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  • Premier article le 19/10/2006
  • Modérateur depuis le 19/01/2009
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Derniers commentaires



  • Patrick FERNER 24 juillet 2007 17:41

    « Le droit de grève est reconnu à tous DANS LE CADRE DES LOIS QUI LE RÉGLEMENTENT ».

    Nouvel article de loi ? Non, c’est l’article 32 du préambule de la Constitution de 1946 repris dans celui de la Constitution de 1958. Donc, le droit de grève n’est pas un droit absolu mais relatif puisque les fonctionnaires de police et les militaires ne peuvent pas se mettre en grève. Et dans ce même préambule, il est dit en son article 3 : "La liberté est la faculté de faire tout ce qui ne porte pas atteinte aux droits d’autrui. Les conditions d’exercice de la liberté sont définies par la loi. Nul ne peut être contraint de faire ce que la loi n’ordonne pas". Lorsque dans les médias, on aborde cette question du service minimum, on se garde bien de citer cet article 32, nouvel exemple de mensonge par omission. Donc légiférer sur le service minimum est parfaitement constitutionnel. C.Q.F.D.



  • Patrick FERNER 21 juin 2007 18:30

    Tous les commentaires qui accompagnent cet article sont faussés par le fait qu’ils reposent sur le postulat que les vaccins sont efficaces, qu’ils ne produisent que des effets secondaires et par conséquent, on se met à disserter sur le bien-fondé ou non de l’obligation vaccinale. En fait, le principe même du vaccin repose sur une imposture scientifique de la part de Pasteur : tout le monde connaît l’histoire du petit Meister qui fut mordu par un chien prétendument atteint de la rage ; l’ennui, c’est que personne n’a démontré que le chien était enragé, lequel avait mordu plusieurs personnes dans le village et aucun cas de rage ne fut cependant signalé ! Autrement dit, Pasteur a fondé sa théorie vaccinale sur un CAS UNIQUE. Quand on sait que pour qu’un médicament ou un vaccin puisse être mis à la vente, il doit se voir délivrer une AMM (autorisation de mise sur le marché), cette dernière ne s’obtenant qu’au prix d’une longue série de tests sur une durée de 5 ans, et sur un échantillonnage de population significatif, il est permis, même pour des non-spécialistes dont je suis, de mettre en doute les thèses de Pasteur dont les thuriféraires risquent de voir le sol se dérober sous leurs pieds : « Le jeune Rouyer (12ans) fut mordu le 8 octobre 1886 par un chien inconnu, pasteur lui inocula un vaccin par la méthode intensive. Le 26 octobre, l’enfant mourut. Une enquête judiciaire dont fut chargée le Pr Brouardel fut alors ouverte pour déterminer les causes de la mort mais celui-ci, haut personnage bardé de diplômes, était un ami de Pasteur,. Dans le laboratoire d’Émile Roux, on inocula une partie du bulbe cervical de l’enfant à des cerveaux de lapins. Quelques jours plus tard, les lapins moururent de la rage mais Brouardel, en accord avec Roux, décida de porter un faux témoignage... Le rapport indiquait : « les lapins sont en bonne santé aujourd’hui ».  »Pasteur déclara que l’enfant était mort d’urémie...« (Philippe DECOURT, Les vérités indésirables : le cas Pasteur). Mais voici le pire concernant Pasteur : »...En 1886, les morts connus à mettre au passif de la méthode Pasteur s’élevaient à 74 ... Certains sont morts en présentant les symptômes de la rage ordinaire, d’autres ont succombé à une affection surnommée « rage des laboratoires ... »« (Sylvie SIMON, Vaccination : l’overdose, p.31)  »Ainsi, comme l’affirme de nombreux auteurs, Pasteur aurait menti : plusieurs historiens dénoncent aujourd’hui ce qu’ils appellent ses mensonges et ses mystifications que maintiennent le chauvinisme français et le loi du profit« . »...Les responsables de la Santé Publique le savent depuis le début du siècle [dernier] mais ont laissé véhiculer ce mensonge, constatant qu’il existait là un marché potentiel fabuleux !«  »Le Dr DE BROUWER écrit : « ...Le BCG prit rapidement un essor considérable et combla d’aise et d’argent l’institut Pasteur et un un corps médical d’une incompétence et d’une naïveté redoutables. Les promoteurs de cette affaire machiavélique, une vingtaine de familles tenant la santé en otage : mandarins, enseignants, propriétaires de laboratoires, etc... firent voter en 1949, à la sauvette, par l’Assemblée nationale et le Conseil de la République, la vaccination obligatoire par le BCG, lequel BCG, gratuit, est en réalité financé par le contribuable français... Curieusement, en 1949, le Président du Sénat était le PDG de l’institut Pasteur !... » « Près de 2000 personnes souffrent actuellement de graves maladies neurologiques, ou sont décédés, et les victimes (ou leur héritiers) accusent le vaccin contre l’hépatite B (Eric GIACOMETTI, La santé Publique en otage, Ed. Albin Michel).  »Des plaintes pour empoisonnement et administration de substances nuisibles à la santé ont été déposées, notamment à l’encontre de ceux qui ont obligé les victimes à recevoir un vaccin tant inefficace que dangereux. Elles sont actuellement centralisées chez un Juge d’instruction à Paris. Malheureusement, une étude approfondie de cette question, montre que tous les vaccins sont concernés, et pas seulement celui contre l’hépatite B. Alors que la quasi-totalité des pays d’Europe a supprimé les vaccins obligatoires, la France (1er pays producteur mondial de vaccins), en a maintenu 4, malgré les protestations de millions de scientifiques de tous bords, criant à l’empoisonnement collectif, devant leur dangerosité, et surtout leur inefficacité. Voilà plus de 20 ans, que des médecins, biologistes, etc., du monde entier, tentent d’alerter les pouvoirs publics pour leur donner des informations extrêmement graves concernant les vaccins :
    - Des épidémies de coqueluche aux U.S.A. ont atteint des centaines d’enfants vaccinés contre la coqueluche,
    - Des épidémies de polio dans le monde entier ont touché des milliers de personnes, pourtant correctement vaccinées,
    - En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes de tuberculoses, avaient toutes reçu le B.C.G. ... Des scientifiques du monde entier semblent dire aujourd’hui :
    - Que les produits appelées « vaccins » seraient totalement inefficaces,
    - Qu’ils seraient dangereux, responsables de scléroses en plaques, encéphalites, méningites, maladies neurologiques : Fabriqués avec du sérum de veau, des cellules cancérisées, et de l’hydroxyde d’aluminium, à des doses 30 fois supérieurs au seuil maximum de toxicité, ainsi que de dérivées du mercure, ils ont pour effet général de baisser nos défenses immunitaires, et pourraient être liées à l’apparition du Sida.
    - Que souvent, même, ils nous transmettraient les maladies qu’il sont censés prévenir !
    - Que l’on nous aurait menti depuis 50 ans au moins, pour des raisons sordides et honteuses, en nous faisant croire, notamment que les vaccins auraient enrayés les épidémies. Or, il semblerait que l’arrêt des épidémies n’ait rien à voir avec les campagnes de vaccination. Ainsi, 1200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956, année où la campagne de vaccination a débuté. Et en 1957, la France a connu plus de 4000 cas. Personne, d’ailleurs, n’est capable d’expliquer pourquoi les épidémies de peste et de choléra du Moyen Âge, de suette picarde (qui a sévi de 1718 à 1906), et plus récemment, de scarlatine, se sont arrêtées sans vaccin, et sans décimer toute l’humanité..." La lecture de simples citations extraites de ces ouvrages, conduit tout lecteur, à la conclusion incontournable, suivant laquelle les enfants sont victimes d’un empoisonnement collectif, et qu’il est plus que temps de réagir. En outre, tous les ans, des centaines de médecins, adressent des pétitions au Ministère de la Santé, afin que cesse ce qu’ils considèrent être un véritable empoisonnement collectif n’ayant pour but que le profit, et surtout pas la SANTE... PUBLIQUE. Ces médecins dénoncent le fait que la quasi-totalité de leurs confrères est dans l’ignorance totale de ces informations, car l’information médicale en France passe entièrement par les laboratoires pharmaceutiques. Ces médecins indiquent également qu’une vaccination n’est pas un acte banal, et qu’un certain nombre de précautions sont, de toutes manières, obligatoires (arrêté du 28 février 1952). Il faut en effet, préalablement à tout acte vaccinal, que le sujet fasse l’objet d’un bilan clinique et biologique à savoir : a) Iconogramme complet, dosage de l’urée b) Lipidogramme c) Bilan endocrinien d) Titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations éventuelles déjà subies e) Test de dépistage du Sida et des différentes hépatites f) Electrophorèse et immunophorèse des protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités ou incapacités éventuelle de l’organisme à fabriquer les anticorps g) Bilan radiologique :
    - Radiographie panoramique dentaire, ceci dès qu’il y a au moins une dent dévitalisée.
    - Radiographie pulmonaire, pour éliminer toute image de tuberculose pulmonaire. Or, jamais un seul de ces tests n’est proposé aux enfants, ce qui procède d’une négligence criminelle. Bien que ces éléments soient publics, et notoires depuis au moins 10 ans, aucun scientifique n’est encore venu les contredire, les vaccinalistes se content de répéter, comme une litanie religieuse, que les vaccins auraient enrayé les épidémies. Déjà le 5 décembre 1957, 101 Députés Socialistes déposaient une proposition de Loi tendant à abroger l’obligation vaccinale. Parmi eux MM. DEFFERRE, CAPDEVILLE, PROVO, SAVARY. La France est le seul pays d’Europe à avoir 4 vaccins obligatoires. Aussi, comme par hasard, le pays qui compte le plus de cas de tuberculose et de tétanos, mais c’est le 1er pays producteur de vaccins du monde... En outre, certaines vaccins, obligatoires en France, sont interdits dans d’autres pays de la C.E.E. (Grande-Bretagne, par exemple) vu le nombre de victimes paralysées à vie qu’ils ont faits."

    Sources : http://www.onnouscachetout.com/themes/medecine/vaccins-mensonges.php

    - Vaccins, l’avis d’un avocat, on nous aurait menti ? Par Maître J.-P. JOSEPH



  • Patrick FERNER 21 juin 2007 17:42

    Tous les commentaires qui accompagnent cet article sont faussés par le fait qu’ils reposent sur le postulat que les vaccins sont efficaces et par conséquent, on se met à disserter sur le bien-fondé ou non de l’obligation vaccinale. En fait, le principe même du vaccin repose sur une imposture scientifique de la part de Pasteur : tout le monde connaît l’histoire du petit Meister qui fut mordu par un chien prétendument atteint de la rage ; l’ennui, c’est que personne n’a démontré que le chien était enragé, lequel avait mordu plusieurs personnes dans le village et aucun cas de rage ne fut cependant signalé ! Autrement dit, Pasteur a fondé sa théorie vaccinale sur un CAS UNIQUE. Quand on sait que pour qu’un médicament ou un vaccin puisse être mis à la vente, il doit se voir délivrer une AMM (autorisation de mise sur le marché), cette dernière ne s’obtenant qu’au prix d’une longue série de tests sur une durée de 5 ans, et sur un échantillonnage de population significatif, il est permis, même pour des non-spécialistes dont je suis, de mettre en doute les thèses de Pasteur dont les thuriféraires risquent de voir le sol se dérober sous leurs pieds : « Le jeune Rouyer (12ans) fut mordu le 8 octobre 1886 par un chien inconnu, pasteur lui inocula un vaccin par la méthode intensive. Le 26 octobre, l’enfant mourut. Une enquête judiciaire dont fut chargée le Pr Brouardel fut alors ouverte pour déterminer les causes de la mort mais celui-ci, haut personnage bardé de diplômes, était un ami de Pasteur,. Dans le laboratoire d’Émile Roux, on inocula une partie du bulbe cervical de l’enfant à des cerveaux de lapins. Quelques jours plus tard, les lapins moururent de la rage mais Brouardel, en accord avec Roux, décida de porter un faux témoignage... Le rapport indiquait : « les lapins sont en bonne santé aujourd’hui ».  »Pasteur déclara que l’enfant était mort d’urémie...« (Philippe DECOURT, Les vérités indésirables : le cas Pasteur). Mais voici le pire concernant Pasteur : »...En 1886, les morts connus à mettre au passif de la méthode Pasteur s’élevaient à 74 ... Certains sont morts en présentant les symptômes de la rage ordinaire, d’autres ont succombé à une affection surnommée « rage des laboratoires ... »« (Sylvie SIMON, Vaccination : l’overdose, p.31)  »Ainsi, comme l’affirme de nombreux auteurs, Pasteur aurait menti : plusieurs historiens dénoncent aujourd’hui ce qu’ils appellent ses mensonges et ses mystifications que maintiennent le chauvinisme français et le loi du profit« . »...Les responsables de la Santé Publique le savent depuis le début du siècle [dernier] mais ont laissé véhiculer ce mensonge, constatant qu’il existait là un marché potentiel fabuleux !«  »Le Dr DE BROUWER écrit : « ...Le BCG prit rapidement un essor considérable et combla d’aise et d’argent l’institut Pasteur et un un corps médical d’une incompétence et d’une naïveté redoutables. Les promoteurs de cette affaire machiavélique, une vingtaine de familles tenant la santé en otage : mandarins, enseignants, propriétaires de laboratoires, etc... firent voter en 1949, à la sauvette, par l’Assemblée nationale et le Conseil de la République, la vaccination obligatoire par le BCG, lequel BCG, gratuit, est en réalité financé par le contribuable français... Curieusement, en 1949, le Président du Sénat était le PDG de l’institut Pasteur !... » « Près de 2000 personnes souffrent actuellement de graves maladies neurologiques, ou sont décédés, et les victimes (ou leur héritiers) accusent le vaccin contre l’hépatite B (Eric GIACOMETTI, La santé Publique en otage, Ed. Albin Michel).  »Des plaintes pour empoisonnement et administration de substances nuisibles à la santé ont été déposées, notamment à l’encontre de ceux qui ont obligé les victimes à recevoir un vaccin tant inefficace que dangereux. Elles sont actuellement centralisées chez un Juge d’instruction à Paris. Malheureusement, une étude approfondie de cette question, montre que tous les vaccins sont concernés, et pas seulement celui contre l’hépatite B. Alors que la quasi-totalité des pays d’Europe a supprimé les vaccins obligatoires, la France (1er pays producteur mondial de vaccins), en a maintenu 4, malgré les protestations de millions de scientifiques de tous bords, criant à l’empoisonnement collectif, devant leur dangerosité, et surtout leur inefficacité. Voilà plus de 20 ans, que des médecins, biologistes, etc., du monde entier, tentent d’alerter les pouvoirs publics pour leur donner des informations extrêmement graves concernant les vaccins :
    - Des épidémies de coqueluche aux U.S.A. ont atteint des centaines d’enfants vaccinés contre la coqueluche,
    - Des épidémies de polio dans le monde entier ont touché des milliers de personnes, pourtant correctement vaccinées,
    - En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes de tuberculoses, avaient toutes reçu le B.C.G. ... Des scientifiques du monde entier semblent dire aujourd’hui :
    - Que les produits appelées « vaccins » seraient totalement inefficaces,
    - Qu’ils seraient dangereux, responsables de scléroses en plaques, encéphalites, méningites, maladies neurologiques : Fabriqués avec du sérum de veau, des cellules cancérisées, et de l’hydroxyde d’aluminium, à des doses 30 fois supérieurs au seuil maximum de toxicité, ainsi que de dérivées du mercure, ils ont pour effet général de baisser nos défenses immunitaires, et pourraient être liées à l’apparition du Sida.
    - Que souvent, même, ils nous transmettraient les maladies qu’il sont censés prévenir !
    - Que l’on nous aurait menti depuis 50 ans au moins, pour des raisons sordides et honteuses, en nous faisant croire, notamment que les vaccins auraient enrayés les épidémies. Or, il semblerait que l’arrêt des épidémies n’ait rien à voir avec les campagnes de vaccination. Ainsi, 1200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956, année où la campagne de vaccination a débuté. Et en 1957, la France a connu plus de 4000 cas. Personne, d’ailleurs, n’est capable d’expliquer pourquoi les épidémies de peste et de choléra du Moyen Âge, de suette picarde (qui a sévi de 1718 à 1906), et plus récemment, de scarlatine, se sont arrêtées sans vaccin, et sans décimer toute l’humanité..." La lecture de simples citations extraites de ces ouvrages, conduit tout lecteur, à la conclusion incontournable, suivant laquelle les enfants sont victimes d’un empoisonnement collectif, et qu’il est plus que temps de réagir. En outre, tous les ans, des centaines de médecins, adressent des pétitions au Ministère de la Santé, afin que cesse ce qu’ils considèrent être un véritable empoisonnement collectif n’ayant pour but que le profit, et surtout pas la SANTE... PUBLIQUE. Ces médecins dénoncent le fait que la quasi-totalité de leurs confrères est dans l’ignorance totale de ces informations, car l’information médicale en France passe entièrement par les laboratoires pharmaceutiques. Ces médecins indiquent également qu’une vaccination n’est pas un acte banal, et qu’un certain nombre de précautions sont, de toutes manières, obligatoires (arrêté du 28 février 1952). Il faut en effet, préalablement à tout acte vaccinal, que le sujet fasse l’objet d’un bilan clinique et biologique à savoir : a) Iconogramme complet, dosage de l’urée b) Lipidogramme c) Bilan endocrinien d) Titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations éventuelles déjà subies e) Test de dépistage du Sida et des différentes hépatites f) Electrophorèse et immunophorèse des protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités ou incapacités éventuelle de l’organisme à fabriquer les anticorps g) Bilan radiologique :
    - Radiographie panoramique dentaire, ceci dès qu’il y a au moins une dent dévitalisée.
    - Radiographie pulmonaire, pour éliminer toute image de tuberculose pulmonaire. Or, jamais un seul de ces tests n’est proposé aux enfants, ce qui procède d’une négligence criminelle. Bien que ces éléments soient publics, et notoires depuis au moins 10 ans, aucun scientifique n’est encore venu les contredire, les vaccinalistes se content de répéter, comme une litanie religieuse, que les vaccins auraient enrayé les épidémies. Déjà le 5 décembre 1957, 101 Députés Socialistes déposaient une proposition de Loi tendant à abroger l’obligation vaccinale. Parmi eux MM. DEFFERRE, CAPDEVILLE, PROVO, SAVARY. La France est le seul pays d’Europe à avoir 4 vaccins obligatoires. Aussi, comme par hasard, le pays qui compte le plus de cas de tuberculose et de tétanos, mais c’est le 1er pays producteur de vaccins du monde... En outre, certaines vaccins, obligatoires en France, sont interdits dans d’autres pays de la C.E.E. (Grande-Bretagne, par exemple) vu le nombre de victimes paralysées à vie qu’ils ont faits."

    Sources : http://www.onnouscachetout.com/themes/medecine/vaccins-mensonges.php

    - Vaccins, l’avis d’un avocat, on nous aurait menti ? Par Maître J.-P. JOSEPH



  • Patrick FERNER 24 avril 2007 11:18

    Les débuts de l’industrialisation ont effectivement créé un prolétariat qui paraissait croître indéfiniment avec le développement du capital. Tocqueville s’en fit le témoin mais Marx et Engels également en publiant en 1847 « Le manifeste du parti communiste ». Dickens, dans ses romans, dénonça les « sweat-shops » (littéralement, « les ateliers à sueur »). Donc pour tous les observateurs de cette époque, l’industrialisation allait droit dans le mur en générant une masse croissante de pauvres qui ne manqueraient pas de se révolter, ce qui mit fin en France au règne de Louis-Philippe, suite à une crise économique qui avait vu la fermeture de nombreux ateliers.

    Napoléon III, auteur d’un ouvrage « L’extinction du paupérisme » a tiré la leçon de la crise économique des années 1846-48, qui était due à la faiblesse du système bancaire, asphyxiant les entreprises qui ne pouvaient plus investir. Il avait compris « que la paupérisation n’est pas le produit du capitalisme mais, plus certainement du manque de capitalisme (1) » et de fait, « Napoléon III sut démontrer qu’il était possible de concilier autorité et modernité, hiérarchie et partage des fruits de la croissance, enrichissement de la nation et amélioration du sort de la classe » industrieuse (2)". Et quand on regarde la période 1870-1914, que ce soit en Europe ou aux États-Unis, on assiste à une croissance économique considérable qui, si elle n’a pas enrichi la classe ouvrière, l’a au moins éloignée de la misère. Toutefois, la pression sociale se fit croissante, voire pressante au point de menacer l’équilibre de la société française à la veille de la Grande Guerre. Il faudra attendre les accords de Matignon en 1936 pour commencer à parler de redistribution des richesses, cette dernière, c’est sûr, ne se faisant pas spontanément et cela se vérifie dans tous les pays industrialisés.

    Donc Tocqueville, souvent visionnaire, s’est trompé quant à l’évolution immédiate, à son époque, de l’industrialisation ; en revanche, il est totalement dans le vrai quand il émet l’idée que les sociétés industrielles créent des besoins et je me permettrai d’aller plus loin en disant que dans ces sociétés, c’est l’offre qui crée la demande. C’est ce qu’avait compris Henry Ford au début du XXème siècle lorsqu’il lorsqu’il créa sa voiture, le fameux modèle « T » : il la fit produire à un coût qui soit le plus bas possible de telle manière que ses propres ouvriers puissent l’acheter ; il créa le besoin de posséder une automobile, anticipant sans le savoir sur la société de consommation qui se développa après 1945.

    La période 1945-1975 dite des « trente glorieuses » a vu le développement des classes moyennes avec peut-être des taux de pauvreté les plus bas que l’on ait connus, jusqu’aux chocs pétroliers qui mirent fin à ce que beaucoup considèrent comme l’âge d’or de l’économie : la croissance était forte, les marges bénéficiaires confortables, les barrières douanières tombaient, le gâteau à partager était suffisamment grand pour conquérir des avantages sociaux bénéficiant au plus grand nombre. Il était d’ailleurs impératif pour les industriels que le niveau de vie soit élevé pour vendre leurs produits à une part de plus en plus grande de la population. Alors, que s’est-il passé ? Les chocs pétroliers n’expliquent pas tout. En fait, on peut constater que les entreprises, qu’elles soient industrielles ou commerciales, travaillent depuis de nombreuses années avec des marges bénéficiaires très faibles, d’où cette chasse systématique menée contre les prix de revient : pression sur les salaires, développement de l’emploi précaire, délocalisations. Mais en appauvrissant de cette manière leurs salariés, les entreprises se privent de consommateurs qui n’ont plus le moyens d’acheter leurs produits (ex. : baisse du marché automobile en France en 2006), se tirant ainsi une balle dans le pied.

    (1) Jacques Marseille, Du bon usage de la guerre civile en France, 2006 - Editions Perrin ( collection Tempus) Chap. 5, p.99

    (2) Ibid



  • Patrick FERNER 7 avril 2007 12:50

    @ Bertrand Lemaire

    Tout à fait d’accord avec vous, et j’irai même plus loin : la redevance appliquée aux supports vierges est anticonstitutionnelle car une loi doit servir l’intérêt général et non créer une rente de situation pour une infime partie de la population sur le dos de la collectivité. C’est le type même d’une loi corporatiste. Cette redevance « showbize » trouve son équivalent dans le statut dérogatoire des intermittents du spectacle auprès des ASSEDIC (Pourquoi les saisonniers de la restauration ou de l’hôtellerie n’auraient-ils pas droit eux aussi à un statut dérogatoire vu la précarité de leur situation ?). On y retrouve là l’arrogance d’un milieu « businesso-politico-artistique » qui fraye avec les hautes sphères du pouvoir politique, ce qui lui permet, avec le renfort des « majors » du disque d’exercer un lobbying efficace auprès du gouvernement et du Parlement pour faire voter une loi inique et qui considère que la collectivité nationale doit payer pour une coterie d’artistes autoproclamés. Cela s’appelle ni plus ni moins du parasitisme social. Mais il y a une justice, ce sont les ventes en chute libre, aussi bien des CD audio que de la musique payante sur Internet. Il faudrait être naïf ou de mauvaise foi, aussi bien pour affirmer que la copie illégale n’y est pour rien, que d’en faire la cause unique de cette situation. C’est pourtant sur ce dernier point que les maisons de disque s’arc-boutent d’une façon obsessionnelle, et dans leur aveuglement, ils n’ont pas vu passer le train (le TGV devrait-on dire !) de l’évolution technologique qui se traduit par la dématérialisation des supports, laquelle buleverse le modèle économique qui sert de fondement à la rémunération des créateurs. C’est le fond du problème et je ne vais pas l’aborder car il a été déjà abondamment traité sur les colonnes d’Agoravox. Je me bornerai à dire que la loi DADVSI est d’ores et déjà un échec puisqu’elle est passée à côté de cette question fondamentale et ne résout pas le problème ainsi posé. Quoi qu’il en soit, la taxe sur les supports vierges est injustifiable et si on comprend bien que M. Pelletier fasse un plaidoyer pro domo, puisqu’il travaille dans une société de gestion des droits artistiques, cela n’excuse ni son agressivité qu’il manifeste quand il répond aux commentaires ni les grossiers amalgames auquel il se livre. Cette attitude est un déni de réalité et cache mal une absence d’arguments quand on cherche à justifier l’injustifiable. En attendant, les consommateurs se rebiffent à leur manière en achetant leurs supports vierges « offshore »sur le Net et dont les ventes explosent.

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