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Pierre93

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  • Pierre93 25 août 2009 00:11

    RUE89Un enfant israélien reçoit le coeur d’Ahmed, tué par un soldat de Tsahal

    Par Sanâa H | En voyage | 24/08/2009 | 11H22

    Ce ne sont ni des publicités, ni même des restes de campagnes électorale, comme il peut y en avoir en France. Dans le camp de Jénine, les photos de martyrs s’affichent ostensiblement sur les murs.

    La grande majorité des gens vivant ici ont perdu un ou plusieurs membres de leur famille. Tout le monde a en mémoire le massacre survenu en 2002, tout le monde se souvient de « l’opération Rempart » : en représailles après l’attentat-suicide de Netanya, qui avait tué 29 personnes, l’armée israélienne avait fait une incursion dans le camp de Jénine, connu pour sa forte résistance à l’occupant. Bilan : 58 morts, la plupart étaient des civils, et trois quartiers furent détruits.

    Je m’arrête devant l’image d’un petit garçon, un petit brun aux yeux brillants, il doit ne pas avoir plus de 12 ans. Juste en dessous, on peut lire : « Ahmed Khaldi, mort sous les balles des soldats israélien en 2005. »

    « Le corps de mon enfant servira de symbole de paix »

    « C’est un shahid martyr », me dit un jeune homme en passant devant moi. Sans même lui demander, il me propose de rencontrer le père de l’enfant. Celui-ci m’accueille avec un grand sourire, les mêmes yeux que son fils, le visage est serein. Je me demande comment on peut arriver à vivre après que la chair de sa chair ait pu disparaître de la sorte ?

    Ahmed est mort en 2005 à l’âge de 11 ans. Comme chaque jour, il sortait jouer avec ses potes dans les rues du camp. Il y a eu cette incursion israélienne, Ahmed portait une arme en plastique. Le soldat israélien a visé juste : trois balles sont venues se loger dans le corps de l’enfant, des balles fatales.

    Dans un hôpital, un enfant israélien attend une greffe du cœur. Un médecin demande au père d’Ahmed de faire don du cœur de son fils. Il accepte. « Le corps de mon enfant servira de symbole de paix et montre à quel point nous voulons la paix », dira le père de l’enfant décédé.

    Nous voici avec lui, quatre ans après le terrible drame, ses yeux paraissent fatigués, mais aucune « haine » qu’on puisse déceler dans son discours. Il boit son café lentement. Il y a un long silence, son regard se fixe : « Ce n’est pas un problème de personne ni de religion, c’est l’occupation qui nous empêche d’avoir une vie normale. »



  • Pierre93 24 août 2009 16:34

    Le plus curieux de ce racisme, c’est que selon l’historien Israélien Shlomo SAND les Palestiniens sont les descendants des Hébreux de l’antiquité. Les Colons sont d’origine Slave ou Bérbères convertis au Judaïsme vers le VIIIème siécle.

    "Je suis professeur d’histoire à l’université de Tel-Aviv depuis vingt-quatre ans, il me faut ajouter une correction : je ne suis pas l’auteur de l’hypothèse selon laquelle les Palestiniens seraient les descendants des Judéens de l’Antiquité ; la paternité en revient à David Ben Gourion, fondateur de l’Etat d’Israël, et à Isaac Ben Zvi, qui en fut le deuxième président. Cette thèse a été, ensuite, formulée à plusieurs reprises par d’autres qui ont observé que la population juive en Palestine fut convertie à l’islam au VIIe siècle.
    (...) Le sionisme, encore aujourd’hui, ne voit pas Israël comme une république au service de son « démos », c’est-à-dire de tous les citoyens israéliens qui y vivent mais comme l’Etat des juifs du monde entier. Une telle situation fait planer sur l’avenir d’Israël une interrogation peut-être plus grave, encore, que la conquête des territoires en 1967."



  • Pierre93 9 août 2009 09:48

    Comme l’article le décrit, il y a des masses d’argent disponibles dans le monde du fait des plans de relance gouvernementaux. Si en Occident la récession est évidente, la Chine offre encore un taux de croissance de 9%. Ces capitaux sont donc automatiquement attirés par cette performance.Il est évident qu’il se forme des bulles, et que des spéculateurs (et des pigeons) resteront sur le carreau tandis que d’autre se verront attribuer de méga bonus. Vu sous un autre angle, tandis que cette logique de casino permet à certains de se remplir rapidement les poches, dans le même temps nos industries disparaissent mais la Chine commence à fabriquer ses TGV, ses Airbus, etc... Il est évident qu’actuellement en occident le financier spéculatif domine le politique, mais cette hérésie prendra fin. Ce jour là la Chine dominera le monde, car elle joue le temps et construit patiemment son modèle. Il est tout à fait possible et même probable que les gigantesques réserves de dollars de la Chine se dévalorisent avec le fonctionnement à outrance de la planche à billet aux USA, il n’empêche que la Chine continue à développer son potentiel industriel, et que quand ce marasme financier se sera calmé, elle sera incontournable.



  • Pierre93 1er août 2009 21:00
    Une information sulfureuse de antiwar.com
    Ben Laden aurait continué de travailler pour la CIA après le 9/11

    By Brad Friedman on 7/31/2009 1:07PM 

    Edmonds expert fills in details from recent BRAD BLOG interview with noted, gagged FBI translator/whistleblower...

    During my recent interview with FBI translator-turned-whistleblower Sibel Edmonds on the Mike Malloy Show, a caller had asked her opinion on whether she believed 9/11 to have been « an inside job ».

    Edmonds replied by first specifying "As I have done for the past 7 or 8 years, I have basically stuck with what I know, first-hand, directly, my own knowledge, based on my own experience, based on what I obtained, which is not a lot, but it is extremely important."

    After explaining the difference between what she does and doesn’t know first hand, she went on to explain : "I have information about things that our government has lied to us about. I know. For example, to say that since the fall of the Soviet Union we ceased all of our intimate relationship with Bin Laden and the Taliban - those things can be proven as lies, very easily, based on the information they classified in my case, because we did carry very intimate relationship with these people, and it involves Central Asia, all the way up to September 11." ...

    Her complete response, pulled from the lengthy interview (full, commercial-free audio here) has been transcribed by Luke Ryland, perhaps the world’s foremost expert in all things Sibel Edmonds related.

    Today in a highly-recommended diary at dKos, Ryland filled in a good junk of details from Edmonds’ references, reporting that her comments are, in fact, a « bombshell »...

    Former FBI translator Sibel Edmonds dropped a bombshell on the Mike Malloy radio show, guest-hosted by Brad Friedman (audio, partial transcript).

    In the interview, Sibel says that the US maintained ’intimate relations’ with Bin Laden, and the Taliban, "all the way until that day of September 11."

    These ’intimate relations’ included using Bin Laden for ’operations’ in Central Asia, including Xinjiang, China. These ’operations’ involved using al Qaeda and the Taliban in the same manner "as we did during the Afghan and Soviet conflict," that is, fighting ’enemies’ via proxies.

    As Sibel has previously described, and as she reiterates in this latest interview, this process involved using Turkey (with assistance from ’actors from Pakistan, and Afghanistan and Saudi Arabia’) as a proxy, which in turn used Bin Laden and the Taliban and others as a proxy terrorist army.

    After filling in many of the details, with scores of informational links to support the allegations, Ryland summarizes thusly :

    The bombshell here is obviously that certain people in the US were using Bin Laden up to September 11, 2001.

    It is important to understand why : the US outsourced terror operations to al Qaeda and the Taliban for many years, promoting the Islamization of Central Asia in an attempt to personally profit off military sales as well as oil and gas concessions.

    The silence by the US government on these matters is deafening. So, too, is the blowback.

    Read his full diary here, along with the (currently) 445 comments in response to it.



  • Pierre93 22 juillet 2009 16:48

    Par Dmitri Kossyrev, RIA Novosti

    La dernière étape, la plus importante, de la tournée asiatique de la secrétaire d’Etat américaine Hillary Clinton - sa visite à Pékin - a confirmé toutes les prévisions : l’Amérique propose à la Chine un nouvel agenda, très fort.

    Le voyage d’une semaine de Mme Clinton en Asie (Tokyo-Jakarta-Séoul-Pékin) s’est avéré étonnamment stérile, dans sa totalité, sur le plan de la signature de documents. La secrétaire d’Etat a effectué son premier voyage à l’étranger dans l’unique but d’esquisser un nouvel agenda des rapports avec chaque pays.

    . "La Chine reconnaît notre interdépendance, a déclaré la secrétaire d’Etat. Clairement, nous allons nous en sortir ou tomber ensemble".

    L’économie mondiale a été profondément marquée, ces dernières années, par ce « pacte sino-américain », aux termes duquel la Chine pouvait se permettre d’inonder les Etats-Unis (et le monde entier) de ses produits bon marché grâce aux investissements effectués par des compagnies américaines dans les entreprises chinoises. C’est pourquoi les Américains ont vécu au-dessus de leurs moyens en achetant des produits américano-chinois bon marché et de bonne qualité. Dans le même temps, Pékin achetait des bons du Trésor américains. C’est ce système qui s’est écroulé. A présent, les Etats-Unis et la Chine doivent élaborer en commun de nouvelles règles du jeu financier, que les autres seront contraints d’accepter. C’est ainsi qu’il faut interpréter l’idée de « direction américano-chinoise du monde » mise en avant actuellement aux Etats-Unis.

    C’est, du reste, la raison pour laquelle les experts chinois ne sont guère enthousiasmés par les propos tenus par Mme Clinton, lorsqu’ils les commentent sobrement, à la lumière des dernières données du Fonds monétaire international. En 2003, le produit national brut des Etats-Unis représentait 32% du PNB mondial, alors que celui des « économies émergentes » - Chine, Inde, Russie, Brésil - et de deux ou trois autres pays n’en constituait que 25%. En 2008, les chiffres se sont inversés : 25% pour les Etats-Unis, 32% pour les Etats émergents. Le monde multipolaire est arrivé, mais la politique de George W. Bush n’a été qu’une tentative désespérée et effrénée de prévenir l’inévitable, souligne le journal chinois Jenmin Jibao.

    Mais il est évident depuis longtemps que les tentatives des Etats-Unis et de leurs alliés européens de monopoliser le droit de dicter leurs critères de la démocratie ou des droits de l’homme ont eu, comme toute chose, un début et une fin. Sur le plan moral, cette idéologie ne diffère en rien des idées de propagation de la « civilisation » ou du christianisme, au nom desquelles l’Europe a exterminé de par le monde des milliers et des milliers de personnes (voire des civilisations entières). Cela ressemble aussi à l’idéologie des conquêtes de Gengis Khan qui envoya aussi ses armées à l’ouest pour y faire régner la justice et les lois célestes (!).

    Outre cet aspect moral de la chose, il en est un autre. Une véritable industrie, qui coûte des milliards de dollars, lutte aux Etats-Unis pour les droits de l’homme à l’étranger, mêlant l’argent et l’enthousiasme, l’idéologie et le travail subversif ordinaire. Ses méthodes sont connues : miser sur l’opposition pro-américaine dans de nombreux pays, ou tout simplement la créer, la proclamer seule et unique combattante pour les droits et les libertés et l’aider ouvertement. Autrement dit, il s’agit d’entretenir le mécanisme de sape le plus puissant au monde, à l’instar du Komintern (l’Internationale communiste, ndlr.), qui créa des organisations communistes dans le monde entier entre les deux guerres mondiales. Mais en plus de l’hostilité générale envers les Etats-Unis que suscite cette machine, elle s’avère trop onéreuse et, bien entendu, inefficace, dans les conditions présentes. Si les Etats-Unis veulent rester assez forts pour « gouverner le monde en commun avec la Chine » ou, tout bonnement, survivre dans ce monde, quelqu’un devait dire tôt ou tard ce que dit aujourd’hui Hillary Clinton.

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