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Pierre de La Coste

Pierre de La Coste

Ecrivain, blogueur et expert en technologies de l'information. Auteur du roman Arkhalià, du rapport Hyper-République et de la Théorie du crapaud fou. Co-fondateur du projet Faascape. Il a rejoint récemment la Recherche d'un grand groupe français de communications. Vient de publier un essai, Apocalypse du Progrès, aux Editions Perspectives libres.

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  • Premier article le 16/11/2009
  • Modérateur depuis le 30/11/2009
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Derniers commentaires



  • Pierre de La Coste Pierre de La Coste 5 décembre 2009 15:12

    Non, je ne crois pas, la dispersion géographique des serveurs s’ajoute au Cloud et peut être utile, mais n’est pas indispensable au Cloud.
    Vous pouvez d’ailleurs avoir plusieurs de vos propres serveurs, Cloud ou pas, installés physiquement en plusieurs endroits.



  • Pierre de La Coste Pierre de La Coste 5 décembre 2009 14:23

    (pardon : mauvaise localisation de mon message, mais je répond aussi à certaines objections qui suivent)

    Objections sérieuses, auxquelles le vais tenter de répondre :
    On ne va pas supprimer les applications locales du jour au lendemain, ni même jamais complètement. Tout est une question d’équilibre entre le local et le Cloud. Les netbooks, « clients légers » conserveront une puissance minimale, qui leur permettra de travailler sous les deux modes, selon les besoins en puissance de calcul. C’est ce type de partenariat qui est recherché par jolicloud.
    Les terminaux passifs ne sont pas derrière nous, mais devant nous, avec par exemple, les terminaux mobiles ou l’internet des objets. Ces clients « ultra-légers », si l’on peut dire, auront besoin du Cloud.
    La localisation des données, et donc la confidentialité, est une question cruciale. Plusieurs réponses :
    Vous pouvez très bien créer votre propre cloud, avec plusieurs serveurs, installés physiquement chez vous ou chez un prestataire de confiance, le cloud êtant simplement la faculté d’optimiser la capacité entre plusieurs serveurs.
    Pour des données absolument pas confidentielles (ça peut arriver) on peut s’adresser à un opérateur lambda, sans exiger de garanties. C’est le low cost. Votre but est uniquement de faire des économies.
    Mais à mon avis, il existera aussi des solutions à mi-chemin entre les deux extrêmes : un cloud labellisé, garanti, certifié « hébergement des données en France » ou plus probablement « en Europe ». Libre à vous de choisir la solution qui vous convient, en croisant les critères de confidentialité et de prix...ce sera de toute façon moins cher que l’hébergement classique.
    Coup de publicité ? Si on n’avait pas fait de publicité pour le premier ordinateur, l’humanité s’en serait bien passé...
    Comme je l’explique néanmoins, le Cloud arrive à point nommé pour faire face à un surcroit de demande informatique, en période de pénurie financière.



  • Pierre de La Coste Pierre de La Coste 5 décembre 2009 14:19

    Objections sérieuses, auxquelles le vais tenter de répondre :
    On ne va pas supprimer les applications locales du jour au lendemain, ni même jamais complètement. Tout est une question d’équilibre entre le local et le Cloud. Les netbooks, « clients légers » conserveront une puissance minimale, qui leur permettra de travailler sous les deux modes, selon les besoins en puissance de calcul. C’est ce type de partenariat qui est recherché par jolicloud.
    Les terminaux passifs ne sont pas derrière nous, mais devant nous, avec par exemple, les terminaux mobiles ou l’internet des objets. Ces clients « ultra-légers », si l’on peut dire, auront besoin du Cloud.
    La localisation des données, et donc la confidentialité, est une question cruciale. Plusieurs réponses :
    Vous pouvez très bien créer votre propre cloud, avec plusieurs serveurs, installés physiquement chez vous ou chez un prestataire de confiance, le cloud êtant simplement la faculté d’optimiser la capacité entre plusieurs serveurs.
    Pour des données absolument pas confidentielles (ça peut arriver) on peut s’adresser à un opérateur lambda, sans exiger de garanties. C’est le low cost. Votre but est uniquement de faire des économies.
    Mais à mon avis, il existera aussi des solutions à mi-chemin entre les deux extrêmes : un cloud labellisé, garanti, certifié « hébergement des données en France » ou plus probablement « en Europe ». Libre à vous de choisir la solution qui vous convient, en croisant les critères de confidentialité et de prix...ce sera de toute façon moins cher que l’hébergement classique.
    Coup de publicité ? Si on n’avait pas fait de publicité pour le premier ordinateur, l’humanité s’en serait bien passé...
    Comme je l’explique néanmoins, le Cloud arrive à point nommé pour faire face à un surcroit de demande informatique, en période de pénurie financière.



  • Pierre de La Coste Pierre de La Coste 5 décembre 2009 12:08

    Très joli. On pourrait parler d’informatique nébulaire. Il est vrai que de très nombreux concepts ou termes informatiques n’existent pas ou plus en français : Open source, mail, spam, reload, no-reply, etc...D’autre part la bataille pour l’utilisation des accents dans les courriers électroniques n’est jamais complètement gagnée.
    Le français n’est déja plus une langue de publication scientifique, et cesse d’être une langue d’expression de la technologie.
    Vous me direz qu’il suffit d’un peu de volonté ou d’imagination, pour utiliser les mots correspondants. Ca n’est pas toujours efficace pour se faire comprendre. Hélas !



  • Pierre de La Coste Pierre de La Coste 3 décembre 2009 12:46

    Bonjour DDa coudre, pour cette reflexion en profondeur, sur l’indeterminé dans le concept de Dieu. J’aimerai bien savoir pourquoi ton article n’est pas passé...
    La citation d’Einstein est très belle et montre ce sur quoi nous pouvons parler, et ce qui reste hors d’atteinte.
    Je ne prétend rien prouver sur Dieu, contrairement à certains commentaires qui suivent, mais simplement, tirer des conséquences politiques de certaines options religieuses qui ont abouti à des impasses tragiques, à l’intérieur de l’Histoire d el’Occident. Ton article prouve que l’on peut avoir une reflexion libre sur Agoravox, à l’écart des invectives et des illuminations.
    J’imagine que tu es un grand lecteur de Teilhard de Chardin. Il est le plus proche de la Vérité, selon moi. Je parle de l’époque moderne. Avec Simone Weil (la philosophe)
    Désolé, je ne t’ai pas répondu tout de suite, parceque ces derniers jours ma vie professionelle m’a entrainé très loin de Saint-Augustin...

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