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T.B.

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  • T.B. T.B. 3 novembre 2006 16:49

    « Seul est libre qui use de sa liberté. La force de la communauté se mesure au bien-être du plus faible de ses membres. » MAGNIFIQUE !!! (Je ne la connaissais pas et la prend pour devise).

    Pierrot, mêmes remarques que pour Michel.

    Si les Suisses se mettent à nous expliquer le fonctionnement de la démocratie semi-directe, alors là, alors là, nos « politiques » français ont du souci à se faire et les moutons français représentés vont enfin - peut-être - commencer à se réveiller !!!



  • T.B. T.B. 3 novembre 2006 16:31

    Michel je suis super super content de ton commentaire en direct de la Suisse. J’avais complètement oublié que le net traversait les frontières ! (je suis bien français, trop replié sur nous-même !)

    Grand merci pour ta définition, bien nuancée. Très très élairante ... Les français sont tellement habitués à la dém représentative qu’ils s’imaginent que nos politiques font, à leur place, de la politique !!! Je suis français, j’ai compris, depuis longtemps, la nuance. Donc je ne désespère pas. Cela finira bien par leur venir à l’esprit.



  • T.B. T.B. 3 novembre 2006 16:07

    Bien envoyé ! Si avec tous ces commentaires ils ne comprennent pas, c’est qu’ils ne veulent pas comprendre ! Ou alors nous avons beaucoup d’agent EDF qui pianotent sur le net.

    Comment se fait-il, Rage, que tu recueilles beaucoup plus d’avis favorables que moi ? smiley On dit pourtant la même chose ? Bon, c’est vrai que toi tu t’énerves pas (malgrè ton pseudo). Ca doit jouer. Ou alors mon grand ami Voltaire a 20 adresses IP a sa disposition smiley



  • T.B. T.B. 3 novembre 2006 15:42

    Dans le Minervois, ce n’est pas du vent mais de la colère qui souffle sur les éoliennes. Evidemment !!! Il s’agit de la société « Energie du Midi », une sous-filiale d’EDF qui impose sa loi, comme d‘habitude. Avec des mastodontes de 80 mètres de haut .

    Moi, ce n’est pas cette politique énergétique là dont je rêve, reliée au réseau et sans concertation citoyenne.

    Je préconise ce qui existe déjà et dont EDF ne parle pas. Ce sont des éoliennes, de plus en plus performantes (voir Allemagne, Danemark, Espagne principalement), pouvant être couplées de jour avec du solaire, pour rendre les consommateurs totalement indépendants, et pour UN MOINDRE COÛT, y compris en matière de locomotion par des batteries chargées d‘énergies éoliennes et solaires : ni nucléaire, ni gaz, ni pétrole, ni charbon. Des petites unités pour consommation personnelle ou communautaire (à l’échelle d’une petite commune ou de plusieurs habitations) : de 600kw à 2 MW pour les plus importantes. Qu’est-ce qui bloque ? L’ignorance de la quasi-totalité des français sur ces sujets à cause de la rétention d’information, et correctement chiffrée, par EDF qui détient , de fait, le monopole de l’information. Quant à sa privation prochaine, vous pouvez vous mettre le doigt dans l’œil : il y aura, simplement oligopole avec deux ou trois autres grands groupes européens.

    Si on ne fait rien, c’est vous et moi qui allons payer une addition bien salée. Pas les 300 000 électriciens et gaziers français du groupe EDF, qui, une fois de plus, échapperont à toutes contrainte financière et de productivité.



  • T.B. T.B. 3 novembre 2006 14:55

    Petits pépins anodins ?

    Parmi les plus récents.

    Tokaimura : Japon, 1999. Niveau 4 de l’échelle INES. Cet accident est survenu le 30 septembre à 120 km au nord-est de Tōkyō, non loin de Naka-machi. L’introduction dans la cuve de décantation, suite à une erreur humaine de manipulation, d’une quantité anormalement élevée d’uranium (16 kg) dépassant très largement la valeur de sécurité (2,3 kg), est à l’origine de la réaction de criticité. Cet accident a exposé plus de 600 riverains à des radiations importantes et tué deux des ouvriers de la centrale.

    Centrale nucléaire de Saint-Laurent (Loir-et-Cher), 1980. Niveau 4 de l’échelle INES. Un accident conduit à la fusion de deux éléments combustibles du réacteur n°2 d’une puissance de 515 MW, appartenant à la filière uranium naturel graphite gaz, abandonnée depuis 1994. La plaque métallique de maintien des capteurs de pression du réacteur vient, à la suite de phénomènes de corrosion, obstruer une douzaine de canaux du bloc de graphite, ce qui empêche le bon refroidissement du cœur et provoque la fusion de deux éléments combustibles. Gravement endommagé, le réacteur est indisponible pendant deux ans et demi environ. C’est l’accident nucléaire le plus grave jamais répertorié pour un réacteur en France.

    En France, en 2005, pour 58 réacteurs, plusieurs centaines d’événements de niveau 0 ont été déclarés, une centaine d’événements de niveau 1 et un de niveau 2 (Source : rapport annuel 2005 de l’ASN).

    Evénement marquant récent : 2006 Suède, le 26 juillet, niveau 2 de l’échelle INES : défaillance d’un système de secours de la centrale de Forsmark ; par précaution, deux réacteurs de la centrale d’Oskarshamn sont fermés. En 23 minutes, les équipes ont réussi à allumer deux des quatre générateurs de secours. Lars-Olov Höglund,, un des constructeurs du réacteur n°1 de Forsmark, indique qu’il s’agit d’un événement grave : « C’est un pur hasard si la fusion du cœur n’a pas eu lieu » L’organisme de contrôle nucléaire états-unien, la NRC, estime que 50 % des scénarios menant à la fusion du cœur ont une seule et même cause : la coupure de courant du réacteur.

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