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R.L.

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  • R.L. 19 février 2008 14:27

    Bonjour,

    L’Europe réelle, celle de Bruxelles, autocratique, non élue, très orientée idéologiquement... ne veut pas que les Européens puissent communiquer.
    Ne vient-on pas d’en avoir un enième aperçu monstrueux avec le traité non simplifié ?!

    Vous imaginez : si les Français avaient appris que les Grecs étaient en grève nationale totale (cas il y a quelque jours) ? Qu’en même temps, en Belgique et au Luxembourg, les remous sociaux étaient importants ? Que pendant la grève des transports en France, une autre, plus dure et GAGNANTE, avait eu lieu en Allemagne (transport ferroviaire) ?...

    Vous imaginez si les Européens pouvaient discuter entre eux, sans passer par Bruxelles et les autres nombreux parasites nationaux qui en vivent ? Nos politiques, nos journaleux ne parlent de l’Europe qu’aux moments des élections ou lorsqu’ils sont critiqués dans leur pays : "C’est la faute à Bruxelles !".

    Non, la liberté des flux financiers (spéculateurs -et donc nuisibles à l’économie- ou carrément criminels), des marchandises... OUI.
    La liberté de communiquer : NON !

    Il n’y a que les non connaisseurs de l’Esperanto qui la critique.

    Outre les avantages propédeutiques (maintes fois démontrés), - au passage, il n’est pas question qu’elle remplace les langues nationales... contrairement à l’anglais...- il est intéressant qu’elle apporterait beaucoup plus de précision et d’efficactié (rapidité : point cardinal) ainsi que de grosses économle comme langue pivot.

    Il fautdrait beaucoup moins d’argent pour tester et prouver cela, que tout ce qui a déjà été versé pour acheter les Européens en matière de langue nationale...

    Mais les Anglais (avec un pied en dehors de l’U. E.), avec derrière, les USA, d’un côté, et l’Allemagne qui cherche à refaire une grande Allemagne (certes "démocratique") avec toutes minorités germanophones des pays voisins (http://www.diploweb.com/forum/hillard2.htm par exemple), n’ont pas l’intention de laisser faire.

    Pourtant, la monté de la Chine sur les plans économiques et politiques (et donc militaires, scientifiques...), va fortement favoriser l’accélération de la main mise de l’anglais sur toutes les autres langues européennes face au chinois mandarin.

    Comme à l’habitude, nons énarques et autres irresponsables ne voient rien venir et s’en foutent : "Après moi le déluge".

    R.L.



  • R.L. 18 février 2008 10:39

    Je résume mais ne déforme pas :

    Finalement, lorsque les experts, s’ils tombent d’accord, auront tranché, le tableau verra son prix dans une fourchette de 1 à 100 (ou plus), uniquement parce qu’il aura été ou non réalisé par un célèbre artiste.
    Peut importe l’oeuvre en elle-même.

    On a là un exemple d’école illustrant la différence entre l’amour de l’art pour l’art et l’"amour" de l’art pour sa valeur marchande.

    Finalement, l’esthétique, l’émotion, l’expression du tableau passe largement au second plan (dans le meilleur des cas) : selon l’auteur, il sera "(très) bon" ou "beaucoup moins intéressant".

    Phénomène qui s’est accéléré, amplifié, au fur et mesure de la monté de l’idéologie libérale, financière du monde.



  • R.L. 13 février 2008 15:01

    Ai-je parlé de diffamation ?!

    Ai-je parlé d’atteinte à la liberté ?

    Lorsque je parle de censure, j’entends bien sûr celle du rédacteur en chef et, plus encore, du propriétaire, puisque les journaux, par exemple, sont la propriété de quelque uns, tous riches, du même bord politique et donc avec le mêmes intérêts de classe...

    Ce que mon commentaire disait en filigrane, c’est qu’avant de définir le journaliste, définissons la presse, ses tenants et aboutissants...



  • R.L. 13 février 2008 14:05

    Un bon journalise est d’abord quelqu’un qui peut écrire sans risque d’être censuré et, aujourd’hui, beaucoup plus grave en "qualité" et en "quantité", qui ne s’auto-censure pas, dans l’écrit mais aussi dans la réflexion, qui va aux sources, qui fait de la vraie investigation, qui sait de quoi il parle... et ne roule pour personne et pour aucun intérêt privé, qui ne baratine pas autour d’une dépêche de l’A.F.P., et qui sait rester modeste et ne fréquente pas trop les "élites" coupées de la réalité et trop bien rémunérées....

    Y -a-t-il encore un journaliste dans la salle ?



  • R.L. 13 février 2008 13:47

    Ouf ! Je n’ai pas polytechnique...

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