Ce n’est pas directement lie a notre point de vue de l’occupation pendant la seconde guerre mondiale. Je pense que c’est plus lie a la place qu’a choisi tacitement la communaute Juive au lendemain de la guerre.
"mais les arguments de l’entreprise 2.0 sont redoutables et parviennent à convaincre les entreprises les plus résistantes"
Et pourtant le 2.0 n’a toujours pas reussi a me convaincre
Le premier probleme c’est la definition de l’Entreprise 2.0.
Il en existe plusieurs, chacune est trop vague et laisse une trop grande part a la suggestion
Un de ses postulats est que collaboration mene forcement vers une amelioration. Or ce n’est pas systematique
Le second probleme c’est la mise en application des voeux de l’Entreprise 2.0
L’entreprise 2.0 cela me semble n’etre qu’une demarche de bonne volonte, je n’ai pas reussi a trouver ni de methodologie d’application ni de technologies qui constituent l’entreprise 2.0
Suffit-il de creer une messagerie instantannee, des flux RSS et un wiki, les centraliser pour permettre une recherche transversale et en faciliter l’utilisation, pour etre 2.0 ?
"Dans les grandes structures (donc, >150), la mutualisation des connaissances (audit, rapports, analyses, recommandations, cas clients…) est un facteur concret d’amélioration de la productivité. Pourquoi travailler 3 jours à plein temps sur une étude qu’un autre aura déjà réalisée un mois plus tôt dans un autre département... ?"
Et pourtant j’ai connu des situations organisationnelles dramatiques lorsque une entreprise etait passe de 25 a 30 salaries, l’enterprise 2.0 n’est pas applicable aux petites structures ?
"Certaines entreprises découvrent avec surprise que la stratégie officielle engagée par le management (souvent à grands frais) n’a aucune résonance au sein des communautés, mais qu’à l’inverse des sujets auparavant méconnus soulèvent l’intérêt de centaines d’employés."
Aller dans le sens des etats d’ame des "communautes" d’employes ne permet pas a coup sur de prendre la bonne decision
"on imagine aisément qu’il est moins facile de quitter une entreprise au sein de laquelle on aura patiemment tissé des liens socio-professionnels (le terme prend un autre sens ici)"
Comment, le fait d’avoir la stucrure de ses collegues de travail sur un ecran, permet-il de limiter le turnover ? Meme question si l’on se decouvre des nouveaux collegues de travail par la (possible) amelioration de la communication apportee par l’entreprise 2.0
(De plus le turnover est tacitement admis sur LinkedIn du fait de l’existance de la rubrique "Parcours professionnel")
"L’une des caractéristiques des Social Softwares est de donner la possibilité de créer des communautés de métiers ainsi que des groupes de travail – ou ateliers – dédiés à des sujets spécifiques et rassemblant des experts."
Telle etait la principale motivation de Tim Berners-Lee losrqu’il creea le World Wide Web... en 1989 ! ou est la difference ?
Premierement, sur l’aspect "physisque" de l’internet
Internet c’est aussi un reseau fiable et economique pour relier les entreprises entre elles, et je pense que l’effondrement des sites proposant un service gratuit affichant de la pub n’affecterait pas la structure physique du reseau des reseaux.
Pour cette raison, l’internet physique ne serait pas detruit par une crise mondiale. Les multinationales et les universites supporteront le choc
En revanche il peut se produire une chose si l’infrastructure de l’internet devient insuffisante (par une augmentation de la demande ou diminution de l’offre, pour une raison ou pour une autre) Actuellement, les sites payent pour leur hebergement, les internautes payent pour leur acces. Les sites supportent la charge du volume : plus de pages vues signifie un cout plus eleve.
Donc on peut envisager plusieures consequences :
- Les internautes vont payer pour un certain volume mensuel
- Les internautes vont payer pour un "bouquet" de sites comme c’est actuellement le cas pour les telephones mobiles avec un risque de cloisonnement de l’internet
Ensuite sur le modele economique ce certains sites
Web 2.0 c’est du pipeau, c’est juste une autre perspective sur la meme chose qui a ete reprise par les "web entrepreneurs" pour justifier une (fausse) nouveaute et obtenir des deniers.
L’argument du Web 2.0 me semble deja, a lui seul, un bon preliminaire pour un fiasco. Mais attention, Web 2.0 n’a rien avoir avec site-gratuit-qui-vit-grace-a-la-pub. Agoravox, Youtube et beaucoup d’autres n’ont pas utilise l’argument Web 2.0 en tant que fondement de leur existance.
Une crise economique mondiale entrainnerait-elle une chute des recettes publicitaires sur Internet ?
Probablement, en reponse a la faiblaisse des revenus, les sites ayant du succes deviendraient payants, des solutions d’abonnement multi-sites verraient le jour. Les autres sites ayant moins de visiteurs (les sites specialistes, ceux qui servent a rien, et les sites pourris) seraient confrontes a la logique du prix, de l’offre et de la demande.
L’affaire Betancourt a surement ete utilisee par la presse, oui mais a ses propres fins : fournir du holywoodien avant le film du dimanche soir. Apres cela a ete repris politiquement car ca fesait de l’audience.
Vous confondez critique de la presse et critique d’une femme qui a agit en fonction de ses principes (auxquels on peut adherer ou non)
La France peut-elle et doit-elle développer de tels moyens à chaque fois qu’un ressortissant français joue les aventuriers aux quatre coins de la planète ? La question peut paraître choquante, mais elle mérite d’être posée.
La question est bete. Personellement, j’apprecie que des hommes et des femmes fonctionnent en fonction de leurs principes et de leur convictions. Et il faut une multitude de gens de convicions, la terre serait toujours plate si ce n’avait pas ete le cas.