Nycolas

@njama
Peut-être parce qu’on ne sait pas différencier les deux dans les tests ?

https://www.tdg.ch/roche-cree-un-test-pour-differencier-le-covid-19-de-la-grippe-454743112922

Si encore on en était resté au confinement de deux mois, les dégâts auraient été moindres, mais en rajoutant à l’hystérie vers la mi-juillet avec le port du masque et la rhétorique de la 2e vague, le gouvernement a enfoncé le clou qu’il avait déjà pointé dans le cercueil de nombreuses entreprises liées à la restauration, au commerce et au tourisme... Encore aujourd’hui ici, je lis que le cinéma en plein air d’été a payé le prix de la psychose autour du virus, alors que les contaminations sont quasiment impossibles en plein air. Mais la population, désinformée, ignorante et maintenue sous l’étau de la peur, préfère se terrer chez soi. Il suffit d’observer les gens, dans les salles d’attente par exemple, pour voir que certaines personnes sont encore littéralement terrorisées, s’écartent des autres, se bloquent avec raideur quand elles ont l’impression de voir un attroupement devant elles, etc. Ces gens qui sont réceptifs à ce discours de peur sont victimes d’une forme de torture morale et psychologique qui les empêche carrément de vivre, et on souhaiterait que la plupart des gens en arrivent là... Peut-être que nos dirigeants sont inattaquables, à cause des principes juridiques liés à l’état d’urgence, mais d’une part il me semble que nous ne sommes pas actuellement sous état d’urgence sanitaire (même s’ils meurent d’envie d’y revenir), et que d’autre part, certains crimes sont imprescriptibles, notamment face à certaines juridictions, même s’il ne faut pas trop rêver à des condamnations pour crimes contre l’humanité, qui de facto devraient s’étendre à de nombreux gouvernements à travers le monde. Il y aura fatalement une indulgence pour éviter de faire tomber tout le château de cartes... Et pourtant, ce à quoi nous assistons est une véritable maltraitance de masse qui se rapproche de la torture, plus particulièrement dans certains pays dont certaines mesures sont abominables et certainement incompatibles avec les conventions de Genève, par exemple, même si celles-ci visent en premier lieu les conflits armés.

J’en ai marre d’entendre parler de principe de précaution. Ici, la seule précaution qui est prise est celle de détruire la société « au cas où »...

Merci à l’auteur pour cet article au ton rafraichissant. J’avoue avoir du mal à vivre cette situation pesante, voir les gens terrifiés, les discours plus ou moins binaires des uns et des autres, et surtout l’absence de tout aspect démocratique dans les décisions prises par des « conseils », des ministres, préfets et autres non-élus qui nous pourrissent la vie, ont gâché l’été des uns et des autres, et lessivé la tête des gens à coup d’informations biaisées, partiales, des médias aux ordres, encore d’autres non-élus faisant surtout la pluie et rarement le beau temps.

Imaginer la rentrée des masques dans les lycées et collèges de France me fait froid dans le dos...

Note : les Pays-Bas font partie des pays qui ont eu un confinement léger, sans coercition particulière, et où la population ne se plaint pas de la gestion.