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Nycolas

Auteur de romans et nouvelles, naturopathe, blogueur occasionnel et "mystique", utilise son temps à observer le monde et la société par le petit bout de la lorgnette, essayant de mieux les comprendre tant il a parfois l'impression d'y être un étranger... mais au fond, ce n'est qu'un homme... Un homme qui traque les idées reçues, la pensée-réflexe, dénonce l'embrigadement et les conditionnements, et essaye modestement d'oeuvrer à un monde plus intelligent et plus humain.

Tableau de bord

  • Premier article le 30/06/2008
  • Modérateur depuis le 13/06/2009
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Derniers commentaires



  • Nycolas 9 octobre 2020 12:23

    A mettre en parallèle avec la réflexion de l’auteur, la définition de l’hygiénisme (telle qu’on la trouve sur wikipédia) laisse également songeur :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Hygi%C3%A9nisme

    « L’hygiénisme est un ensemble de théories politiques et sociales dont le principe est de concevoir l’architecture et l’urbanisme pour les collectivités, les pratiques médicales et diététiques pour les individus en appliquant les règles de préservation de l’hygiène et de prévention de la santé publique. La démarche de ses représentants est de guider la décision politique dans la gestion des masses par les apports des sciences, telles que l’épidémiologie ou la démographie, dans une optique d’optimisation des coûts sociaux et d’épanouissement de l’individu. C’est par exemple concevoir des immeubles collectifs laissant pénétrer la lumière et la verdure, construire dans les hôpitaux des pavillons distincts pour chaque pathologie, relier les immeubles à l’égout, rendre obligatoire les poubelles, ou organiser au niveau des municipalités des centres aérés pour les enfants. »

    Ainsi donc, dans sa conception même, l’hygiénisme qui fonde largement nos sociétés modernes, autant dans les domaines de la santé que dans les domaines de l’urbanisme ou du social, forme une santé publique qui inclut tous ces domaines. On peut discuter de la pertinence absolue de l’hygiénisme, qui amène aussi la dérive de l’aseptisation de la société, mais en soi, cette doctrine ne place pas du tout à la marge les aspects sociaux, y compris l’épanouissement de l’individu, de l’enfance, des malades et des vieillards, qui sont normalement pris en compte comme un ensemble.

    Le dérapage actuel, dirigé vers l’obsession d’une seule et unique pathologie, au détriment de tout le reste, en apparaît d’autant plus étrange, voire suspect.



  • Nycolas 18 septembre 2020 14:06

    Les chocs émotionnels ont des effets contradictoires et décalés dans le temps. Sidération, prise de conscience. Mais certains savent parfaitement entretenir leur besoin de croire dans le système, leur besoin de conformisme, en pratiquant l’enfouissement de la dissonance cognitive qui les frappe sourdement. Ceci a ses limites, mais fonctionne dans une certaine mesure pour beaucoup, qui déplorent la situation tout en l’acceptant dans les faits. Je trouve quand même la plupart des gens très mous, très moutons. Beaucoup subissent passivement le conditionnement, et pas mal cèdent juste parce qu’ils on peur.

    Je ne suis ni optimiste ni pessimiste sur ce que nous apporte cette crise, elle nous apportera de toute façon une évolution inéluctable, mais bien malin est celui qui saurait dire comment elle va se dérouler dans le temps et à quoi elle va aboutir.

    Je crains l’avènement d’un totalitarisme écolo ou sanitaire, ou les deux, sous les atours pervers et fallacieux de la bienveillance, de l’altruisme, du respect.

    Mais j’espère que le système est en train de se décrédibiliser et de se saper suffisamment pour enfin laisser place à quelque chose de plus sain, de moins mortifère et de moins inhumain...



  • Nycolas 16 septembre 2020 19:46

    Sans entrer dans des débats politiques, la police a aussi tout simplement mieux à faire que d’attraper tous ceux qui ne portent pas le masque. Ils y passeraient leurs journées...



  • Nycolas 16 septembre 2020 19:38

    Comme je m’y attendais, le masque obligatoire a fini par arriver dans ma ville aussi, où il ne se passe pas grand chose. Par contre, j’entends de nouveau les sirènes des pompiers et du samu en boucle, comme en mars dernier... Pourtant, personne ne connaît un cas d’hospitalisation ou de réa pour covid, ici. Un seul décès en EHPAD a été médiatisé, lors du confinement, et l’ancien maire confiait que c’était très tranquille. Les médecins disent qu’ils reçoivent surtout des gens avec symptômes de stress (qui doivent saturer certains services, à tous les coups). On stresse les gens pour rien, on oblige à des mesures qui ne servent à rien, et on ne prend pas les mesures qui seraient utiles.

    Depuis que l’obligation a été publiée dans la presse, un tiers des gens portent le masque en pleine rue, soit exactement comme avant. Peut-être que ça progressera un peu quand l’info aura circulé, mais je suis content de voir qu’en attendant, les gens ne sont pas tous des moutons apeurés.



  • Nycolas 15 septembre 2020 13:11

    « En revanche, imaginez le sort d’un collégien ou d’un travailleur dans une métropole. Le matin dès 6 ou 7 heures le masque pour les transports, puis la rue, puis la salle de classe ou le bureau et retour au domicile le soir. Bref, 10 à 14 heures enfermé dans un masque. Et pendant la nuit, le virus se multiplie et vous n’éjectez que peu de particules virales car la respiration est diminuée. »

    Je rappelle que pour les élèves en internat, c’est obligatoire du lever au coucher. Ce fait est tout simplement scandaleux et devrait éveiller toute personne douée de raison au fait que ces mesures sont par essence disproportionnées de par leur caractère forcément maltraitant. Ce masque pour les collégiens ne va sauver aucune vie, mais va en entraîner combien au suicide ou à la dépression, si ce n’est même à des pathologies physiques plus ou moins sérieuses ? On entend enfin parler des risques de staphyloccocie faciale et de méningococcie (pouvant dériver de la première) par des médecins dans les médias, or ces pathologies sont potentiellement mortelles.

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