SilentArrow

La plupart des Afghans sont mahométans. Qu’ils ne viennent pas se plaindre s’ils doivent vivre sous la loi islamique. Ça leur apprendra.

Je ne plains pas non plus les femmes afghanes mahométanes. Après tout, ce sont elles qui éduquent leurs gamins dans leur mentalité d’un autre âge. C’est à elles de se libérer de cette sinistre religion, pas à personne d’autre de le faire pour elles.

Je plains les non mahométans qui habitent l’Afghanistan, hindous, sikhs, chrétiens. Ceux-là méritent le statut de réfugiés. Il faut pourtant s’attendre à ce que les gouvernements européens accordent le statut de réfugiés en majorité à des mahométans : ils n’en n’ont jamais assez de ces préhistoriques.

Je plains surtout la France et les autres pays européens qui se laissent submerger par une masse islamique et qui vivent déjà en partie sous la charia : peine de mort pour ceux qui caricaturent leur baphomet. Si ça continue, dans quelques années, c’est en France que les Talibans prendront le pouvoir.

@Pierre Régnier

Si toutes les richesses de la terre étaient partagées équitablement entre tous ses habitants, il n’y aurait plus que des pauvres.

Le problème n’est pas seulement un problème de partage, comme vous le remarques très justement, mais de meilleure organisation de la production pour que tous ceux qui sont capables de produire puissent le faire au lieu de se retrouver au chômage ou de perdre leur temps sur Tik Tok. C’est la seule façon de produire assez de richesses pour sortir tout le monde de la pauvreté.

Mais en produisant plus, on finira par buter sur les limites en ressources de la planète.

@Mélusine ou la Robe de Saphir.

Puisque vous aimez les nombres voici quelques relations entre π et certains nombres entiers.

1 Une relation entre π et tous les entiers impairs :
π = 4(1 — 1/3 + 1/5 — 1/7 + 1/9 ...)
 
2 Une relation entre π et tous les entiers :
π²/6 = 1 + 1/2² + 1/3² + 1/4² ...
 
3 Une relation entre π et tous les nombres premiers :
π²/6 = [1/(1 — 1/2²)]x[1/(1 — 1/3²)]x[1/(1 — 1/5²)]x[1/(1 — 1/7²)]...
 
La première relation se démontre en intégrant 1 / (1 + x²) entre 0 et 1, et en faisant de même avec le développement en puissances de x de cet intégrant.

La seconde relation est une heureuse retombée du calcul de la série de Fourier d’un signal en dents de scie et de l’application de l’égalité de Parseval.

La troisième s’obtient à partir de la seconde en remplaçant la somme infinie par un produit infini grâce à la formule qu’Euler a démontrée dans une travail de 1737 intitulé « Variae observationes circa series infinitas ».

@Gollum & Decouz

C’est un nombre qui apparait exact dans la géométrie, mais pas dans le calcul

J’ai du mal avec cette phrase car pour moi il n’y a pas de nombres en géométrie mais des figures : droites, cercles, etc...

Le nombre π ou le nombre d’or sont des constantes mathématiques, pas des constantes physiques. Les constantes mathématiques, on les calcule ; les constantes physiques, on les mesure avec une précision limitée par nos instruments de mesure.

On ne peut pas mesurer π pour la simple raison qu’il n’y a pas de cercles dans la nature. Nos dessins ou nos objets ronds ne sont que des approximations d’un concept abstrait qui n’existe que dans notre tête.

Les constantes mathématiques sont par contre calculables avec une précision arbitraire. π a en fait été calculé avec des milliards de décimales exactes.

@Claude Courty

Il suffit d’instaurer un véritable revenu universel.

Un revenu universel en échange de quoi ?