@JL « je ne vois vraiment pas ce que cet article en lien et dont les auteurs semblent découvrir l’eau chaude » Vous avez déjà du mal avec la simple définition du mensonge et vous trouvez le moyen de critiquer un docteur en neurosciences sur une question qu’il est l’un des rare à étudier. Là je dis BRAVO
« Et il pencherait plutôt en ma faveur par le fait qu’il rejoint ce que je vous disais précédemment au sujet de l’intention des criminels. » voyez ma réponse précédente.
Maintenant vous avez du mal avec les définitions inconscient conscient. « nulle intention inconsciente de ma part »
Par définition si l’intention est inconsciente, vous ne la connaissez pas.
Vous ne m’en voudrez donc pas d’en rester à la définition du mensonge. C’est déjà assez difficile comme ça.
j’attends toujours une réponse à la question : pouvez vous nier « la connaissance de cause » ?
@JL « nulle intention inconsciente de ma part » comment faites vous pour le savoir ?
"Dans aucune enquêtes policières, le coupable n’est accusé sur le seul
fait que le crime lui profite (l’intention), mais sur les preuves que
l’on découvre au cours de l’enquête. La reconstitution précise des faits
permet de confondre le suspect en établissant non pas quelles étaient
ses intentions, mais ce qu’il a fait, ou pour ce qui nous concerne,
savait.«
L’intention définie si il y a crime ou homicide, l’auteur souvent tentera de dissimuler son intention, donc le meurtre. Reste donc à définir si l’auteur ment. Intention ou pas d’intention.
»De fait, ce n’est pas l’intention de tromper qui établit le mensonge, mais l’inverse.« Encore une de ces phrases dont seul vous avez le secret.
»C’est vous qui récidivez. Manifestement, vous vous enferrez." Vous n’avez toujours pas répondu. on peut nier avoir connaissance des causes ou pas ?
« Notons que cette définition n’en est pas une au sens strict, elles relève du dictionnaire des synonymes. La différence entre les deux tient au fait que la première sous entend que le locuteurs connait la vérité ; la vôtre implique que ce qui constitue le mensonge c’est davantage l’intention que la connaissance de cause dont elle ne dit rien. Autrement dit, votre définition permet aux menteurs de renverser la charge de la preuve ! »
vous récidivez deux fois : 1 vos menteurs aussi peuvent renverser la charge de la preuve « la première sous entend que le locuteurs connait la vérité », seulement « sous entend », il pourra toujours vous dire le contraire."
2 qui relève de faits objectifs du monde extérieurs ; par exemple : nul n’est censé ignorer la loi. Dans la plupart des cas, il est facile de savoir si la personne connaissait ou non la vérité.
Pas plus que de savoir s’il avait l’intention de tromper.
Vous êtes en train de nous prouver, qu’il peut y avoir intention de tromper sans connaissance de cause puisque vous ne voulez pas comprendre la définition du mensonge. En fait, votre besoin inconscient de disqualifier vous fait dire n’importe quoi mais votre conscient ne peut l’accepter et le reconnaitre, alors vous n’avez plus d’autre choix que mentir pour sauver votre moi grandiose. L’intention de départ est inconsciente mais fait bien partie de vous. Si vous preniez le temps de réfléchir un peu plus et un peu mieux, vous ne vous retrouveriez pas dans ces situations de déni manifeste.