@ Bertrand Cassoret, auteur de l’article, vous écrivez : « Mais même les antinucléaires convaincus n’affirment pas qu’on puisse remplacer les centrales nucléaires et thermiques par des énergies renouvelables. »
C’est parfaitement exact. Je pense (comme indiqué dans le diaporama), qu’une répartition de STEP de taille plus modeste sur une dizaine de sites du littoral français est préférable à une seule grande STEP. Les puissances considérées sont alors moins importantes. Le diaporama a vocation à présenter, à la louche, le potentiel des STEP de type Okinawa pour parvenir à de hauts niveaux de renouvelables. Des études détaillées doivent être menées pour optimiser le système proposé.
Il est parfaitement possible d’envisager un mix 200 GW éolien + 90 GW gaz naturel. L’investissement est moins coûteux. Mais alors : -la consommation en gaz est plus importante (on arrive sur une année à 70% d’électricité éolienne et 30% de gaz environ), on augmente les émissions de CO2 et on augmente la facture gaz. - on perd une partie de la production éolienne. Les STEP permettent d’absorber les pics de production éoliens (pics à 200 GW), ce qui n’est pas possible avec une centrale à gaz qui ne fait que boucher les trous en période de sous production éolienne. Mon objectif est d’obtenir le mix électrique qui a le meilleur bilan environnemental et sanitaire possible.
C’est parfaitement exact. Je pense (comme indiqué dans le diaporama), qu’une répartition de STEP de taille plus modeste sur une dizaine de sites du littoral français est préférable à une seule grande STEP. Les puissances considérées sont alors moins importantes. Le diaporama a vocation à présenter, à la louche, le potentiel des STEP de type Okinawa pour parvenir à de hauts niveaux de renouvelables. Des études détaillées doivent être menées pour optimiser le système proposé.