« Il n’y a pas de croyance sans doute (car en l’absence de doutes, nous ne croyons pas, nous savons, ce qui est bien différent), par contre (sic) donc la certitude et le doute s’excluent, par définition. »
Vous n’êtes pas le premier à faire cette distinction sémantique qui fonde ici votre fausse démonstration disant tout et son contraire.
Il y a bien croyance sans doute, l’extrême de cette position est le fondamentalisme.
Et plus généralement il y a des gens qui vivent en parfait accord avec leurs traditions, sans qu’aucun « doute » permette à leur « croyance » d’exister.
Comment certitude et doute pourraient-ils s’exclure ? Nous n’aurions que des athées ou des fondamentalistes dès lors.
« C’est pour cela que je parlais de doute dogmatique, car il y a dans le doute moderne quelque chose de dogmatique et de systématique qui réfute la possibilité d’un accés (sic) à la vérité. »
C’est bien possible mais c’est très malaisé d’appliquer une réflexion spirituelle aux théories sur ce qui est arrivé le 11 septembre, car si vous n’aviez pas sauté la case « m’informer à plusieurs sources » vous n’y verriez pas une raison de craindre « la possibilité d’un accès à la vérité », il y a bel et bien une vérité historique et de moins en moins de personnes croient à la vérité officielle de Bush.
A mon sens, votre approche mathématique ne fournit pas de conclusions très probantes dans l’analyse, car dire :
« à un moment ou un autre pour mettre le réel en équation, il faut opérer une simplication (sic) et l’infini qui n’existe pas sur terre fait alors l’objet d’approximation, et devient parfois une constante »
C’est dire :
-Toute mise en équation du réel implique une simplification
-L’infini faisant alors objet d’approximations parce qu’il n’existe pas sur terre.
-L’infini devient parfois une constante ( ?)
C’est assez confus pour exprimer le fait que l’infini métaphysique n’est pas l’infini mathématique, et que l’infini n’est pas du tout la même chose qu’ « indéfini », ce que vous dites de la « constante » devient alors compréhensible.
J’aurai compris pour ma part que vous vouliez signifier que nos élites politiques interprètent la réalité socio-économique sur bases de règles qui excluent le facteur humain, dans sa diversité, comme élément de réflexion.
Ce que vous dites de la prédiction des valeurs boursières est intéressant, mais les lois mathématiques de la finance sont une chose, les délits d’initiés et manœuvres qui vont contre l’intérêt commun en sont une autre, ce qui est sûr c’est que comme vous dites au terme du crash il ne restera que la force active pour payer les pots cassés.