@Christophe ils ne recherchent absolument pas la paix
Les négociations pour mettre fin à la guerre du Vietnam se déroulaient à Paris.
Les négociations pour stopper la guerre en Ukraine auront lieu à Istamboul, Jakarta ou ailleurs, certainement pas à Paris.
Ce déclassement de la France, résultat d’un alignement inconditionnel imposé par l’intégration aux structures de l’UE et de l’OTAN, entraine tout le reste : l’effondrement par la dette, l’éclatement du territoire et de l’unité de la nation par l’immigration, l’effondrement de l’école.
L’oligarchie et la gauche, étrangement complices, sont les forces qui ont produit ce triste résultat. Un peuple vieillissant n’a pas eu la force de réagir.
Ils contrôlent ce
barrage qui ne peut être détruit par bombardement mais seulement par explosion
interne.
Ces affirmations péremptoires sont
assez pénibles, révélant un mécanisme destructeur de l’esprit critique.
Suffit qu’un ou deux généraux un
peu limités répètent sur les antennes qu’il est impossible de détruire quelques
mètres de la partie haute d’un barrage avec des missiles pour que ça devienne
une évidence pour pas mal de monde. Et on répète, et on répète.
L’évidence est qu’il est
parfaitement possible de produire les dégâts que l’on peut constater dans la
partie haute du barrage avec des missiles. J’ignore qui l’a fait, mais je sais
qu’on peut le faire.
elle vient (la Russie) de se
donner durablement les moyens d’empêcher une contre-offensive radi
Quand
radio OTAN s’emmêle les crayons et désigne implicitement l’Ukraine comme
coupable.
Que
faire pour différer voire enterrer la fameuse contre-offensive sans risquer de voir faiblir le
soutien massif de l’OTAN ? Divertir les médias occidentaux pendant un petit mois en
faisant péter un barrage. Un mini Tchernobyl.
D’ici
un mois, les ukros auront trouvé encore un truc pour nous distraire et exciter notre russophobie et notre ardeur au combat (en chambre). Sont plus
astucieux que les moskals et que radio OTAN.