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Olaf

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Consultant, blogueur, journaliste, j'ai écrit Le Grand Secret de l'Islam, fruit d'une collaboration depuis 2012 avec le P. Edouard-Marie Gallez, docteur en théologie et histoire des religions et spécialiste des origines de l'islam. J'ai poursuivi ce travail d'étude de l'islam, et au-delà, des idéologies en publiant La Laïcité, mère porteuse de l'islam ?, avec le P. Michel Viot, livre qui dissèque les phénomènes idéologiques à l'oeuvre en Occident et en islam, leurs liens profonds, leurs accointances et leurs oppositions jusqu'à la mise en scène du « choc des civilisations »

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  • Premier article le 29/01/2015
  • Modérateur depuis le 16/10/2015
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Derniers commentaires



  • Olaf Olaf 13 octobre 2016 23:56

    @QAmonBra

    Ce n’est pas moi qui confond islamisme et islam mais le Coran lui même, et donc Allah, au travers notamment du verset que j’ai cité (et de nombreux, nombreux autres, sans parler de la sunna). Refuser de le voir, c’est illustrer exactement le déni que je décris dans cet article


  • Olaf Olaf 12 août 2015 23:32

    @Sarah
    EM Gallez a repris le terme de judéonazaréen pour qualifier une mouvance spécifique, celle d’un courant juif (judéen) messianiste, appliquant la loi de Moïse et ayant reconnu Jésus comme messie politique, restaurateur d’une royauté en Israel qui viserait à éliminer le mal du monde en éradiquant ou en soumettant tous les méchants, à savoir les impurs, ceux qui appliquent mal la loi de Moïse. Ils s’appelaient eux mêmes nazaréens.


    Mais l’identification de cette mouvance est complexe : ils n’étaient pas les seuls, loin de là, à porter le nom de nazaréen. Les pharisiens, et les juifs rabbiniques, les ont condamnés comme « netzirim », en les englobant parmi tous les autres Hébreux (beaucoup plus nombreux qu’eux) qui avaient reconnu Jésus. Ils ont été englobés également par certains pères de l’Eglise parmi les Ebionites, mot générique qui a fini par désigner sous leur plume l’ensemble de ceux qu’ils considéraient comme des Judéens hérétiques.

    Bref, une dénomination spécifique s’imposait pour qualifier ce courant judéen/juif messianiste, et ne pas le confondre avec d’autres (comme vous l’avez fait dans votre commentaire   smiley ). D’où ce terme de judéonazaréen.


  • Olaf Olaf 12 août 2015 16:19

    @Emile Mourey
    Alors je n’ai rien d’autre à répondre que ce que j’ai déjà écrit : pour moi ce récit des dormants d’Ephèse était populaire dans le milieu arabe chrétien dans lequel les Nazaréens ont recruté les futurs Emigrés. Les prédicateurs s’en sont servis pour recruter davantage.


    En l’état des matériaux historiques dont nous disposons, pas grand chose de plus à dire. Je me fie aux analyses de Guillaume Dye là dessus, qui en parle à la fin de son interview dont j’ai donné le lien plus haut.

    A mon sens, vouloir absolument faire dire quelque chose de plus à ce texte, comme vous le faitse M. Mourey, ne me semble pas plus rigoureux que de rechercher des miracles scientifiques dans le Coran. C’est le même raisonnement qui est à l’oeuvre : on part d’une idée préconçue -le Coran doit absolument vouloir dire qq chose de plus que ce qui se donne simplement à lire- et on force le sens et les interprétations du texte pour le faire coller à cette idée préconçue.


  • Olaf Olaf 12 août 2015 13:21

    @Emile Mourey

    Sur Mahomet, je m’en tiens aux faits, c’est à dire aux très rares témoignages contemporains (et avec tout le recul nécessaire). C’est sur cette base que je regarde les traditions musulmanes, qui, en elles mêmes ont peut à voir avec la vérité historique (autant chercher cette vérité historique dans la dernière biographie de Kim Il Sung éditée par le régime nord coréen ...).

    Dans ce sens, cette histoire d’éléphant est à dormir debout. On n’a jamais vu et on ne verra jamais d’éléphant traverser le désert d’Arabie pour se rendre à La Mecque, c’est physiologiquement impossible (un éléphant a besoin de 140 litres d’eau de boisson par jour au minimum). S’il faut accorder un quelconque crédit à cette histoire, il conviendrait plutôt de chercher du côté des guerres perso-byzantines, en Mésopotamie et Syrie où il semble bien plus probable d’utiliser des éléphants de guerre que dans le désert de La Mecque.


  • Olaf Olaf 11 août 2015 20:34

    @Emile Mourey

    Je ne sais pas quoi en penser de votre question. Je ne la comprends pas. Je ne vois absolument pas le rapport que vous faites entre la nécessité pour Mahomet d’être né en 550 et le fait que le Coran reprenne à son compte cette histoire des dormants d’Ephèse. Elle n’est pour moi que la reprise d’une histoire populaire dans les milieux arabes chrétiens dans lesquels les Nazaréens ont voulu recruter leurs premiers adeptes. Et c’est pour cela que Mahomet (ou le prédicateur qui parle dans le Coran) la reprend à son compte dans son projet d’embrigadement.


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