Il y a quelques années, une connaissance revendiquée de « gauche » me soutenait que j’étais responsable de l’élection de Hollande parce que j’avais voté Le Pen au second tour, en me le reprochant bien sûr puisqu’alors M. « mon ennemi c’est la finance » avait largement « trahi » ses promesses notamment en nommant ministre de l’économie de la France un ancien banquier de chez Rothschild...
Cette connaissance donc - ce connard fini - oubliait alors qu’il avait lui-même voté Hollande au second tour face à Le Pen, mais fut contraint de l’admettre non sans contradictions !
Le gauchisme est par conséquent une maladie mentale qui détruit l’intelligence, le bon sens et la logique, maladie qui pour certains est définitivement incurable.
« On » a voulu croire, et faire croire, à nos compatriotes, sous prétexte de politiquement correct c’est à dire de nouvelle censure idéologique totalitaire et qui s’est substituée au marxisme, que le fait culturel - et j’ose même le dire : le fait biologique ! - pourtant majeurs et déterminants depuis toujours, n’avaient pas lieu d’être dans la problématique migratoire contemporaine, nous en voyons à présent le fameux résultat.
Ceux qui ont prôné depuis des lustres cette folle politique aux conséquences mortelles devront bientôt rendre des comptes.
La bourgeoisie, la franc-maçonnerie, et la juiverie, ont tenu chacune à leur manière mais non moins conjointement, un rôle prégnant et décisif dans ce processus et le discours de légitimation qui l’accompagna avec force propagande, discours qui consista également à culpabiliser à outrance, et je dirai même démoraliser, la partie saine de la population qui conservait encore à l’époque, au tournant des années 80, des velléités de résistance et de conservation.
Oui mais vous, vous ne vous inscrivez pas dans la psyché juive, consistant à se complaire dans la victimisation permanente, résultante d’une idiosyncrasie autant tribale que pathologique, et devenue dans l’intervalle une redoutable stratégie de domination par disqualification morale de ses adversaires. La preuve.
Pas plus génocidaire que les conséquences des choix politiques opérés de longues date — en France, pour les Français, c’est à dire encore les Goys, les Gentils — par les officines de domination judéo-sionistes, tel que le CRIF, la LICrA, l’UEJF, la LDH, le B’nei Brith, le Congrès juif mondial, qui ont non seulement cautionné, mais vivement incité les différents gouvernements d’occupation sévissant en France depuis l’éviction de de Gaulle par les mêmes, à l’envahissement sans précédent du pays par des peuplades qui lui étaient foncièrement hostiles, ce dont aujourd’hui nos éternels manipulateurs se plaignent UNIQUEMENT parce que leurs petits protégées immigrés, qui se trouvaient être également de dangereux islamistes, se retournent dorénavant AUSSI contre eux !
En vérité, le peuple français goy, les juifs s’en foutent, il peut crever. Seul importe Israël et leurs coreligionnaires à leurs yeux. Leur judéomanie, et leur judéocentrisme, primant toute autre considération, soit même le funeste destin de leur patrie d’adoption, qu’ils ont contribué, et contribuent encore à détruire, en criminalisant notamment toutes velléités de résistance patriote et souverainiste à ces tendances et processus engagés par eux.
Ainsi donc : Israël et les israéliens ?? RIEN à FOUTRE, ils peuvent crever !!! Comme les Français crèvent, eux, actuellement, de voir leur pays méthodiquement détruit.
Pourquoi ? B. Lazare, juif lui-même mais qui avait déchiré les voiles du tribalisme, va se charger de répondre à votre interrogation millénaire ! « Partout où les Juifs, cessant d’être une nation prête à défendre sa liberté et son indépendance, se sont établis, partout s’est développé l’antisémitisme ou plutôt l’antijudaïsme, car antisémitisme est un mot mal choisi, qui n’a eu sa raison d’être que de notre temps, quand on a voulu élargir cette lutte du Juif et des peuples chrétiens, et lui donner une philosophie en même temps qu’une raison plus métaphysique que matérielle.
Si cette hostilité, cette répugnance même, ne s’étaient exercées vis-à-vis des juifs qu’en un temps et en un pays, il serait facile de démêler les causes restreintes de ces colères ; mais cette race a été, au contraire, en butte à la haine de tous les peuples au milieu desquels elle s’est établie. Il faut donc, puisque les ennemis des Juifs appartenaient aux races les plus diverses, qu’ils vivaient dans des contrées fort éloignées les unes des autres, qu’ils étaient régis par des lois différentes, gouvernés par des principes opposés, qu’ils n’avaient ni les mêmes mœurs, ni les mêmes coutumes, qu’ils étaient animés d’esprits dissemblables ne leur permettant pas de juger également de toutes choses, il faut donc que les causes générales de l’antisémitisme aient toujours résidé en Israël même et non chez ceux qui le combattirent. » - Bernard Lazare, L’antisémitisme, son histoire et ses causes.