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pepin2pomme

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  • pepin2pomme 1er février 2011 07:49

    Bonjour
    Je pense que l’espéranto et la physique de la fusion nucléaire ont ceci de commum qu’il faut à la fois une masse critique, un confinement minimum et une température minimum. Ce qui a empêché jusqu’à présent l’espéranto de décoller, c’est que le nombre de locuteurs (la masse critique) est encore insuffisante, qu’ils sont dispersés (confinement faible) à travers le monde et que l’intérêt ou l’attrait de l’EO n’apparaît pas suffisamment évident (température faible) pour les non-espérantistes.
    J’ai espoir qu’avec l’avènement de l’internet, la constitution de villages virtuels pourra aider à faire décoller l’EO.
    @krokodilo : daŭrigu vian batalon, amiko.



  • pepin2pomme 19 janvier 2011 14:47

    Mon cher Michel, pour une fois, je ne suis pas d’accord avec vous, et si j’ai « minussé » votre article, ce n’est pas pour le plaisir de maculer une barre uniformément verte.
    Certes, les agences de notation ont un pouvoir considérable, y compris si on suit la logique sur notre niveau de vie. Mais, qu’elles soient compétentes ou non, je considère qu’il est important de ne pas se mêler de leurs notations. Celui qui s’endette a pour rôle d’inspirer confiance à ses créanciers, et peu importe si ces créanciers sont rationnels ou s’ils se fient aux astres ! Si on brûle sur un bucher les agences de notation, croyez-vous que les créanciers des Etats vont faire confiance à ces derniers ? Entre les déclarations de Christine Lagarde et les notations des agences, je ne sais pas qui des deux est le plus fiable ! 



  • pepin2pomme 17 janvier 2011 12:53

    Excellent article, l’allusion au joueur de pipeau m’a bien fait rire !

    Sans prétendre à l’exhaustivité, en tant qu’amateur de Shostakovitch, je reste sur ma faim puisque sa seconde valse n’a pas été citée ci-dessus.

    A+



  • pepin2pomme 17 novembre 2010 10:35

    Mon cher Titi, vous m’avez mal compris. Je ne pleure pas de payer trop d’impôts, et même si j’utilise un ton râleur, j’ai bien écrit que je n’étais pas à plaindre. J’ai juste dit (en d’autres termes) que les revenus fiscaux générés grâce à une main d’oeuvre délocalisée n’étaient pas reversés pour améliorer la fluidité de ceux précisément qui participent à l’enrichissement du pays.



  • pepin2pomme 17 novembre 2010 08:15

    Bon article.
    On peut faire le parallèle entre l’agglomération genevoise et la région des trois frontières (Bâle, Alsace du sud et pays de Bade). Ici aussi, le bassin d’emploi est la Suisse (Bâle et environs), ici aussi il y a des problèmes de trafic « pendulaire », ici aussi il y des transfers fiscaux. Ces transfers sont toutefois inversés par rapport à Genève, pas de retenue à la source pour les travailleurs frontaliers, mais le fisc français reverse à la Suisse une partie des recettes. Cette mane, dont profite Bâle, payée indirectement par les frontaliers ne leur profite pas. Aucune amélioration des transports en communs, le projet d’extension du tram bâlois vers St-Louis en France, dont on parle depuis des décénies n’a toujours pas démarré. Au contraire, Bâle a durci considérablement les conditions de stationnement dans la ville, sans se poser la question des solutions alternatives.
    Beaucoup de gens considèrent les travailleurs frontaliers comme privilégiés, et - je le reconnais - c’est pas totalement faux (surtout au cours actuel du franc suisse), mais le revers de la médaille est loin d’être négligeable.

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