• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

parlons-en

parlons-en

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 16/10/2013
  • Modérateur depuis le 08/04/2014
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 17 61 553
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 1 0 1
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • parlons-en parlons-en 29 mars 2015 20:54

    @Attilax
    Vous observez les choses à l’envers. Le système pétrolier a pu dégager suffisamment de marges ces dernières années pour investir massivement dans le développement de nouveaux sites de production. En parallèle, la demande mondiale a stagné par manque de croissance économique et par amélioration de l’efficacité énergétique des pays les plus avancés (en partie du fait d’une perte de compétitivité du pétrole). Par conséquent, cela prouve que le marché pétrolier n’est pas condamné voir son offre en retard par rapport à la demande. Il a suffit de 3 années (de avril 2011 à juillet 2014) pour que l’ensemble du système productif arrive à inonder le marché, puisque aujourd’hui l’excédent d’offre est autour de 1,5 millions de bail par jour. La faillite de certains producteur, notamment en Amérique du Nord montre simplement que le prix marginal baisse. C’est tout bonnement le signe que le risque de pénurie s’éloigne franchement.

    De ce qui est du problème de la sécurité des sites de productions. C’est aussi une preuve que même avec l’existence de nombreux conflits et malgré l’instabilité politique de nombreuses régions à fort potentiel pétrolier, l’offre continue de survoler la demande. Si ces régions sont amenées à redevenir sûres un jour et qu’elles soient en mesure d’extraire et d’exporter du pétrole, alors l’offre de pétrole continuera d’augmenter encore et encore.
    Avec ces constations, on suppose aisément que le pétrole restera une énergie largement disponible pour de longues décennies, et que si nous voulons s’en débarrasser pour des raisons écologiques que chacun connait, nous ne devons pas attendre que les réserves s’épuisent.


  • parlons-en parlons-en 29 mars 2015 19:42

    @Dom66
    Cet article condamne l’investissement facile dans une industrie très profitable au détriment d’un développement plus complet et plus équilibré de l’économie de certains pays. Votre amis Chavez a rendu son pays totalement dépendant au pétrole et même s’il n’était pas d’apparence un fervent défenseur du libéralisme, il a plongé son pays au milieu du système financier le plus globalisé après les devises : celui de l’or noir.

    Aujourd’hui, le Venezuela a perdu la moitié de ses recettes d’importation avec la chute des prix du brut, l’économie du pays est totalement déséquilibrée et le régime au pouvoir se sent obligé de dériver vers une politique de plus en plus autoritaire. En clair, le Venezuela est à deux doigts de subir coup sur coup une crise économique et une crise politique majeures. Dites-le moi si je me trompe.


  • parlons-en parlons-en 29 mars 2015 18:02

    @HELIOS
    C’est vrai que ce genre de mésaventure doit être très frustrante puisqu’en tant que consommateur plus proche de principes écologiste que de l’esprit homo-economicus de base, vous n’avez pas été tellement encouragé à changer votre moyen d’approvisionnement en énergie...

    L’idée générale était de se poser la question : qu’allons-nous faire si on se rend compte que le pétrole n’est finalement pas une ressource rare et que nous devons absolument s’en débarrasser pour éviter de polluer davantage notre atmosphère ? Apparemment, les mécanismes économiques de marché et les agents financiers qui les pilotent ne sont pas prêts d’orienter la machine dans le sens de l’écologie si rien n’est fait pour les y inciter. Il faut donc trouver des moyens d’influencer cette orientation sans aller à l’encontre du système financier, non pas parce qu’on l’aime comme il est, mais parce qu’on a pas le choix... C’est tristement pragmatique mais ça pourrait avoir le mérite d’être volontariste.
    Les financiers se moquent du pétrole, ce qu’ils veulent c’est de l’argent, alors faisons en sorte qu’ils en aient tout en s’arrangeant pour que l’économie soit plus verte. 


  • parlons-en parlons-en 16 mai 2014 09:34

    A tous les commentateurs,

    Voir commentaire posté plus bas par l’auteur



  • parlons-en parlons-en 16 mai 2014 00:09

    À tous les commentateurs,

     

    Un argument fréquent ressort, celui du manque de confiance envers les politiciens de l’ « UMPS ». Voir même une haine. La souffrance de se sentir oublié par ces élites politiques qui assomment la critique à coup de glorieuses promesses et ressortent de chaque mandat avec des excuses lamentables. On peut en dire la même chose avec le président Obama qui avait donné tant d’espoirs, Lula ou Mitterrand. Ces victoires électorales que le peuple s’est approprié pour les bienfaits de l’optimisme ont tous été douchés par des bilans décevants.

     

    Il y a un échec démocratique, il est admis, à l’échelle nationale, européenne et mondiale. La masse d’individus ne sait plus où donner de l’espoir tellement les représentants les laminent. L’argument de dire que le FN est la solution à cette maladie démocratique est le mauvais. En quoi le FN est-il capable de redonner au peuple le pouvoir de se faire entendre ? Quels en sont ses capacités ? Le FN est populaire, au sens du succès, car il met des réponses simples et radicales à des questions complexes. Mais croyez-vous les représentants FN meilleurs que le reste de cette élite ? J’en doute très fortement.

    Alors maintenant vous vous dites qu’on est foutus, que cette minorité d’hommes et femmes de pouvoirs faisant partie du cercle fermé des puissants de ce système vont tenir l’opinion du peuple jusqu’à ce que le chao éclate. Vous espérez les faire flancher car le chaos est leur plus grande crainte. Mais la révolution n’a jamais mené à la paix, l’histoire a montré que les révolutions, les transformations politiques par le chaos et la haine n’ont mené qu’à la violence et le désordre social. La France et l’Europe sont-ils en si mauvaise phase pour mériter un tel échec ? Vous admettrez que non. Pour la simple raison que notre histoire a été suffisamment garnie d’atrocités pour que nous nous entendions à ne pas le revivre.

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv