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Théo Garleac

Théo Garleac

Chercheur-Inventeur du secteur privé avec plus de 15 inventions à mon actif et passionné d’Entrepreneuriat Innovant avec des participations dans des entreprises de technologie innovante, je suis diplômé de l’Ecole Centrale de Nantes et Docteur de l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts & Métiers de Paris.
Ma détermination est de faire prendre conscience de l’impérieuse nécessité de valoriser les esprits inventifs. Dans une industrie en panne d’idées qui a besoin d’air face à la mondialisation des marchés, il devient plus que jamais crucial de mettre tous les potentiels créatifs au coeur des processus d’innovation en rupture et non de les sacrifier sur l’autel de leurs résultats sous prétexte qu’ils font obstacles aux idées fixes.
De la reconnaissance de leur valeur comme une source de création de richesses intarissables dépendra le sursaut salutaire de notre nouvelle économie dite de la connaissance.
 

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  • Premier article le 12/11/2007
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  • Théo Garleac Théo Garleac 30 octobre 2007 08:37

    L’analyse est pertinente, mais elle ne met pas assez en relief la mutation positive de l’économie pour le bien-être de tous. Il faut comprendre que l’expulsion du potentiel au profit du virtuel n’est pas un risque mais une chance inespérée pour les esprits créatifs.

    Les vols touristiques spatiaux comme la prise en compte de l’environnement en passant par les biotechnologies ou les technologies de l’information, sont autant de promesses d’un monde meilleur et nous sommes tout simplement en train d’ouvrir les univers de marché aux rêves. Effectivement, un certain nombre d’entreprises ont su emboîter le pas de ces mutations sans contrainte parce qu’elles ont su anticiper leur futur pour donner une réalité au notre.

    C’est comme si nous matérialisons dans l’instant les idées d’un Leonard de Vinci ou d’un Jules Verne grâce aux potentialités de la technologie moderne.

    Le potentiel n’a pas disparu, il a été transféré dans les moyens technologiques et dans la combinaison infinie des sciences pour donner naissance à de nombreuses idées nouvelles.

    Sans la technologie GPS et des satellites, le pont de Millau n’aurait jamais pu se construire ou la Palm Jumheira à Dubaï n’aurait pas pu s’imaginer et sortir de terre en si peu de temps. Les projets les plus fous sont donc à notre portée, tout au moins pour ceux qui veulent oser et satisfaire de nouvelles attentes !

    Toutefois, considérer que l’économie du potentiel se transforme peut à peut en économie du virtuel ne doit pas faire oublier qu’au bout de la chaîne de valeur, il y a le client.

    La bulle internet a éclaté et toutes les autres éclateront de la même manière si l’on fait abstraction d’une contre vérité simple qu’un besoin du marché sans demande satisferait toutes les offres.

    Je crois que la notion de « virtuel » qui relègue progressivement celle du « potentiel » au rang d’antiquité des théories économiques du XXème siècle (et notamment celle de Schumpeter) amène une approche beaucoup plus transversale de l’activité économique et des sciences.

    De nouveaux champs d’actions apparaissent pour l’économie de la connaissance qui ne sont plus enfermés dans des visions rétrogrades et un formidable terrain d’expression de la créativité sans limite a éclos dans lequel l’imaginaire des consommateurs devient roi.

    Balayé ces notions restrictives de « coeur de métier » ou de « concentration sur un marché cible » dans les stratégies du potentiel. Avènement des notions infinies de « portefeuille de fonctions » ou de « fertilisation croisée » dans les stratégies du virtuel.

    Alors, nous n’avons au contraire rien à craindre de cette nouvelle économie de l’immatériel qui place le génie créatif au centre des processus d’innovation de rupture. Nous voilà enfin entré dans un XXIème siècle tambour battant pour donner un sens à toutes les idées créatives qui engendreront les richesses nouvelles du futur.



  • Théo Garleac Théo Garleac 28 octobre 2007 23:11

    Depuis des décennies, les gouvernements se succèdent sans que rien ne bouge. On s’étonne d’observer les ravages d’une économie en perte de vitesse qui n’innovent pas assez vite au regard des stratégies de délocalisation éclaire devenues nécessaires par la force des choses.

    La presse ne cessent d’évoquer ce fléau pour notre croissance économique. Mais, après les 30 glorieuses, qu’est devenue notre capacité à innover ? Que reste-t-il de cette notion d’Entreprendre qui crée davantage de richesses nouvelles au lieu de partager celles qui s’épuisent ?

    Dans le discours de Nicolas Sarkozy devant l’Université du MEDEF, il a une force d’intention politique évidente et des voeux sincères de changement pour l’avenir qui ne demandent qu’à être exaucés.

    Et bien, oui, j’ai la faiblesse de croire que les choses vont changer parce que la politique va enfin avoir le courage de donner aux créateurs-inventeurs de richesses le pouvoir d’être des acteurs de ce changement tant attendu.

    Je crois qu’il est grand temps que s’opère cette révolution des mentalités. Il faut donner de l’air aux chevaux de la création innovante avant que ne se grippe irrémédiablement l’écheveau d’une économie en panne d’idées qui a « besoin d’air » !

    Les chefs d’entreprises doivent comprendre tout l’intérêt de valoriser les inventions et pour cela il faut les y aider en démontrant l’importance capitale de faire évoluer à la fois leur vision d’un temps revolu et leur perception néfaste du droit des inventeurs salariés.

    Inventeurs, l’heure est venue d’exprimer vos talents.

    « La croissance, il faut la chercher en nous même, il faut la fabriquer avec nos talents et notre imagination » a dit Nicolas Sarkozy.

    Il ne reste donc plus qu’à transposer cette volonté dans les faits avec la reconnaissance de la valeur des produits innovants et de ceux qui les inventent.


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