Marre des sophistes hypocrites qui nous font dire ce qu’on a pas dit !
Marre de nous faire passer pour des anti-européens !
En toute logique, vous voulez en fait faire re-voter jusqu’à ce que la majorité des votes soit comme vous le désirez.
Un seule question à laquelle je vous demande de répondre :
Etes-vous d’accord pour qu’on revote l’élection de la présidence de la République dans 18 mois pour voir si on est toujours d’accord avec le règne du psychopathe inculte et adolescent attardé ?
Idem pour le traité dit simplifié (vous êtes les rois de la novlangue) : dans 2 ans, à nouveau au tour du Peuple de confirmer ou non le torchon que vous n’avez lu, car pas pu ?
En fait, c’est une dictature à l’Occidentale-libérale : faire voter jusqu’à ce que les votes aillent dans le sens que l’on veut ! Et il y a des ressources pour celà (media aux ordres (pire qui s’auto-censure sans plus sans rendre compte... pour certains), l’argent des possédants, l’avidé des élus et "influenceurs" !
Essayons d’être objectif avec ce qu’on sait de façon sûre :
- Le procureur a dépassé les bornes : était-il sous l’emprise d’un quelconque stupéfiant pour s’être comporté comme on l’a vu aux infos. Son objectivité ne peut qu’être mis en doute.
Y’a d’ailleurs intérêt que tout ce qu’il a déclaré soit vrai car une forte sanction (et forcément bien plus qu’une garde à vue de 24 heures...) ne pourra alors qu’être appliqué à ce magistrat suffisant et pédant.
- Une garde à vue de 24 h est -compte-tenu de ce qu’on sait pour l’instant- disproportionné et constitue donc une autre faute du procureur. Entre les béquilles à casser une jambe ou les règles en fer lancées à travers la classe par un de mes instituteurs, autrefois, et la gifle après s’être fît traîter de connard, il y a plusieurs marges que certains ne connaissent pas...
- Il ne faut pas avoir enseigné pour méconnaître le niveau d’incivilité, d’incorrection, de menaces -parfois à peine déguisés- de beaucoup de jeunes en classe. N’importe qui peut s’emporter au bout de la enième fois qu’on est insulté.
Et ce n’est pas la direction et encore moins les autorités du Rectorat qui vous soutiendrons : elles sont au ordre de ceux qui possèdent le pouvoir et qui ont amené la société là où elle est aujourd’hui et dont l’école n’est qu’une des manifestations de son état.
R.L.
P.S. : pour anticiper déjà, la violence est encore beaucoup plus forte aux US.A. où le modèle socio-économiqe est encore plus "partisan" qu’ici... pour l’instant. Ce n’est pas un hasard.
Pour l’essentiel, aujourd’hu, l’apport de la Bourse à l’économie "réelle" (pour me moquer de Lagarde qui le mérite bien...) est plus qu’inexistant : il est négatif.
Dans les périodes les plus négatives, il fait plus de chômeurs, plus de malheurs et enrichît des salauds et met sur un piédestal l’irrationnel.
On est beaucoup plus près du Casino qu’autre chose, n’en déplaise à ses partisans, forcément non objectifs....
Vous devriez savoir que les enseignants qui enseignent l’économie et qui ont une expérience de l’entreprise sont pas si rare et que s’ils expliquaient par exemple la création ex-nihilo par des entreprises privées (les banques), ils pourraient alors citer des non-révolutionnaires comme T. Jefferson, B. Franklin, A. Lincoln, H. Ford... qui eux savaient de quoi ils parlaient lorsqu’ils considéraient les banquiers comme les plus grands bandits qui soit...
Imaginez votre réaction si un enseignant citait Ricardo par exemple :
« Dans le cas de la création monétaire l’avantage serait toujours pour ceux qui émettraient la monnaie de crédit ; et comme le gouvernement représente la nation, la nation aurait épargné l’impôt, si elle, et non la banque, avait fait elle-même l’émission de cette monnaie... Le public aurait un intérêt direct à ce que ce fût l’État, et non une compagnie de marchands ou de banquiers, qui fit cette émission ».
Principes d’économie politique
Ce n’était pourtant pas un anti-libéral, vous en conviendrez ! - ;)
Ni Mackenzie King, chef libéral et premier ministre – Élections de 1935 au Canada :
« Dès qu’une nation a cessé de contrôler elle-même sa monnaie et son crédit, il importe peu qui fait ses lois. L’usure une fois au contrôle ruinera n’importe quel pays. Tant que le contrôle de l’argent et du crédit n’aura pas été restitué au gouvernement et reconnu comme sa responsabilité la plus évidente et la plus sacrée, il est vain de parler de démocratie et de souveraineté du parlement. »
(Article de Louis Even, paru dans Vers Demain du 1er mars 1958.
« L’argent ne consiste qu’en chiffres gravés sur du métal, imprimés sur du papier ou inscrits dans des grands-livres de banque. » Pourquoi alors laisser un peuple en crise sous un contrôle vicié de ces chiffres ? »
Dans Industry and Humanity, publié en 1918, un an avant d’être élu à la tête du parti libéral
Durant la campagne :
« Le parti libéral croit que le crédit est une affaire publique, qui n’intéresse pas exclusivement les banquiers, mais qui concerne directement le citoyen ordinaire. Le parti libéral se prononce pour l’établissement immédiat d’une banque nationale bien constituée pour le contrôle de l’émission de la monnaie en termes du besoin public. La circulation monétaire doit être en rapport avec les besoins domestiques, sociaux et industriels du peuple canadien. »
À Saskatoon, il déclare fièrement :
« Si mon parti reprend le pouvoir, nous ferons valoir notre politique monétaire dans la plus grande bataille entre les puissances financières et le peuple dont le Canada ait jamais été témoin. »
Les enseignants -dont je ne fais plus partie, et je n’enseignais pas l’économie- peuvent venir de l’entreprise, peuvent y avoir un pied (sur 2) dans les formations professionnelles... et sont plutôt sagement conservateurs...
Pour ce qui est de l’ANPE, vous ne devez pas l’avoir beaucoup fréquenté si on se fit à la photo que vous aves mis...
Parce qu’autrement, moi qui les connaît malheureusement... je jeterai la pierre à leur chef, aux commenditaires de l’ANPE et des ASSEDIC : les stages bidons, l’absence d’annonces décentes et parfois bidons, les ressources ridicules mises à la dispostion des employés, les pressions exercées sur eux pour rayer un maximum d’inscrits, l’abscence de formations sérieuses pour les mêmes.
Largement relayée par la volonté à peine voilé d’un MEDEF qui devrait d’abord faire la démonstration de ses compétences et honnêteté, pour ne se limiter qu’au scandale du syndicat de la métalurgie et de l’organisation des visites médicales du travail : scandale encore plus grand que le premier nommé et totalement étouffé en moins de 24 heures dans les médias complices...