paoum

beurk !
sa courtoise suffisance me révulse au lu de cet article !
ben voyons !les travailleurs doivent assumer toutes les charges financières, bien sûr, ces pauvres hères !
Sacrifiez-vous petites gens, pour le salut de ceux qui vous donnent conseil le cul dans la soie que vous avez tissée !
beurk !

bon,ben,c’est pas jojo tout ça l’auteur,
 Comment draper les horreurs d’un état militarisé (il y en a d’autres, plein...), dans une morale intouchable sous peine de déchéance intellectuelle...
 Je me contrefout des juifs, qui font bien ce qu’ils veulent de leur vie privée ; qu’ils agissent comme ils l’entendent au même titre que n’importe quelle communauté d’esprit ou de foi.
Cela s’appelle la liberté de culte.

 Mais je ne me fous pas des agissements imperialistes, des guerres menées contre des populations (des femmes, des enfants, des vieillards, pour mémoire) innocentes, c’est le mot i-nno-centes ! Je ne me ferai jamais une raison, jamais !
 Entendons-nous bien, je déteste tout autant ce qu’a fait la france au rwanda, en côte-d’ivoire, ce que font les états-unis en irak, en afghanistan et en amérique du sud ; la chine au tibet et ailleurs ; israël dans les ghettos palestiniens.
 
 Il faut être un monstre pour faire perpétrer à des jeunes gens,enrôlés dans les armées, de pareils massacres...
 Je met dans le même sac les tarés poseurs de bombes qui sont souvent pilotés par des services secrets, souvent les services secrets eux-mêmes.
 Je met dans le même sac tout ceux qui osent affirmer que ces bains de sang sont, moralement ou historiquement, défendables car sans leur aveuglement, rien de tout cela ne serait possible.

 Suis-je un négationniste ? Suis-je un antisémite en écrivant tout cela, l’auteur ?
Savez-vous que beaucoup, mais alors beaucoup de juifs et d’israéliens ne renieraient pas mes paroles, beaucoup de soldats aussi ?
 
 Vous êtes insultant, l’auteur.Comprenez-le, et vous aurez compris que, dans cet article, vous ne parlez que de votre propre intolérance.
 Vous pratiquez une provocation glauque et inutile, il faut avancer dans la vie ! les voyages forment la jeunesse !

les marchands n’ont pas intérêt à faire la guerre ?
la guerre c’est les plus gros profits pour les marchands ! les plus grosses marges assurées , tant qu’elle dure, bien sûr !!!!!!
le problème, avec la guerre c’est justement que les marchands soufflent sur les braises en permanence , attisent patiemment les flammes ravageuses d’innocents et génératrices d’immense bizness, de la nourriture au marché noir à l’exploitation maximale des ressources naturelles et humaines !!
la guerre, c’est le rêve d’un marchand, naÏf que vous êtes !
toutes les richesses des populations : libertés et richesses pécunières sont confisquées et mises dans les mains d’hommes d’état en grand besoin de les dépenser sans compter,
« ratatata...boum ! », trés accessibles aux groupes d’influence ; (lobbies de marchands purs et durs !!) dont nous connaissons suffisamment bien la capacité de nuisance en temps de paix pour nous méfier du contrôle quasi-total sur nos dirigeants, qu’ils auraient en temps de guerre.

le reste des populations, tout plongé dans le sang et l’horreur qu’il est, se fait tondre cette fois jusqu’à l’os, au sens propre du terme !

la guerre dure parce qu’elle rapporte, n’avez-vous pas de mémoire ?

bonjour et bienvenue m.Bianco,

la question de savoir quel PS vous avez l’intention de représenter me semble importante, voire incontournable.
Un président du FMI peut-il être admis dans un parti censé représenter plus de justice sociale et d’esprit républicain ?
Quel est le rôle de M.Strauss-Kahn dans la crise actuelle à haïti, dans le golpe au honduras ?
Le FMI a du sang sur les mains depuis toujours, il représente une menace permanente pour la paix et pour l’esprit socialiste qui ressort dans ce trés bon article ( qui n’en parle pas d’ailleurs), quelles conséquences le PS tire-t-il de cet état de fait ?ou vous-même, tout simplement.
Peut-on passer à côté de ce problème gênant lorsqu’on parle d’haïti ?

c’est n’importe quoi !
les polygames !
bien classé dans les commentaires les plus bêtes.