Ce n’est donc pas une évidence pour vous que les 80 premiers étages d’un immeuble opposent une résistance, qui soutient les étages situés au-dessus, que ce soit avant ou après l’impact ?
Si on commence à parler d’évidences, il me semble évident que la version officielle est incapable de donner une explication crédible sur l’absence totale de résistance de 80 étages d’acier et de béton, situés sous l’impact.
Ce qui revient à dire que l’expertise (la démonstration) par simulation informatique proposée par Charles Bwele, pour étayer la version d’un « camp », n’a pas plus de valeur qu’une autre expertise qui donnerait des conclusions totalement différentes, pour étayer la version d’un autre « camp ». Compte tenu que « tout peut être dit... et son contraire », « qu’il reste tant d’éléments inconnus et de facteurs entrant en ligne de compte que toute affirmation est quasiment impossible »...
Les peuples qui se laissent contrôler par une caste de prédateurs dégénérés ne devraient pas être étonnés quand cette caste joue avec leurs vies.
Ce n’est pas nouveau et tant que le gibier se laisse faire ils pousseront les expériences criminelles toujours plus loin. D’autant que le gibier est toujours plus nombreux...
Gibier, il est temps de stopper le règne du chasseur, sinon...
Si les pauvres, les travailleuses et travailleurs précaires, les exclu(e)s de tous bords, se regroupaient sans distinction de sexe, au lieu de s’isoler et de se tirer dans les pattes comme la société de consommation absurde les pousse à le faire, on pourrait envisager une société solidaire et beaucoup moins conflictuelle. Les exploiteurs sont une minorité qui ne tient que grâce à la passivité des exploités envers leurs bourreaux et la propension des exploités à se laisser désunir (et à se battre entre eux).
Ces tendances (passivité face à l’exploiteur, désunion, querelles stériles) étant bien entendu entretenues par ceux qui tiennent les rênes de la société marchande. Eux savent s’unir mondialement et ne font pas de différence entre une marchandise humaine féminine ou masculine.
La mondialisation marchandisée n’a pas de sexe.
Elle exploite la majorité passive et divisée sans distinction.
A la majorité de se réunir pour bâtir un autre monde, où le féminin et le masculin s’associeraient naturellement dans une démarche solidaire, raisonnable, pacifiée, où humanité ne rimerait plus avec insanité...