Vous voulez dire : une dictature soft ?
J’ai lu quelque part que 1% des Français avait été en garde à vue depuis l’arrivée de Sarkozy !
La course aux résultats chiffrés est en train de déraper totalement.
C’est un autre aspect de la dictature, pardon de l’anesthésie...
Il ne peut-être procédé comme au Chili en 1973 ou comme en Russie en 1992-1993 notamment (j’y étais). Mais compte-tenu de ce que représente la France dans le monde dit démocratique, et plus encore, son passé, on doit commencer à s’interroger sérieusement..
Et c’est un euphémisme.
"Il" a bien eu une vague allusion à un NOM, lui aussi ?
Il en est de même avec l’argent prêté aux banques.
Outre qu’elles déclarent ne pas en avoir besoin (Voir les travaux de l’A. Nationale. Silence des journaleux. Désolé, je ne peux écrire autre chose...), les prêts sont accordés par une société adhoc dont l’État a 36%. Les 64 autres % appartiennent aux banques.
Les gains à se partager (intérêts encaissés par la société - intérêts à payer aux prêteurs du marché (les mêmes qui ont reçu les cadeaux fiscaux il y a peu ?...), soit moins que ce que Sarkozy annonce, seront partagés au prorata des particpitions dans la société adhoc. Dans ce cas, le droit basique du commerce s’applique, contrairement aux non renflouement, par les actionnaires, des sociétés bancaires...
Ainsi, l’État ne percevra que 36% de la différence des intérêts alors que c’est sa signature qui permet 100% de l’emprûnt des rentiers du monde libéral.
Voila, en somme, la définition du Libéralisme : c’est toujours celui de l’autre...
Et bonjour à Rosa Luxembourg !
A propos des prêts au banque, il y a un autre point pas clair du tout :
L’État à 36 % des parts dans la société adhoc créée avec les banques (les voleurs en clair. Seulement incompétents ? Eh bien alors qu’ils sautent les patrons !).
Ainsi, lorsque, dans le meilleur des cas, le partage de la marge entre les intérêts à reverser pour l’argent emprunté sur le marché (à ceux à qui il a fait cadeaux de 15 milliards par ailleurs...) et les intérêts à récupérer pour les aides avancés sera effectué au prorata des parts dans la société. C’est un principe élémentaire du droit des affaires ! (Sauf qu’il n’a pas été appliqué aux sociétés banquaires dont les actionnaires n’ont pas été sollicités pour les renflouer... contrairement à ce que j’ai du faire lorsque j’ai eu plusieurs impayés dans la mienne (de société) et que mon banquier m’a accordé un temps extrèmement court pour sauver ma boite...).
Mais on ne parle pas du même monde, je vous l’accorde...
Ainsi donc, celui percevra le plus celui qui n’aura pas constitué une garantie pour l’emprunteur et donc pris tous les risques !!!
Voila, mine de rien, une définition du Libéralisme qui en vaut bien d’autres, et surtout, basée sur des faits irréfragables...
Autrement plus grave. Faut quand même pas exagéré !
Sans compter que Mitterand, je vous le laisse sans problème : un socialiste ça ?!
Contrairement au fait que, quand un type me dit qu’il est de droite, je le crois sur parole, lorsqu’un autre me dit qu’il est de gauche, je paie pour voir.
Dès 1982, le PS de Mitterand avait commencé à baisser son pantalon devant le mur de l’argent...
Le plus important des ministres qui aurait du sauter est son Sécrétaire au Trésor (Ministres des Finances).
Et il ne sautera pas alors que lui est reproché la même chose.
Seulement, il a un poste plus important et Obama estime qu’il ne peut pas (plus) se permettre de le virer.
Donc, au total, celui qui a reçu plus d’argent des banques que Mc Cain...