@Buzzcocks Bonjour. Vous aurez mal lu. Il ne s’agit pas ici de parler de Poutine mais de M. Macron. Et vous, où peut-on vous lire ? Prenez le temps de vous mettre devant une feuille de papier, avec de quoi écrire et réfléchissez à ce que vous pourriez dire, comment le dire tout en articulant un schéma de pensée. Vous verrez : l’exercice est prenant mais intéressant. Ecrivez quelque chose ( un billet pro-Macron, par exemple. Le sujet est encore d’actualité, mais dépêchez vous quand même. Tout va si vite, n’est-ce pas ?) et je me ferais un plaisir de vous lire. Comiquement vôtre. RB
Bonsoir et merci pour votre commentaire. L. Ferré, juste pour la chanson qui servait de titre. Le bonhomme était ce qu’il était.Mais comme vous le savez De mortuis, aut bonis, aut nihil. Les morts, on en dit du bien ou on n’en parle pas. Bastiat, passionnant. Cordialement, RB
@Géronimo howakhan Cher Géronimo, bonsoir ou bonjour !
Merci pour votre visite comme pour votre réflexion et le rappel de cette superbe citation de La Boétie.
On ne s’en lasse pas.
Je l’ai apprise par cœur voici bien longtemps et l’ai toujours en mémoire.
D’autres que nous la connaissent aussi ou auront sans doute la curiosité de pousser plus avant et de lire ce fameux Discours de la servitude volontaire.
Pour le reste et les hiéroglyphes de nos fins dernières, pour citer le titre d’un charmant roman de Muriel Cerf, comment sera la fin ? Quelle forme va-t-elle prendre ? Genre gaza, West Bank, Libye, Syrie, Vietnam, Algérie., Ukraine, etc.
Je dirais, hé bien, tout cela à la fois. Nous vivons dans un monde de possibles.
Le choix ne manque pas et personne ne se pose la question en voyant un personnage aussi dangereux que M. Macron qui devrait travailler à une œuvre de paix plutôt qu’à une œuvre de guerre et qui agit sans que personne ne vienne contrecarrer ses actes quand il est en train d’embarquer la France dans un conflit inepte, personne ne se demande s’il n’y a pas autre chose de plus positif que l’aphorisme suivant : « Mieux vaut une fin terrifiante qu’une terreur sans fin ».
Mais pour moi, ce ne sera ni l’un ni l’autre.
Le possible est à portée de main.
Il nous faut travailler à contrer tous ces semeurs de morts, ces véritables « necromongers » que l’on voit à l’œuvre dans cet excellent film de Science Fiction intitulé Riddick et qui détruisent tout.