je vous ai « plussé » car l’article est intérressant, agréable à lire et se permet de remettre en cause le diktat de la pensée sur le réchauffement climatique.
D’accord avec vous aussi pour dire que le système de taxe carbone est une vaste plaisanterie ; et surtout une belle pompe à fric.
Cependant il me semble que vous oubliez un élément important quand vous abordez le thème des émissions de carbone : le pic pétrolier et la déplétion qui l’accompagne, aux effets catastrophiques pour les économies des sociétés occidentales.
Je l’ai vu chez Pujadas hier soir : je sais pas si c’est génétique, ou alors c’est le népotisme qui transpire, mais il me fait au moins aussi froid dans le dos que Marine Le Pen !
dommage que vous consacriez une partie importante de l’article aux critiques émises dans le texte « l’inserruction qui vient ».
Je m’intérresse aussi au concept de décroissance et j’aurais apprécié que vous développiez plus sur le thème sociétal, moral mais aussi économique car le principal reproche que l’on fait à ce concept c’est son côté utopique.
Pour le reste, je suis -j’imagine- d’accord avec vous : pour moi, la décroissance -économique en tout cas- va s’imposer à nous du fait de la déplétion pétrolière qui a déjà commencé. Le déclin de cette « richesse » ne peut qu’entrainer celui d’une économie qui lui doit tant : dans ces conditions, il serait bon que la décroissance revête le caractère sociétal et moral que vous avez défendu.
« une femme est capable de se déplacer........aller dans des parties ou l’incendie s’est éteint faute de combustible »
Si je suis bien votre analyse, la femme est revenue au point d’impact car la vie y était de nouveau possible du fait de l’extinction de l’incendie à cet endroit : je ne suis pas un spécialiste de l’acier mais je reste perplexe.
Voici la zone la plus endommagée par l’impact de l’avion ; celle aussi où la chaleur a sans doute été la plus intense car c’est là que la plupart du kérozene a brûlé et pourtant, pas d’effondrement. Les flammes ne lèchent plus la zone et alors que le feu s’est déplacé et s’est transormé en « simple » incendie de bureaux et de papiers aux étages supérieurs, la femme revient faire des signes ...mais alors pourquoi les poutres décident elles de fléchir dans cette zone quelques dizaines de minutes plus tard ?
Elles portaient la tour depuis 30 ans, après le choc et pendant l’incendie elles assuraient toujours leur rôle et pourtant passé le « gros de l’orage » elles se dérobent donc ......
Rien à faire je reste dans le doute... vos arguments n’en sont pas et se retourneraient rapidement contre vous . En matière de raccourcis et de chateaux de carte par contre, vous semblez en connaitre un rayon. Quand à mettre une note à cet article, vous l’avez également suggéré dans votre titre.