En effet, on devrait moins se choquer que l’Allemagne défende avec intransigeance, sur cette question monétaire (car sur l’immigration comme tant d’autres elle se suicide), ses intérêts, que la France, l’Italie, la Grèce etc... s’évertuent à ne défendre les leurs !
Leurs médiocres dirigeants sont coupables de traitrise, d’inaction, d’incompétence, ou de lâcheté ? Diantre, ils ont été élus par d’aussi médiocres peuples qui par conséquent méritent ce qui leur arrive.
Ah si les connards de Français avaient élu en son temps cet illustre patriote et homme d’Etat... !
« Sous le prétexte d’établir une monnaie européenne unique et une unité politique, on veut, sans le dire expressément au peuple, engager de façon irréversible un processus de mise en place d’une Europe fédérale sous l’autorité de la Commission bureaucratique de Bruxelles. (…) Il s’agit là d’une véritable conspiration contre les peuples et les nations d’Europe, et d’abord contre le peuple français et la France. Pour remettre celle-ci et son destin à des banquiers apatrides, on arrache à notre pays des pans entiers de souveraineté, et j’insiste - François Mitterrand l’a avoué lui-même - d’une manière irréversible. » - Jean-Marie Le Pen, discours au Palais-Royal, 1 Mai 1992.
« Réunis en ce haut-lieu sacré de la patrie, symbole de sa fondation, de son enracinement, et de sa pérennité, nous jurons de défendre les libertés des citoyens, nous jurons de défendre l’intégrité de notre territoire, nous jurons de défendre la souveraineté nationale de notre patrie, et d’exiger, pour ceux qui auront trahi, le jugement et le châtiment de leurs actes. » - Jean-Marie Le Pen, « serment de Reims », 6 Septembre 1992.
Dans l’état actuel de la législation qui empêche toute critique de fond de la présente analyse exclusivement à charge et qui passe par pertes et profits toutes les causes historiques économico-sociales et toutes celles géopolitiques, législation totalitaire qui crée de facto une dissymétrie dans le traitement de l’information que l’auteur ne peut ignorer (et s’il l’ignore c’est encore plus grave), nous ne dirons que cela : vive la « Démocratie Participative » !
Il y a un biais évident dans l’étude de l’institut Pasteur : celui-ci prévoit 3,7 millions d’infectés au 11/05 (5,7% de la population française), or au 11/05 selon toute vraisemblance, vu la trajectoire suivie (certes en diminution mais lente), il est malheureusement fort probable que nous soyons à près de 30.000 décès du fait du Covid-19. Cela donne un taux de létalité plus proche de 0,8% que de 0,5.
Une « solution » évidemment non tolérable — qui est une démonstration par l’absurde et rétrospective de sa dangerosité propre — pour mettre en évidence la mortalité du Covid-19 par rapport à la grippe saisonnière même la plus sévère, aurait été de ne prendre aucune mesure particulière autre que celles habituellement prises dans le cadre de cette dernière, autrement dit essentiellement des recommandations de santé publique qui n’ont quasi aucun impact sur les populations (je parle de la France). Où en serait-on aujourd’hui ?
Et bien une étude prospective de l’EHESP publiée hier nous dit qu’en l’absence des mesures prises (confinement notamment) nous serions au 19/04 à 74.000 morts (contre 12.000 à la même date) — à l’hôpital uniquement ! Or comme nous avons approximativement le double de morts en dehors de l’hôpital, il est raisonnable de penser que nous serions par conséquent aux environs de 150.000 morts au total :
Par ailleurs cette étude évalue à 15 millions le nombre d’infectés à la même date, ce qui donne au taux de létalité de 1%, cohérent avec ce qui a été dit précédemment, et confirmant par la même que, non seulement la létalité, mais le taux de létalité de cette maladie sont fonction de la valeur du R0.