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  • PIPO 8 décembre 2015 15:02

    @Hervé Hum
    D’accord sur le fond, pas sur la forme.
    je m’explique, en redéfinissant la notion de psychopathe on peut l’intégrer à tous les environnements et permettre cette transition consensuelle que nous désirons tous. Changer les termes ne ferais que retarder la compréhension du phénomène et nous exonérer de notre passé pour mieux recommencer.
    La guerre est une conséquence du rapport de domination que ces personnage ont avec le reste du monde, C’est la prise de conscience de tous (surtout d’eux-mêmes si c’est possible), des conséquences qu’ils produisent qui pourrait changer les choses.
    Si vous leur dites en temps de guerre votre comportement est normal, ils créeront la guerre perpétuelle.

    « La deuxième chose, c’est que la genèse du mal est toute entière contenu dans la volonté d’exploitation du temps de vie d’autrui »
    Je pense, comme je l’ai écrit plus haut à Philippe, que c’est le moyen de remplir leur vide intérieur.
    Un vide créer très tôt dans l’enfance par ceux qui auraient du le remplir d’amour.
    Il y a aussi la génétique qui parle d’un gène appelé « le gène du guerrier » qui s’activerait (à des fins de survie) en fonction d’un traumatisme dû à la guerre mais pourquoi pas aussi un traumatisme dû à une défaillance parentale. On peut constater les mêmes atrocités qui se produise dans ces pays continuellement en guerre et chez certain psychopathe traumatisé dans leur enfance.
    Le film « Human » de Yann Arthus-Bertrand nous montre un soldat qui nous explique qu’il prend plaisir à tuer, sans autre explication. Cet homme est un Psychopathe, point.
    Le manque d’amour engendre le manque d’amour, l’amour engendre l’amour.
    Je crois que c’est aussi simple que ça.



  • PIPO 8 décembre 2015 12:16

    @Hervé Hum bonjour,
    Je me permet de m’immiscer dans votre conversation avec Philippe parce que vous avez raison le terme psychopathes à une trop mauvaise connotation. Mais ce n’est pas le mot qu’il faut changer mais sa définition ou plutôt sa compréhension. Le psychopathe n’est pas le monstre que l’on essaye de nous présenter dans les médias.
    On peut changer ce mot par un autre, mais le constat reste juste, comme vous l’avez soulignez.



  • PIPO 8 décembre 2015 11:29

    @Philippe VERGNES
    Bonjour,
    cela revient à apprendre à parler une seconde langue, mais avec les mêmes mots que votre première langue, d’où la difficulté de l’apprendre. Les mots ont des sens différents, ça leur permet de vous tromper en toute bonne fois, on l’a vu les mensonges n’en sont pas vraiment, les paradoxes pas vraiment des paradoxes etc...
    Il faut faire comme les profileurs, tenter de se mettre dans leur tête, apprendre leur manière de penser et bien avoir à l’esprit que leur but est de vous contrôler. Si vous n’êtes plus dupe de leur langage, il essayeront l’intimidation (la peur) par la parole puis par l’action en s’immisçant dans votre intimité. Le tout pour créer chez vous une réaction émotionnelle qu’ils pourront utiliser.
    Ils envient chez les autres ces réactions émotionnelles qu’ils n’ont pas, et tentent de s’approprier vos émotions positives ou utilisent les négatives pour vous détruire si vous refusez de leur céder les premières. (vous reprocher votre comportement ou vous envoyer à la guerre).
    Je crois que le fond du problème, c’est leur vide émotionnel qu’ils cherchent inconsciemment à remplir d’une manière ou d’une autre. (Ils cherche inconsciemment l’amour qui est en vous).

    Pour revenir au cas germanique, je voulais connaitre votre position mais je n’ai pas trouvé d’adresse email sur votre site comme vous me l’aviez proposé. Je ne me suis pas permis d’insister. J’ose le faire ici.
    E. TODD parle de structure familiale Germanique souche, autoritaire et inégalitaire lié au rapport père-enfant et enfants entre eux, n’y aurait’ il pas là, la structure qui permettrait d’accepter plus facilement la tyrannie d’un pervers narcissique tel qu’ Hitler et sa vision d’une race supérieur. Ainsi que dans les différentes religions, ou toutes pensent être l’élu de leur dieu et chacun croyant naïvement faire parti de ces élus.
    Ils va falloir choisir entre, nous prendre pour dieu ou nous aimer les uns les autres.
    Je ne sais pas si dieu existe mais c’est le combat que mènent dieu et le diable dans la bible. Il ne faut pas s’attendre à ce que ce combat finisse mais choisir son camp. Peut-être sommes nous là pour l’apprendre. En tout cas, je le pense de plus en plus.. Il y a aussi pour moi, la mécanique quantique et la force de nos « intuitions » qui vont dans ce sens. Mais je m’égare.



  • PIPO 6 décembre 2015 16:02

    Bonjour Philippe et merci encore ( je ne le dirai jamais assez).

    je voulais insister sur la suite bien logique de leur système de pensée, qui lui même vient d’une erreur de jugement originelle : leur vision d’eux-même et des autres. Cette vision , ils l’ont acquise dès l’enfance.
    C’est une logique sans faille qui est en œuvre dans leur mode de fonctionnement.

    J’insiste sur ce point parce qu’il va dans le sens de votre conclusion.
    Comme il n’y a pas complot et mauvaise intension (consciente) de leur part, on tend le baton pour se faire battre, ils saisissent ce baton instantanément et retournent l’accusation contre leur détracteur.
    vous précisez un peu plus haut :
    « il est porté par une volonté qui se situe dans le prolongement direct de leurs motions inconscientes »

    et en conclusion :

    « nous sommes alors à même de comprendre que les véritables complots,... sont d’essence purement psychopathique et les dénigrer chez autrui fait intégralement partie des stratégies qu’ils utilisent pour faire croire aux masses que le pouvoir ne complote jamais et que les seuls « complotistes » qui existent sont ceux-là mêmes qui les dénoncent »

    Plus loin A. Lobaczewski : « une caste privilégiée peu nombreuse opprime et exploite les autres citoyens, les gardant ignorants et attardés ; tous ceux qui sont désireux de guérir le monde peuvent être pourchassés, et leur droit moral d’agir peut être mis en question. »

    C’est la vision réaliste que l’on devrait tous avoir,mais on sent là l’idée d’une mauvaise intention consciente de leur part, ce n’est pas le cas, au contraire, ils pensent nous protéger et nous aider à mieux penser (comme eux). Ils y a les « forts » et les faibles, il faut laisser les « forts » (eux) diriger. Ils nient leur vision pathologique de « l’autre ».
    Vous êtes contre eux, alors vous complotez contre eux et leur bonnes intentions.

    Trop d’articles (pas les vôtres), trop d’idéologies etc... vont dans le sens du complot, c’est leur fournir sur un plateau leur ultime défense.



  • PIPO 31 octobre 2015 14:17

    Bonjour Philippe, merci pour vos deux derniers articles.
    Les commentaires sous le précédent « lie to me (suite) » m’ont démoralisés, j’ai pensé à votre baisse d’optimisme (passagère ) et à la difficulté de faire prendre conscience de ces phénomènes pervers au différentes populations.

    Juste une remarque concernant cet article, le paranoïaque n’est’ il pas un pervers accompli ?
    Le pervers croit détenir le pouvoir sur les autres et ses difficultés à y parvenir par la résistance de certain, par le non sens de ses actes et les conséquences dramatiques le rendent forcement paranoïaque.
    Il a besoin aussi de tordus (je préfère à pervers) pour mettre en ouvre ses plans pervers. et pour ne pas entaché son image « d’homme exceptionnel ».
    Le point commun d’origine étant leur capacité à berner leur entourage et à la justifier par une pseudo supériorité tout en déniant leur manque d’empathie envers les autres.
    On a là un cercle vicieux et un effet « boule de neige » oû le manque d’empathie engendre une capacité à berner, qui elle même engendre une pseudo supériorité ou « moi grandiose », qui elle même engendre un manque d’empathie etc...
    Le plus « fou » c’est qu’il ne sont pas responsable de leur manque d’empathie et « leur apprendre c’est comme apprendre les couleurs à un daltonien » (j’avais bien aimé cette comparaison dans un de vos articles).
    Ils sont juste uniquement préoccupés par eux mêmes comme l’est (l’était) leur(s) parent(s).

    Le manque d’amour toujours et encore.

    Mais vous savez déjà tous ça, j’avais juste envie de le l’écrire.

    Merci encore.

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