J’ai noté que dans l’usage de ces centrales, vous avez pris soin de ne pas aborder la question de l’enrichissement à des fins militaires.
En corollaire de ce réchauffement global,de la plnète,se pose aussi de plus en plus la question du réchauffement,voir même de la surchauffe du cerveau des dirigeants de quelques pays désireux d’entrer dans le club des nations « intouchables » .
« Faire intervenir un organe de régulation, mais comment faire alors pour qu’il ne se transforme pas en censure ? »
Posé en ces termes, c’est biaiser la recherche d’une
véritable solution.Il existe pour les profésssions libérales des ordres (ordre des medecins, des dentistes, des avocats, des vétérinaires, des pharmaciens etc.) chargés de réglementer au plan déontologique, l’exercice de ces proféssions.
Sans préjuger de l’action judiciaire,en cas de manquements graves par un des membres, une enquète interne est diligentée et des mesures sont prises à titre conservatoire et éventuellement des sanctions pouvant aller jusqu’à la radiation, et la constitution de partie civile.Pour les journalistes, je ne suis pas certain qu’il en va ainsi.En précisant ma pensée puisque cet interlocuteur m’en donne l’occasion , je dirai qu’il serait souhaitable que figure dans cet organisme paritaire de contrôle a mettre en place, des journalistes, des juristes, mais aussi que soit représentée la diversité ethnique et conféssionnelle de notre pays. L’information gagnerait certainement très sensiblement en objectivité sur certains sujets.
Les dérapages et autres manquements seraient sanctionnés d’abord par la mise à pied des individus, et suivraient les pénalités financières au journaliste et au journal ou( la station radio, ou la chaine).
Sidans ce domaine comme dans d’autres il existe une telle disparité de prix et de taxation, la faute n’incombe-t-elle pas aussi à la commission Europèenne qui si je ne m’abuse a dans ses attributions,l’harmonisation du marché ?
Par ailleurs nous sommes un pays très égocentrique dans lequel de puissantes et crédibles organisation de consommateurs,à l’instar des Etats-Unis de la Suisse et de la GB, ont su mal a exister.De telles structures comme ailleurs auraient sans doute les moyens de peser sur le marché, et d’infléchir, ou du moins modérer la légendaire voracité de notre système fiscal.
Commencez par comparer ce qui se compare. Je n’ai pour l’instant lu dans aucun des posts de ce fil, des propos allant dans le sens de : « ...vouloir rétablir une censure politico-morale. » comme vous le prétendez.
Par contre je pense, comme probablement une très grande majorité de gens, que ce contre-pouvoir que se veulent être les médias, devraient être controlés DE-ON-TO-LO-GI-QUE-MENT parlant.
Dans nombre d’articles et d’ouvrages, que j’ai pu lire, ou d’émissions télé que j’ai pu voir sur le sujet,les journalistes eux-mêmes semblent favorables à cette idée .Elle a pourtant du mal a se concrétiser. Pourquoi ? Serait-ce la liberté d’interprétation autorisée par -je cite l’auteur- :
« la charte : des devoirs professionnels des journalistes français du juillet 1918, révisée en janvier 1938, » ou encore..."
« la Déclaration des devoirs et des droits des journalistes, signée à Munich en 1971, » qui expliquent ces manquements graves ?
Un fait est certain c’est la nécéssité d’un changement qui ne peut passer que par un contrôle externe, puisque la régulation ne peut se faire au sein du système médiatique .
C’est toute la question de ce contre-pouvoir que repréente la Presse de nos jours, que vous soulevez.Chaque jours nous apporte sont lot d’affaires méttant en lumière le térrifiant pouvoir de ce contre pouvoir lui même sans véritable contre-pouvoir.
Des cas similaires au votre sont sans doute légion, et le ce n’est certes pas sur la presse qu’il faille compter pour les révéler.
Autre histoire qu’il m’a été donné de vérifier, est l’affaire concernant la mort de ce gendarme tué lors d’un controle routier à StMartin (Guadeloupe)il y a plusieurs mois. L’enquète de gendarmeie ayant clairement démontré depuis que contrairement aux allégations de la presse en métropole à l’époque, aucun propos raciste (anti-blanc) n’avait été proféré par les quelques rares témoins présents sur place(4) au moment des faits, bien au contraire !
Ne souhaitant pas que soit faite de mon texte, une « troll » interprétation, je n’en dirai pas plus sur cette affaire qu’il m’a été donné de suivre tout particulièrement.
Il devient souhaitable et URGENT, qu’une véritable haute autorité paritaire de surveillance et de controle de ce formidable contre-pouvoir soit mise en place, à l’exemple de l’audivisuel.Haute autorité qui devrait comprendre des juristes et des journalistes . La lamentable Affaire Outreau n’a pas fait selon moi que pointer les térribles insuffisances et les dysfonctionnement de la Justice, mais aussi des Médias.