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  • PasKal 26 avril 2007 14:32

    LES « CHIRAQUIENS » APPRECIERONT AU MOMENT DE METTRE LEUR BULLETIN DANS L’URNE...



  • PasKal 26 avril 2007 14:30

    « Racaills et Cie » à l’UMP...

    Et encore : 2 ou 3 jours avant de quitter le Ministère de l’Intérieur, Sarkosy a passé un décret « augmentant le montant des sommes autorisés par un candidat pour la campagne Présidentille » !

    A croire, qu’il avait déjà tout dépenser de l’argent disponible...

    Mais si c’est le cas, « OÙ EST PASSE TOUT CET ARGENT, DU PARTI ET DES MILITANTS ??? ». Il faisait campagne aux frais du contribuable en utilisant les moyens du Ministère....



  • PasKal 26 avril 2007 14:25

    Et ne parlons pas de son épouse, pourtant mère de leur enfant (pauvre ’gosse’ qui a dû supporter cela tout ce temps), qu’il n’a pas arrêté de « trahir »...

    Bon, il est vrai qu’elle s’est vengé depuis... Mais quand même.

    (Avec ce pauvre ’gosse’ au milieu d’un telle famille aussi instable... Enfin, bref.... J’espère qu’il ne va pas tourner ’mal’ en grandissant ; les blessures de l’enfance sont si difficiles à soigner.)



  • PasKal 26 avril 2007 14:17

    Dominique Reynié, professeur à l’Institut d’études politiques de Paris

    http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36-902100,0.html

    « IL N’EST PAS IMPENSABLE QUE LA SECESSION DU CENTRE DROIT SOIT SANS RETOUR ! »

    .

    Le premier tour a-t-il marqué une bipolarisation de la vie politique ?

    On assiste à une bipolarisation contrariée. NICOLAS SARKOZY EST L’ARTISAN DU PLUS MAUVAIS RESULTAT DE LA DROITE DEPUIS 1965. Il réalise un excellent score personnel, 31,1 %, parce qu’une partie du vote du Front national s’est placée sur son nom et qu’il a éliminé toute concurrence de la droite de gouvernement, à la différence de Jacques Chirac en 1981, 1988, 1995 et 2002. Son électorat s’est droitisé, et il a fait de l’UMP une machine encore plus hégémonique que le RPR. Si l’on additionne ses voix avec celles de Jean-Marie Le Pen et celles de Philippe de Villiers, on arrive à 43,8 %. Le score le plus bas obtenu par la droite en 1981, avec Chirac, Giscard, Debré, Garaud, était de 49,3 %. Ce record est battu.

    Quant au score de la GAUCHE, C’EST LE PLUS MAUVAIS DEPUIS 1969. Les voix de Ségolène Royal additionnées à celles des petits candidats de gauche et d’extrême gauche atteignent 36,4 % des suffrages exprimés. En 1965, c’était 31,7 %, et en 1969, 30,9 % avec Duclos, Defferre, Krivine et Rocard. Mais je dirais que ces résultats relativement mauvais sont structurels pour la droite et conjoncturels pour la gauche. Le véritable enseignement de ce premier tour est l’émergence d’un électorat critique qui s’est traduit par le succès, de François Bayrou.

    Comment l’expliquez-vous ?

    Une partie des électeurs de gauche ont voté Bayrou - malgré un vote utile très fort en faveur de Ségolène Royal - pour deux raisons : leur scepticisme à l’égard de la candidate et l’idée que le candidat du centre pouvait plus facilement battre Nicolas Sarkozy au second tour. A droite, le mécanisme est différent. Il s’est produit une sécession dans la droite modérée pour résister à l’hégémonie que j’ai évoquée et pour refuser un glissement sur le plan des valeurs vers une droite plus dure.

    Etant donné la logique des institutions, quelles conséquences tirez-vous de votre analyse ?

    Je fais d’abord l’hypothèse que NICOLAS SARKOZY AURA PLUS DE DIFFICULTES AU SECOND TOUR. La droite fait toujours un meilleur score au second tour quand elle est divisée au premier. Mais surtout, faire revenir les électeurs modérés n’est pas une tâche aussi aisée qu’il y paraît ! IL N’EST PAS IMPENSABLE QUE LA SECESSION DU CENTRE DROIT SOIT SANS RETOUR, avec, pour la première fois sous la Ve République, l’affirmation d’un centre qui se veut indépendant de la droite. CELA AUGMENTE LES CHANCES DE VOIR REUSSIR LA TENTATIVE DE FRANCOIS BAYROU, qui enverra, semble-t-il, UN CANDIDAT DE SON NOUVEAU « PARTI DEMOCRATE » DANS (TOUTES) LES CIRCONSCRIPTIONS AUX LEGISLATIVES. La logique de la sociologie politique lui donne ses chances ! Si les électeurs ont vraiment souhaité une TRIPARTITION DE LA VIE POLITIQUE entre droite, centre et gauche, cela peut se retrouver aux législatives. En fait, les Français ont créé à la présidentielle une bipolarisation réformée.



  • PasKal 25 avril 2007 14:32

    LES « CHIRAQUIENS » APPRECIERONT AU MOMENT DE METTRE UN BULLETIN DANS L’URNE...

    http://fr.news.yahoo.com/25042007/5/francois-bayrou-a-refuse-en-2004-un-pacte-secret-contre.html

    François Bayrou a refusé en 2004 un pacte secret contre Jacques Chirac proposé par Nicolas Sarkozy, selon « Sud-Ouest »

    BORDEAUX (AP) - Le quotidien « Sud-Ouest » révèle mercredi que François Bayrou lui a confié avoir refusé en février 2004 « une alliance contre Chirac » proposée par Nicolas Sarkozy, et ne plus avoir parlé depuis au président de l’UMP.

    François Bayrou a donné cette information à « Sud-Ouest » le 16 mars dernier, lors d’une interview devant un panel de cinq lecteurs, cinq journalistes et plusieurs invités. L’extrait peut être écouté sur le site Internet de Sud-Ouest.

    « On ne peut pas rencontrer plus différents que Nicolas Sarkozy et moi. Je n’ai pas parlé avec lui depuis trois ans », confiait alors François Bayrou lors de cet entretien, avant d’expliquer les raisons de cette rupture de relations.

    « Nicolas Sarkozy venait d’être élu à la tête de l’UMP. Le dimanche suivant, il me fait inviter chez Jacques Chancel (...) et Sarkozy me dit : »’Je te propose une alliance contre Chirac. On va faire les jeunes et on va le démoder, lui qui est vieux. On va lui faire la guerre, et au bout du compte, on fait alliance contre Chirac’« . »Je lui dis : ’ça ne m’intéresse pas. Je ne veux pas faire d’alliance avec toi. Je ne veux pas faire d’ALLIANCE contre Chirac SUR LE CRITERE DE L’ÂGE. CELA NE ME RESSEMBLE PAS. Alors tu fais ce que tu veux, mais moi, je ne le ferai pas. « Depuis, en effet, il y a comme un froid entre nous », a déclaré le président de l’UDF.

    Selon le journaliste qui signe l’article de « Sud-Ouest », François Bayrou avait expressément demandé la veille de la parution de l’entretien, que ces « propos off » ne soient pas utilisés. Mais le quotidien a estimé que « aujourd’hui ces confidences prennent tout leur sens ». AP

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