il n’y avait aucun homme blanc sur le Continent Africain, et
presque pas au Moyen Orient, ni en Asie du Sud-Est (Inde Pakistan) tout au
moins. Toutes ces régions étaient alors habitées exclusivement par les NOIRS,
premiers habitants.
En ce qui concerne l’Egypte, tous les anciens Grecs qui ont parlé de la race des Egyptiens anciens, ont affirmé que le Egyptiens étaient des NOIRS. Voici les dépositions de quelques
Grecs anciens du temps de l’Egypte pharaonique.
Hérodote, considéré en Occident comme le père de l’histoire, historien grec 480-425 av JC, est allé en Égypte.
C’est un témoin oculaire. Il nous dit que « les Égyptiens anciens avaient la peau
noire (mélagkhroés) et les cheveux crépus (oulotrikhes).
(3) ».
Diodore de Sicile, historien grec contemporain de
César Auguste, 63 av J.-C.-14 ap J.-C., nous dit que « L’Egypte
pharaonique était une colonie Ethiopienne (4) ».
Aristote, savant, philosophe, précepteur
d’Alexandre le Grand, 389-322 av. J.-C., lui aussi témoin oculaire, classe les Égyptiens et les Éthiopiens
anciens dans les peuples qui ont une peau « excessivement noire » (agan melanes) (5).
Le Grec Héliodore écrit à propos de Chariclée, une
jeune fille blanche, qui se trouve devant des Égyptiens : « De nouveau, elle
leva les yeux, vit leur teint noir. » (6).
Au moins jusqu’au 11e
siècle après J-C, le monde moyen-oriental des religions monothéistes savait que
l’Egypte des pharaons était un pays de NOIRS. C’est ce qu’affirme l’un des plus
grands rabbins, Rachi De Troyes (1040-1105) dont les explications bibliques
font autorité : « Voici ce que dit
Abraham à sa femme Sara lors de
leurs arrivée en Egypte : ... Mais nous arrivons maintenant chez
un peuple d’hommes à la peau noire et
laids, frères des éthiopiens et qui n’a pas
l’habitude de voir une femme belle, à la peau claire. » (La Thora - Le pentateuque avec commentaires de Rachi -tome 1 ; Genèse)
Enfin, voici
le lien pour admirer les traits physiques du commun des Egyptiens représentés
par le grand sphynx de Guizeh dessiné de visu sur place par Dominique Vivant
Denon, dessinateur de l’expédition scientifique de Napoléon Bonaparte en Egypte
en 1798-1799.
Cela suffit
largement pour confondre les stupidités pédantesques débitées par des petits
charlatans encore plus incultes qu’une bête à manger du foin. Quand on n’a pas
un petit soupçon de connaissance, il faut se taire et s’abstenir d’écrire des
idioties.
Vous négligez peut-être le meilleur article pour comprendre les tenants et les aboutissants du méli-mélo actuel qui se déroule au sein de l’UMP car le poumon et le centre nerveux de la politique française, tant pour le gouvernement que pour les partis politiques, c’est l’Afrique, la Françafrique. Ce n’est qu’en ramenant les événements de la vie politique française sur le terrain de l’Afrique que l’on peut mieux les décrypter. En effet :
« L’Afrique est très importante pour la France parce que c’est le
seul continent qui peut encore donner à la France le sentiment d’être une grande puissance.
Le seul où avec 500 hommes, elle peut encore changer le cours de l’histoire.
» (Louis de Guiringaud, ancien ministre français).
@latortue : « ...mais là ou vous trompez c’est de dire que Copé est un néophyte »
Bien sûr que Copé n’est pas néophyte dans l’absolu. C’est un élève Brillant. Et même très brillant. Il a très certainement des diplômes de haut niveau. C’est comme un élève major de polytechnique ou de l’Ena qui n’a pas encore mis le pied à l’étrier de l’entreprise. Il n’a pas encore l’expérience du terrain. Fillon lui a cette expérience de terrain. Il possède des médailles que seuls les maîtres possèdent. Ces médailes s’acquièrent en faisant ses preuves sur le terrain de la Françafrique. Copé n’a pas encore fait ses preuves publiquement dans la Françafrique. Ces preuves, Fillon les a faites en Côte d’Ivoire et en Lybie, en grand maître. Et l’Afrique est bel et bien le seul endroit au monde où les hommes politiques français apprennent à devenir grand comme l’exprime si bien Louis de Guiringaud, ancien ministre français :
« L’Afrique est très importante pour la France parce que c’est le
seul continent qui peut encore donner à la FRance le sentiment d’être une grande puissance.
Le seul où avec 500 hommes, elle peut encore changer le cours de l’histoire. »
En somme, on ne peut apprécier la grandeur des hommes et femmes politiques français que sur le terrain de l’Afrique. Et l’on est loin de soupçonner le rôle joué en ce moment par la Françafrique dans la crise de l’UMP dont les différentes mouvances puisent leur force dans leurs réseaux maçonniques françafricains.