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Pelletier Jean

Pelletier Jean

Je suis né en 1952, ancien élève de l'Institut d'études politique de Paris et titulaire d'une Maîtrise de Lettres à l'Université Nancy 2, je travaille actuellement dans une société de gestion de droits artistiques, j'enseigne à l'université d'Evry-Val d'Essonne dans le cadre du département« Administration de la musique et du spectacle vivant » en tant que Professeur associé..
Ecrivain, je suis l'auteur d'une monographie publiée aux Editions du Chêne dans la collection Vérité et légendes : « Julien Gracq - L'embarcadère »,j'ai publié aux Editions Saint-Germain-des-Prés « Les Irréelles » et « Le Satan poétique ».Auteur d'une pièce de Théâtre « La mémoire, le paravent et le chant des oiseaux », j'ai aussi participé à l'ouvrage collectif « La vie quotidienne des Français au XXe siècle ».
J'ai été directeur des ressources humaines de l'établissement public du Parc et de la Grande Halle de la Villette, consultant en ingénierie culturelle pendant une dizaine d'année, j'ai produit et mis en scène de nombreuses expositions, notamment : « La République et le suffrage universel » à l' Assemblée Nationale ainsi que « La Fureur de Lire ».
J'ai été Secrétaire général de l'Agence de l'informatique, conseiller technique auprès du Ministre du Temps Libre, assistant parlementaire d'Edgar Pisani et j'ai collaboré au Festival Mondial du théâtre Universitaire de Nancy.
On peut me joindre à l'adresse suivante : [email protected]

Tableau de bord

  • Premier article le 31/03/2006
  • Modérateur depuis le 06/09/2006
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Pelletier Jean Pelletier Jean 6 novembre 2006 16:08

    désolé ... c’est un flagrant lapsus révélateur je voulais bien sûr dire Laurent Fabius, DSK est le seul a ne pas avoir été huè. Volià ce que c’est que d’écrire à la volèe sans rféléchir. Toutes mes excuses.



  • Pelletier Jean Pelletier Jean 6 novembre 2006 14:52

    Cher Carlo,

    Tout d’abord merci pour l’énergie et la rigueur que vous consacrez à améliorer Agoravox. Il fallait trouver une issue positive à « l’invasion » de trolls et de commentaires désobligeants et peu efficaces.

    La formule, après débat interne (et très fourni)me parait simple et facile à utiliser, Ok pour « affacer » la photo du commentaire « plié ».

    Cela devrait améliorer sensiblement la lisibilité et la compréhension des débats.

    La liberté ce n’est en aucun cas le droit de dire n’importe quoi en dehors de toutes règles déontologiques de respect et de tolérance. Bien à vous.



  • Pelletier Jean Pelletier Jean 6 novembre 2006 14:36

    Article intérressant, quoique rapide sur ce que peut représenter la F.M.Bien que discrète et non pas secréte il ne me semble pas très opportun de détailler par le menu les rituels d’initiation ou de tenue. Car ils n’ont de sens effectifs que lorsqu’ils sont pratiqués dans leur contexte.

    J’ai approché une première fois la F.M. il y a très longtemps au contact d’un homme remarquable, le même « Pierre » que toi, il m’a éduquè en politique, pour autant la F.M. ne me paraissait pas un chemin empruntable tant j’étais impliquè dans mon engagement politique.

    Par la suite, mon meilleur ami rencontrè lors des mes études de Sciences politiques était F.M. il n’a jamais cherché à me « convertir », mais j’ai beaucoup lu à son contact. Et puis il était (il l’est toujours) lui aussi admirable.

    Plus le temps passait et plus les « illustres » hommes que je découvrais F.M. dans ma vie ou dans l’histoire ou la littérature présentait un profil auqulel j’adhérais profondemment et auquel j’aspirais à accéder : beaucoup d’humanité, de générosité alliè à une extrême rigueur, du respect et surtout de la tolérance .

    Puis ma vie professionnelle m’amena à devenir ce que l’on appelle un permanent de la vie politique.

    Je rencontrai beaucoup de F.M. et ils n’étais pas tous admirables, mais même les moins sympathiques dégageaient certaines qualités communes : l’écoute et une manière de travailler qui me séduisait : l’écoute, l’analyse, l’apprentissage, l’attention portée à celui qui pense de manière différente, le goût de la synthèse dans le respect des convictions.

    Et il arriva ce qui devait arriver : un homme que je respecte profondemment et qui me rappellait avec beaucoup d’émotion ce fameux « Pierre », me dit un jour dans un train qui nous conduisait vers une destination qui m’était particulièrement chère : la ville de mon enfance, me dit : « vous n’avez jamais songè à devenir Franc Maçon, vous avez déjà certaines des qualités ». A mon retour, j’appellai mon meilleur ami et faisais ma demande.

    La rencontre avec le Vénérable de cet atelier fût un choc pour moi ...riche d’échanges et d’apprentissages, il en fût de même avec mes trois enquêteurs, j’ai été particulièrement gâté par le hasard : trois fortes personnalités d’origines radicalement différentes.

    Je fûs entendu sous le bandeau, comme le veut la coutume. Ce fût un un grand moment de ma vie, les questions fusaient dans l’obscurité, pertinentes, nourries des trois rapports qu’ils avaient entendus précédemment. Puis je sortis du temple et je me suis retrouvé dans la rue à marcher droit devant moi avec le sentiment de vivre enfin quelque chose d’important pour moi et qui me ressemblait.

    L’initiation, par contre ne m’a pas laissé un souvenir impérissable ... je commençais ma « carrière de F.M. » de manière iconoclaste en lisant mes impressions d’initiation sous un mode narcois : impression de « bizutage ». Il n’y eut pourtant aucun scandale ... depuis je suis resté le frère iconoclaste ... en toutes interventions et surtout par les sujets de « planches »(travaux mené par un frère).

    Il s’en est suivi un an de silence et de tenues (réunion des frères en atelier, une belle époque de ma vie et d’apprentissage.

    Je ne regrette rien j’ai trouvé dans la F.M. après avoir beaucoup milité en politique, dans les syndicats et les associations un lieu de véritable réflexion où la conduite de l’élaboration de la pensée se fait avec un grand respect. Je me suis utilement formé. Bien qu’en contact pour des raisons de hasard de la vie, de rencontre, de vie professionnelle avec plusieurs grands maîtres du Grand Orient de France et d’autres obédiences, de conseillers de l’ordre (sorte de parlement)je n’ai jamais aspirè à dépasser l’horizon de ma loge. J’ai assistè en tout et pour tout à deux convents (association pléniaire représentative de toutes les loges d’une obédience). J’ai fui toutes les fraternelles (qui regroupent les F.M.d’une branche professionnelle ou d’une entreprise).

    je n’ai jamais fait état nécessairement de ma condition de F.M..

    Bref j’ai vécu et je vis encore ma F.M. en toute intériorité dans les échanges de ma loge. Les hasards de la vie, des raisons de santè m’ont tenu éloigné ces dernières années de ma loge et pourtant je suis et je demeure F.M.

    Pour le reste les scandales, les débats houleux entre frères, entre loges, entre obédience n’ont en rien entamè mon adhèsion profonde et sincère dans la F.M.



  • Pelletier Jean Pelletier Jean 6 novembre 2006 13:05

    Pour ma part, j’étais au meeting du Zénith et destinataire des mails en réfrence. il n’y a pas de quoi en faire un drame. Je suis très surpris des commentaires sur les huées adressées à Ségolène Royale et à Dominique Strauss-Kahn. il n’y a pas vraimment de quoi s’alarmer. Et bien oui, il y avait là 5000 militants socialistes, partisans pour l’un, partisans pour l’autre. Déjà que la mise en scène (pas de débats entre eux, mais une suite de monologues) n’était pas fun, il aurait fallu que tout cela se passe dans un silence glacial, ponctué d’applaudissemnts polis .... Il faut attérir un peu et avoir un peu plus le sens des réalités. J’ai le souvenir de la pré-campagne d’avant 1981 entre les partisans de Michel Rocard et de François Mitterrand, c’était encore plus Rock en Roll.. Moi, je me suis bien amusé au Zénith et c’est cela aussi être militant , j’ai applaudi, j’ai hué et j’ai bien aimé cet esprit de compétition. Mais je serai de toute manièré derrière le candidat choisi par les militants quelqu’il soit...et je ne serai pas le seul. Rappellez vous... 1981, les rocardiens et les mitterrandistes ont fait cause commune. smiley



  • Pelletier Jean Pelletier Jean 6 novembre 2006 12:48

    Excellente présentation du livre de Pierre Jourde. Mais la remise en cause des médias dans l’affaire de Marseille et de Redon me semble plus incertaine. c’est toujours l’éternelle question..on accuse les médias, par « leur insistance » de provoquer les événements, mais on ne les rate pas non plus lorsqu’ils passent sous silence ces mêmes évenments ou bien les minimisent. Personnellement je n’aimerai pas être « Rédac Chef » par les temps qui courrent.... smiley

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