A part le prix des fruits, à mon avis il s’agit d’une suite de fausses promesses et une overdose de désillusions.
L’avenènement de l’an 2000 avait crée une forme d’espoir, un genre d’élan de bonne volonté panétaire, on avait annonce la fin de la faim dans le monde, c’etait l’Europe naissante aussi, dans la joie et la bonne humeur...
On a réalisé que l’intention ne fesait pas tout, on est allé de déceptions en déceptions.
La politique ? Minable de tous les cotés
L’économie ? L’europe, un deal entre politiques en manque de gouvernance et les multinationales trop genées par les spécificités
La paix ? Les minables attentats et les minables représailles, les génocides
La faim dans le monde ? Des émeutes de la faim
...
Non seulement rien a changé depuis le siècle dernier mais c’est la dynamique du siècle dernier qui se poursuit et évolue, on peut désormais ouvertment faire des choses inaccpetables pour le commun des mortels, le commun des mortels chipotte mais l’accepte.
Nous avons commencé à questionner nos propres ideaux, la fatigue a remplace l’energie
Si l’intéret acquiert une masse critique, il y a de fortes chances qu’il se crée une idéologie, c’est a dire une formalisation acceptable, qui soit supporte ou s’oppose, directement ou non, a l’intéret originel.
Viennent ensuite se greffer d’autres intérets satellites autour de l’idéologie.
Cependant je suis d’accord avec vous, c’est la compréhension du tissu d’intérets dans sa multi-dimensionalité qui permettent a l’homme d’avoir un point de vue objectif (donc efficace)
Car le méchanisme utilisé lorsque l’homme adhère à une idéologie... c’est la foi