Pour démanteler il faut des « mécanos »... Pas des ferrailleurs, les bons mécanos, ils n’en reste pas beaucoup et les « bons » refusent ce genre de job... S’il y a autant accidents c’est aussi parce que ceux qui sont là, sont là pour faire du fric... Je connais des ferrailleurs qui sont succeptible de bosser dans le nucléaire. Quand je parle de ferrailleur, je parle de quelqu’un qui a une connaissance de la mécanique proche du zéro. Les écolos devraient se reconvertir dans la mécanique, mais le cambouis et la saleté en rebuterais plus un ; j’ai été un des premier écolo ; je ne le dis plus parce que des zozos « illuminés » ont pris le devant sur le mouvement écologiste. Ils ne ne représentent plus la défense de la biodiversité ni les droits humains élémentaires comme celui de se chauffer ou de se nourrir à un moindre coût. Les écolos ont étés détournés par les lobby de toutes sortes pour être leurs idiots utiles. En plein maximum solaire le soleil s’est payé le luxe de rester sans tâches, de plus en plus de gens pense qu’un minimum de Maunder est sur le point de survenir et les écolos râlent parce que les énergies fossiles ne sont pas assez taxées... Si les prévisions se confirment, ce sera des milliers de gens dans l’hémisphère nord qui vont encore mourir des conséquences du froid cet hiver.
Je suis content de voir que les consciences se réveilles enfin, même si c’est au bord du gouffre. Depuis de longues années nous sommes de plus en plus nombreux à dénoncer le monde Orwellien dans lequel on vit, une minorité mène le monde a sa perte.
J’aimerais laisser un texte d’une chanson, « l’Europe », un album paru le 11 septembre 2001, le jour où ils nous ont testés, le jour de leur victoire... Où peut être le jour de leur défaite ? Je ne pense pas, quand ils perdent la main ils change la réalité en créant le chaos, ce n’est qu’une répétition de ce qui s’est passé pendant le siècle passé. Il ne laisserons jamais le pouvoir, quitte à tuer tout le monde, ils sont prêt.
Les sang liés sont lâchés...
La vérole sur vos gueules
Je répète :
la vérole sur vos gueules.
Les soupirs de la sainte et les cris de la fée
ne sont plus entendus au banquet des banquiers.
Une fois.
La marmite de l’ermite est remplie de rubis.
Je répète :
la marmite de l’ermite est remplie de rubis.
La vieille Europe est la maquerelle des ballets roses.
Deux fois.
Quand les sirènes se taisent, les rapaces gueulent.
Le rouge et le noir des tortures sont les fleurs du mal.
Je répète :
le rouge et le noir des tortures sont les fleurs du mal.
Le jour de l’Occident est la nuit de l’Orient.
Deux fois.
Le jour de l’Occident est la nuit de l’Orient.
Je ne suis pas chauvine mais la France est quand même la reine des fromages.
Tryphon Tournesol est un zouave.
Six fois.
Le sang versé est la tasse de thé des géants de la foire.
Deux fois.
Il pleut des cordes sur la Concorde.
Il pleut des cordes sur la Concorde.
Les petites filles modèles sont les élues de l’Europe.
Je répète :
les petites filles modèles sont les élues de l’Europe.
Merde à la sûreté.
Deux fois.
La folie des grandeurs tue les merles moqueurs.
Je répète :
la folie des grandeurs tue les merles moqueurs.
Si vous ne trouvez plus rien cherchez autre chose.
Paix en Suisse.
Je répète :
paix en Suisse.
Les noces de sang incendient l’horizon.
Deux fois.
Le rimel de l’Europe coule sur les plastrons.
Deux fois.
La vie commence maintenant, et maintenant, et maintenant.
L’Europe est une petite déesse mortelle.
Deux fois.
L’enfance de l’art est un lever de soleil.
Je répète :
l’enfance de l’art est un lever de soleil.
Je ne ferais pas de commentaire sur mes liens, le adorateurs du dieu unique ne cliquerons pas. Le blasphème est une limite, qui se nomme savoir. Je n’espère rien, je ne craint rien, je suis libre.
Jan. 8, 2013 :"In the galactic scheme of things, the Sun is a remarkably constant star.
While some stars exhibit dramatic pulsations, wildly yo-yoing in size
and brightness, and sometimes even exploding, the luminosity of our own
sun varies a measly 0.1% over the course of the 11-year solar cycle.«
»Indeed, the sun could be on the threshold of a mini-Maunder event right now. Ongoing Solar Cycle 24 is the weakest in more than 50 years. Moreover, there is (controversial) evidence of a long-term weakening trend in the magnetic field strength of sunspots.
Matt Penn and William Livingston of the National Solar Observatory
predict that by the time Solar Cycle 25 arrives, magnetic fields on the
sun will be so weak that few if any sunspots will be formed. Independent lines of research involving helioseismology and surface polar fields tend to support their conclusion. (Note : Penn and Livingston were not participants at the NRC workshop.)"
nemotyrannus, le lien que tu fournis est bourré d’inepties ? Les couches d’eau chaude cela n’existe pas sous la banquise, tu sauras que les eaux denses qui se crées sous la banquise sont le moteur des courants océaniques mondiaux, et à travers eux c’est le principal moteur de la régulation climatique. Ce processus a été étudié depuis de nombreuses années et ton papier ne peut pas remettre en question un principe physique simple...
L’importance de l’océan Austral, son rôle dans
la circulation océanique globale et donc dans la régulation du climat
sont maintenant bien démontrés. L’océan possède une immense inertie
thermique, c’est-à-dire la capacité à accumuler puis à distribuer la
chaleur sur le globe tout entier, en partie grâce à ce que les
scientifiques appellent la circulation thermohaline qui brasse
l’ensemble des bassins océaniques.
Les différences de températures et donc de densités -l’eau froide est
plus dense que l’eau chaude- et/ou de salinités -l’eau salée est plus
dense que l’eau douce- entre les différentes couches de l’océan, entrent
en jeu dans leurs mouvements.
Lorsque l’eau de mer arrive dans les zones
polaires, l’eau douce qu’elle contient gèle et s’agglomère en cristaux
de glace (ce qui conduit à la formation de la banquise), rejette son
sel, et augmente ainsi la salinité de l’eau restée liquide.
Devenue froide et salée, cette eau restante devient plus dense que l’eau
qui l’entoure et plonge dans les profondeurs des océans, sous les eaux
de surface, induisant des courants marins. Cette eau ressort à d’autres
latitudes et dans des régions qui peuvent être très éloignées, parfois
aux antipodes. Ce processus génère des flux de chaleur et d’éléments
chimiques, des transferts d’eau douce, des échanges de masses d’eau.
Toute anomalie de débit ou de température pourrait affecter la
circulation océanique à cet endroit. Avec la fonte des glaces par
exemple, la salinité de l’eau de mer risque de diminuer dans les régions
fraîches, ralentissant alors la plongée des eaux froides.
Les inlandsis groenlandais et antarctique représentent 80% des
ressources mondiales en eau douce. En gelant et en dégelant, les océans
polaires contribuent aux grands courants océaniques qui contrôlent
l’ensemble du climat mondial ; ils contribuent aussi au cycle du carbone
dans les océans et donc à la chaîne alimentaire.
Comme son nom l’indique, il existe deux moteurs à l’origine de cette circulation :
des différences de température : l’eau de mer est d’autant plus dense que sa température se rapproche de 4 degrés°C. ;
des différences de salinité (concentration de l’eau en sels) : une eau plus concentrée en sel qu’une autre est plus dense.
Une eau froide de forte salinité sera ainsi nécessairement plus dense
qu’une eau comparativement plus chaude et moins concentrée en sels.
Dans les régions polaires (océan Arctique et mer de Weddell
notamment), l’eau de mer se transforme en glace. Lors de la
solidification, les sels sont rejetés car la glace ne les intègre pas
dans sa structure : l’eau liquide s’enrichit en sels réfractaires et
voit sa densité augmenter, ce qui amorce une plongée vers les fonds
marins et, à terme, une convection de large échelle.
Ce sont les courants marins produits par les différences de densité entre les masses d’eau océanique. Dans l’Atlantique nord, les courants (Gulf Stream,
dérive Nord-Atlantique, courant de Norvège) serpentent en contournant
les centres de haute et basse pression océaniques, et transportent de
l’équateur vers l’Arctique des eaux chaudes et très salées. Lors de ces mouvements, se produit un échange d’énergie et de chaleur avec l’atmosphère. En arrivant dans les parties plus au nord, ces courants se refroidissent et la densité augmente. Pour finir leur course vers le sud et se répandre dans tout l’océan,
et ainsi regagner la surface et arriver à leur point de départ afin de
repartir à nouveau. Un tour complet prend environ mille ans. C’est le
« tapis roulant », son rôle est déterminant dans la création du climat.
La circulation thermohaline augmente la force des courants de surface et
donc le transport de chaleur
vers le nord par le Gulf Stream. La quantité de chaleur transmise par
l’océan à l’atmosphère augmente aussi, assurant ainsi aux pays de l’Europe de l’Ouest, des hivers doux et humides1.