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R.L.

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  • R.L. 10 février 2009 16:53

    Ce dépérissement de l’État est la conséquence logique de la libéralisation toujours plus grande et sauvage (pléonasme) de la société.
    Conséquence mais tout autant, et plus encore, le but recherché !

    "les lois et réglementations liées à la protection physique des citoyens..."
    Ces lois ne visent pas d’abord à protéger la santé de l’individu, mais à d’abord sanctionner, à se montrer coercicif.
    Tout comme les mises en garde à vue abusives et même dignes d’une dictature et qui a touché 1% de la population française depuis l’arrivée de qui vous savez à l’Élysée. La politique du chiffre n’est que l’outil pour des objectifs qui ne disent pas leur nom...

    Ce n’est pas pour rien que plus d’une loi sur deux, toujours depuis l’arrivée de qui vous savez (source Le Monde entre autres), n’est pas applicable par défaut de décret d’application le plus souvent...
    Bien au dela de l’irresponsabilité et de l’incompétence des décideurs, c’est l’effet escompté sur les esprits qui leur importent...

    Comme le fait remarquer Naomi Klein dans "La stratégie du choc", le gouvernement américain est devenu une coquille vide : l’État n’a plus le personnel, les ressources techniques et matérielles, le savoir-faire... pour exécuter ce qu’il a décidé au nom des lobbies finanicers et industriels (certains représentés d’ailleurs directement dans le gouvernement (!) : Cheney, Rumsfeld...).
    La deuxième armée du monde en Irak est constituée de l’ensemble des mercenaires des différentes sociétés privées anglo-saxonnes, loin devant les Anglais.
    Toute la logistique, au sens large, a été confiée à des entreprises privées.

    Les droits régaliens de battre monnaie, d’avoir une armée, et bientôt de percevoir l’impôt, disparaissent de facto, sans que que la majorité des gens réalisent.

    Le NOM est bien en marche, rassurez-vous !



  • R.L. 9 février 2009 19:50

    Il ne faut que les riches aillent ailleurs...
    car l’argent va a l’argent, c’est comme cela, on n’y peut rien ..

    Vous vous rendez compte de ce que vous dites ?!
    Vous apportez de l’eau aux thèses de ceux qui dénoncent le pouvoir de l’argent justement ; de ceux qui disent que la démocratie est totalement incompatible avec d’importantes disparités de revenus : la presse et les médias sont possédés par les riches ; les grands groupes industriels, les instituts de sondages... ; les pots de vin... verrouillent l’ensemble...
    Et, en dernier ressort, menace de délocaliser, de licencier...

    Rappelez-vous 1982, entre autres...



  • R.L. 9 février 2009 19:43

    "David Pujadas affirme que pour lui il n’y a pas eu ou des "contacts quasi inexistants" avec l’Elysée avant l’émission donc liberté semble t -il des journalistes pour mener l’émission comme ils le souhaitaien".

    Donc, circonstances TRÈS aggravantes !!!

    Mais, vu le degré zéro de compétence et d’indépendance réelle, ça ne change pas grand chose...



  • R.L. 9 février 2009 19:15

    J’aurai posé la question suivante au PDR :

    Monsieur le Président, vous avez été élu sur un programme à une époque qui ne faisait pas mention -et c’est aussi un point cardinal incrompréhensible- de la crise (qui avait pourtant commencé à montrer ses dents) dont les conséquences, très graves, sont à venir...

    Dans ces conditions, ne peut-on pas s’interroger sur la légitimité de votre mandat, sur vos nombreux virages idéologiques et pratiques -tout en le niant naturellement-, puisque vos idées sont les mêmes que celles qui sont à la base de la crise systémique en devenir ?

    M. le Président, vous n’avez pas été élu pour faire affronter une crise sans précédent qui s’annonce. Ne devriez-vous pas, en grand démocrate que vous êtes, démissionner et vous présenter à nouveau, avec un programme... adapté aux circonstances ?



  • R.L. 7 février 2009 16:53

    Sarkozy fait partie des politicards qui ont tout dit et leur contraire...
    C’est combien de point aux élections l’audiovisuel ? A lui seul, il fait basculer les résultats puisque les chiffres tournent le plus souvent entre 50 et 53-54 %...
    En ajoutant la presse écrite mono-bloc, le charcutage des circonscriptions (la "mienne" est un modèle du genre), on comprend pourquoi tant de petits salariés votent pour la droite...

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