"Dans le camp d’en face on n’hésite pas à privilégier la demande
d’adultes sur l’avenir hypothétique et peut-être hypothéqué d’une
génération d’orphelins."
L’avenir est hypothétique, pour tout le monde, hétéros comme lgbt.
Ah merde, d’un côté ça parlote sur l’absence des études pour soutenir que les parents lgbt sont forcément de mauvais parents, et maintenant qu’il est prouvé qu’il y a des études, d’autant qu’elles vont à l’encontre de l’idéologie des antis, ça pleurniche et tente de faire dévier le débat sur les « enfants cobayes ».
Remettons les choses au clair :
Lorsque des études sociales sont effectuées, on ne met pas les enfants et leurs parents dans des laboratoires de force pour les disséquer hein.
Il s’agit d’une part d’études faîtes le jour le jour, ou, d’autre part et dans la plupart des cas, de questionnaires ou de rencontres visant à déceler diverses psychopathologies.
Et le tout ce fait avec l’accord des parents, heiin, personne ne les force à quoi que ce soit.
Et pour finir, les recherches sociales sont fréquentes et pas qu’autour des « enfants de lgbt », histoire de « prendre la température » de la société.