• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Raymond SAMUEL

Raymond SAMUEL

Education :
Je suis attérré par l'importance des mensonges qui ont été répandus depuis cinquante ans, généralement par de soi-disant spécialistes de l'enfance qui servaient en réalité des idéologies (féminisme radical) ou des lobbyes (professionnels), et trahissaient les enfants. Jai écrit un essai : "D'ABORD NE PAS NUIRE", pour aider les parents à se débarrasser de ces idées reçues.
L'apparente impossibilité d'arrêter la machine économico/financière (et donc la surconsommation) m'angoisse par ailleurs énormément parce que, en conséquence, nous avons à faire un choix cruel entre la survie de la planète et celle des homo sapiens, et ça me gêne...
Il y a aussi l'abus de pouvoir que je n'aime pas du tout.

Tableau de bord

  • Premier article le 13/01/2010
  • Modérateur depuis le 17/12/2011
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 16 660 342
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 9 8 1
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Raymond SAMUEL paconform 30 janvier 2010 17:39

    Bonsoir,

    Dans la situation démographique et sociale actuelle, l’impact du système économique et financier est plein pot. Nous sommes impuissants devant cet impact.

    Autrement dit, si cette situation démographique et sociale ne change pas il n’y aura pas de parade à l’augmentation inévitable du nombre de personnes sans ressources, malgré la solidarité familiale ; tous les adultes d’une même famille finiront par être touchés.
    Reste la planche à billets, mais ça ne fera que creuser plus profond le trou dans lequel on descend. C’est ce qui sera pratiqué parce que c’est le seul moyen qui reste pour retarder l’échéance fatale.

    Il est bien sûr Impossible de modifier suffisamment et assez rapidement la situation démographique et sociale qui a été mise en place pour être conforme aux caractéristiques de la société qui vient de se terminer.
     Pourtant il y a des mesures à prendre de toute urgence pour se rapprocher d’une organisation qui serait adaptée au monde qui nous attend : abandonner massivement le salariat, vider progressivement les villes, réapprendre à cultiver la terre et réoccuper les territoires en friche, se réapproprier les savoir-faire artisanaux, réduire de plus de la moitié le coût de la vie en boycottant le système de distribution existant et en réduisant drastiquement le nombre des produits consommés,, s’isoler de plus en plus du système économico-financier, etc...
    Autrement dit, commencer à construire un nouveau monde.



  • Raymond SAMUEL paconform 28 janvier 2010 16:15

    Bonjour,

    Trève de mots. Le capitalisme n’a pu se développer qu’en excitant nos convoitises de consommateurs.
    Nous nous sommes précipités dans le piège, et maintenant la population est faite presque entièrement de générations n’ayant connu que le consumérisme.
    C’est dire que cette population n’est pas en mesure de mettre en œuvre les solutions qui les rendraient autonomes (supprimer le salariat, vider les métropoles, restaurer la santé grâce à un parentage adéquat, se réaproprier les savoir- faire artisanaux et produire au moins sa nourriture etc...)
    A votre avis peut-on espérer que plus de 50§% de la population se prenne par la main pour faire cette si douloureuse révolution ?



  • Raymond SAMUEL paconform 24 janvier 2010 14:24

    Bonjour,

    Je ne suis plus en âge de travailler, mais je vous dirais que :
    1- J’ai beaucoup souffert dans ma vie professionnelle d’avoir été un homme à abattre comme petit entrepreneur et d’avoir été soumis à la paperasse et aux paperassiers (régime conflictuel avec le fisc notamment),
    2- J’aurais bien aimé ne pas avoir de salariés (dépendance à tendance hiérarchique, notamment),
    3- Je constate maintenant que les chiffres d’affaires se rétrécissent et que les salariés sans travail deviendront de plus en plus nombreux, avec des conséquences ENORMES.
    Et d’autres choses encore....

    Je pense qu’on est plus « un homme » (homme ou femme bien sûr) si on est libre d’agir, et pas obligé de pleurer auprès de ceux qui rédigent les feuilles de paye ; ainsi le régime dit « auto-entrepreneur » (sorte de pléonasme dirais-je en passant)
    est un besoin criant depuis bien longtemps, il libère de l’esclavage et permet de mobiliser les énergies (tout le monde n’a pas encore jeté le manche après la cognée).
    Bien sûr il y a des pièges, des inconvénients, des dépendances à l’égard du reste du monde ; ouvrons l’oeil, mais, enfin, tout an moins dans le principe, on est sur une voie NORMALE, celle de la responsabilité personnelle et surtout de l’initiative individuelle.



  • Raymond SAMUEL paconform 11 janvier 2010 10:37

    Bonjour,
    Première réaction :
    Nous avons beaucoup trop d’économistes, de financiers, de comptables de toutes sortes, de politiques, de faiseurs de mots et pas assez de paysans et d’artisans.
    Les premiers coûtent trop cher à la communauté, les seconds sont -susceptibles- d’être auto-suffisants et autonomes, c’est à dire durables.
    L’époque du consumérisme était factice, artificielle, obtenue à l’aide de faux moyens (fausse monnaie).
    Quelle imprudence d’avoir abandonné les terres et de s’être groupés dans des villes, côtières de surcroît ! J’ai bien peur qu’il n’y ait pas de remise à plat possible ; plus personne n’est capable de se suffire, c’est la catastrophe assurée à plus ou moins brève échéance.



  • Raymond SAMUEL paconform 7 janvier 2010 16:24

    Bonjour,
    Merci à ceux qui osent dire ce que tout le monde sait, que ce sont les adultes qui apprennent la violence aux enfants.
    Les adultes apprennent aussi la souffrance aux enfants.
    Les adultes actuels qui ont appris violence et souffrance lorsqu’ils étaient enfants en bas âge se reconnaissent assez facilement à leur agressivité et indifférence à l’égard des enfants. Ils sont hélas très majoritaires.
    Pour cette dernière raison je suis pessimiste pour les enfants qui naissent maintenant et ceux qui naîtront plus tard, et par conséquent, pour l’avenir de notre société, ces enfants étant évidemment les adultes de demain.
    J’ai dit que je ne me reconnaissais pas dans la culture actuelle. C’est que j’ai gardé mes racines (occidentales et françaises) d’avant la guerre de 39/40 (j’ai 83 ans). En effet, dans cette ancienne culture et au moins à la campagne, les parents s’occupaient de leurs enfants.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv