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Pierre Arrighi

Pierre Arrighi

Professeur associé à la Faculté des arts d’Amiens, rédacteur, graphiste, dessinateur d’art, formateur et chercheur. Mène des recherches sur les nouvelles formes du dessin et sur l’esthétique du football. Né en Uruguay, père de 3 enfants et grand-père de 2 petits enfants. Travaille en indépendant et collabore avec Streetfootballworld, mouvement associatif mondial qui lie football de rue et éducation.

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  • Premier article le 25/04/2007
  • Modérateur depuis le 12/06/2007
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Derniers commentaires



  • Pierre Arrighi Pierre Arrighi 22 septembre 2007 11:32

    on ne peut pas écrire n’importe quoi.



  • Pierre Arrighi Pierre Arrighi 20 septembre 2007 21:03

    Vous êtes toujours aussi énervé contre un pauvre cerveau reptilien comme moi !

    Il serait quand même bon que vous vous expliquiez au sujet de votre « thèse » « implacable » sur les noirs en équipe de France.

    Je me permettrais donc de mettre mon texte d’origine non censuré, puisqu’il n’y a pas pour le moment, débat, avec votre nom.

    En attendant votre prochaine incursion sur Sportvox avec impatience. Pierre



  • Pierre Arrighi Pierre Arrighi 20 septembre 2007 19:14

    M. Villach,

    on vous a donné rendez-vous sur Sportvox sur l’article « Traite des bleus et rectifications » concernant votre malheureux brouillon « pourquoi les bleus sont-ils noirs ? ».

    Je sais bien que vous avez l’habitude de ne faire que des incursions dans Sportvox pour y déposer « vos bombes », mais là c’est votre « rigueur » qui est en cause.

    Pierre Arrighi



  • Pierre Arrighi Pierre Arrighi 13 juillet 2007 20:55

    Je n’ai qu’un regard limité. Certaines universités fonctionnent mieux que d’autres, bougent plus et ont la curiosité et l’envie de créer. D’autres simulent le mouvement pour conserver une structuration archaïque.

    Moi je suis dedans



  • Pierre Arrighi Pierre Arrighi 13 juillet 2007 20:43

    Je n’ai qu’un regard limité. Certaines universités fonctionnent mieux que d’autres, bougent plus et ont la curiosité et l’envie de créer. D’autres simulent le mouvement pour conserver une structuration archaïque.

    Moi je suis dedans et dehors. Je suis professeur associé, donc avec un contrat renouvelable tous les trois ans, au bon vouloir des spécialistes. La structure sociale de l’Université est une des premières choses à interroger. Vous avez des chargés de cours très compétents, qui travaillent beaucoup et ne sont jamais récompensés. Et des étudiants sans aucune expérience qui deviennent immédiatement « universitaires ». Le non fonctionnaire n’a pas de voix, car il craint de ne pas être renouvelé. Moi je me suis déjà fait virer une fois, parce que je m’intéressais trop à la pédagogie. J’ai été réintégré grâce à la solidarité de la directrice de la recherche, qui est une bosseuse.

    L’Université doit se mettre au service de la société ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Il faut que l’Université soit au service des étudiants et de leur créativité, de leur avenir, et non les étudiants au service d’un système. Les étudiants sont beaucoup plus intelligents et créatifs qu’on ne le dit. Mais ils font semblant d’être idiots parce que ça donne de meilleures notes.

    Moi je suis devenu Prof associé avec un bac. Puis, par mon expérience et mes écrits pédagogiques, Nantes m’a accordé 5 ans d’études, un Master. Puis je suis devenu étudiant d’un coup. Quand je réfléchissais, j’avais 10 ou pas de réponse des profs. Quand je me suis mis à répondre vite fait bêtement, j’ai atteint facilement les 17.

    Au Cnam un prof voulait que je fasse des recherches sur les assistantes maternelles. J’ai fait une étude démontrant que les asmat étaient maintenant de classes sociales diversifiées, y compris classe moyenne. Il n’a jamais accepté le fait que ce n’était pas que des femmes de ménage.

    Dans de trop nombreux secteurs, l’Université ne développe pas la personnalité de l’étudiant et cherche surtout à soumettre sous prétexte « d’autonomie ». Le prof doit collaborer avec l’étudiant et non le laisser se décourager des années sur sa thèse.

    Le savoir est un renouvellement. L’étudiant ne doit pas être là pour acquiéscer mais pour relancer la créativité des savoirs. Ceci peut se produire dans tous les domaines du savoir et à tous les niveaux.

    Je n’ai pas de programme, mais je crois qu’il faut commencer par sortir de l’opacité qui caractérise l’Etat. Car ce qui pose problème c’est le comportement étatique et non social.

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