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http://www.solidariteetprogres.org/Lettre-ouverte-aux-militants-et-aux-responsables-socialistes-sur-le_07832
densité de flux d’énergie par habitant, malthusianisme, bourrage de crânes, pourquoi ne pas accepter d’être conscient de ces notions ?
Alors, et alors seulement, une perspective différente peut prendre naissance.
Et si vous n’êtes pas d’accord, alors en considérant les, et en répondant aux questions soulevées, vous aurez avancé et fait avancer.
extrait :
" Les oligarchies ont toujours voulu bloquer les découvertes de la science
et leur communication au plus grand nombre, par peur de voir se lever
contre elles une exigence de justice, de liberté, d’égalité et de
fraternité «
Si votre réaction s’arrête à »Ça aussi, c’est du bourrage de crâne« vous passerez à côté de l’occasion de vérifier à quel point ce principe s’est appliqué maintes et maintes fois au cours de l’histoire.
Inclure ce principe dans sa cervelle, c’est accepter de revisiter l’histoire telle qu’elle ne nous a jamais été enseignée dans nos chers programmes scolaires.
C’est accepter de jeter un doute sur la bienveillance présumée de ces organisations génitrices des mouvements écologistes. Je parle essentiellement du WWF, l’organisation du gentil petit panda crée dans les années 60 par les malthusiens nazillons Prince Philipp, Bernhard, J. Huxley, cofondateurs d’un certain groupe Biderberg, ceux là même qui veulent nous imposer un fascime financier mondialisé où la rareté des ressources est une aubaine pour eux.
Ce sont ceux là qui empêchent la réalisation de tel ou tel projet au nom de la défense de telle ou telle race d’oiseaux en disparition.
Et derrière, on gobe, on court ... » Ah ! Quelle belle cause ! «
Qui peut croire une seconde que défendre les oiseaux, c’est cela qui les intéresse ?
Demandez vous pourquoi ces organisations, aux relations fraternelles et incestueuses avec le monde de la finance, pourquoi soutiennent-elles la lutte contre le nucléaire. (et le développement en général)
Nucléaire-profit-sécurité : il faut accepter d’enlever un membre à cette équation pour rajouter
» égal avenir "
cet article fait le constat de bien des aberrations causées
par le capitalisme
Mais s’agit-il bien du capitalisme en soi, que du capitalisme ?
(rassurez-vous : pour moi, hors de
question de le défendre ! lol)
ou de quelque chose d’autre, qui serait une cause supérieure ???
Pecora a mis l’accent sur l’ineptie d’un système MONETARISTE
(opposé à un système de CREDIT, cad un système, du presque jamais vu en 3000
ans - ! -, qui orienterait enfin le pognon, plus exactement la CREATION du
pognon, vers et par le développement des peuples )
L’argent ne serait plus une dette étouffant l’avenir, (système actuel)
Et nous condamnant à des logiques de profits ( faut bien rembourser ! ) dans un monde ne créant de richesse que de nature monétaire, non physique ;
Mais l’argent devient au contraire
un crédit dédié à améliorer l’avenir (créé à cet effet), acceptant d’échapper à cette nécessité de profit immédiat en terme monétaire, (et toujours pour une minorité, finalement).
En effet, le profit réside ici non en un enrichissement des multinationales et autres prédateurs financiers mais dans un accroissement global du niveau de vie, du « bien être », lequel passe alors inévitablement par le respect de l’écologie (enfin, allez-vous dire !!), bref le profit réside ici, à tout niveau, dans un potentiel accru de l’ensemble, donc de chacun.
si on décide de mesurer, allez on appellera ça un
« indice de bien être », d’une société à un moment donné, que
prendra-t-on pour mesurer ça et comparer une société, une nation, à elle même
25 années plus tard ?
1./ Le niveau en bourse des multinationales censées représenter la bonne santé
économique ?
2./ Ou le niveau de vie médian de la population ?
Les économistes, cad les économistes monétaristes, cad quasiment tous (!), et
encore plus les médias roquets et perroquets choisissent le 1./ , au moins
implicitement quitte à chanter hypocritement des louanges sur le 2./, tout en
le reléguant au niveau du rêve inaccessible !!
Mais au café du commerce, et ailleurs - on a envie de dire, partout ailleurs où
la pensée n’est pas corrompue -, on
sait bien que c’est le 2./, seul, qui a un sens ...
Qu’est-ce que ça signifie le 2./ , qu’est-ce que cela suppose, et quel est le
rapport avec l’écologie ?
Cela suppose un système économique qui parte de la base que la vraie, voire la
seule richesse, la raison d’être de ce système, c’est le développement des
peuples, c’est aller à l’école, c’est avoir des hôpitaux dignes, c’est disposer
d’eau potable, c’est être équipé de bons réseaux de communications, c’est
donner une place digne aux vieux et même aux prisonniers, c’est un équipement
toujours plus performant en TOUTE forme d’infrastructure, ce sont aussi bien
d’autres choses relatives à la culture, aux mentalités, au lavage de cerveau
télévisuel (quel gâchis en passant), bref ce sont toutes des choses qui ne
génèrent aucun profit immédiat, qui n’ont de sens que sur le long terme,
qui NE PEUVENT avoir de place digne dans un système monétariste.
Monétariste ou capitaliste ?
Je présume que l’auteur de l’article, et bien d’autres, auraient ici utilisé le
mot capitaliste.
Si vous voulez mais attention, doucement :
monétariste => profit, de nature monétaire, usuraire
(accepter que le profit financier, dû à l’usure et la spéculation soit
supérieur, plus rapide et efficace, que le profit dû au travail et au
développement global. Et l’écologie dans tout ça ? ) Les communistes
peuvent eux aussi être monétaristes, s’ils ne développent pas l’économie
physique !
capitaliste => recherche du profit privé, dans le cadre érigé, système monétariste ou de crédit
Si on refuse ce système (lequel système monétariste est en phase
d’effondrement, pour qui veut bien le voir) qui ne laisse aucune place à ces
légitimes considérations, on se tourne alors vers un système économique qui
permet de penser sur le long terme, cad qui échappe aux impérieuses (et
impérialistes !) logiques de profit immédiat.
Parenthèse : « petit utopiste », va, entend-je de partout !
Pardon ! Un système de crédit c’est ça, pourtant !
Hamilton USA 1776, Roosevelt et son New Deal, même De Gaule.
Qui de nous avons sérieusement considéré ce qu’est un
système de crédit et ses implications ???
Autrement dit, un système de crédit permet de poser les choses comme ça :
« voyons nous avons besoin de ceci, cela, et la logique financière
(capitaliste ou non, disons plutôt monétariste, ou libérale pourquoi pas),
basée elle par nature sur le profit et donc par nature sur le court terme, ne
le permet pas … ? »
« Eh bien l’émission de pognon sera (pourra enfin être) orientée vers des secteurs de l’économie pas obligatoirement rentables immédiatement en termes monétaires, mais vers des secteurs aptes à tirer, fusse à long terme, l’ensemble vers le haut (recherche, infrastructures, …) »
Le but étant « l’accroissement du potentiel de densité démographique », concept né avec Leibniz, et méprisé par les oligarchies de tous les temps … Si si ! Fouinez un peu !!
Bien sûr, dans ces conditions, ce ne sont ni Wall Street, ni les banques d’affaires qui s’enrichissent, mais êtes vous nombreux, ô lectrices et lecteurs à croire encore à cette fable que c’est par des multinationales solides, ( « donc » avides, prédatrices, compétitives) que l’humanité trouvera son salut ?
On est loin de l’écologie ?
L’écologie, pour être pratiquée en bonne intelligence, a
besoin d’un système économique qui permette de penser dans le temps long, qui
n’exige pas systématiquement de rendement immédiat ou à court terme et est poussée vers la porte quand que le profit seul dicte sa loi et son court terme, où, seule, l’action sur les symptômes, semble être possible, voire concevable, et c’est là où « ils » (oligarchie) ont vraiment gagné.
( Passons sur l’utilisation de l’écologie, qui,alors peut être faite, à des fins malthusiennes ... ! )
Changez les effets du système (consommons moins, polluons moins, c’est un ordre ! ) et sa nature abjecte reviendra en courant, malheureusement.
Le vrai combat écologique ne peut pas faire l’économie de
s’attaquer à la cause, à la matrice qui engendre les horreurs. Ce faisant, d’autres aberrations pourraient être résolues
Frapper au point du système qui implique ce « court-termisme » (cad éradiquer le monétarisme, la marque d’un fonctionnement calqué sur le modèle des empires, toujours monétaires), c’est enfin pouvoir accorder une place à une vraie écologie, en premier lieu parce que celle-ci s’inscrit dans la durée entre autres considération.
Si le système économique reste un système monétaire (et non de crédit, création de l’argent exclusivement dédiée à « Bâtir » demain), comment voulez-vous que, au milieu de ces logiques de profit et de court terme, l’écologie ne soit pas bafouée ?
Un âne engendre un âne, une maman crapaud ne fera jamais que des petits crapauds, les chiens ne font pas des chats, parait-il, et un système monétariste, jamais ne sera propice à l’épanouissement de l’Ecologie. Ni des peuples. Croire le contraire relève de l’hypocrisie, ou de la mauvaise fois, ou de l’ignorance, aurais-je envie d’ajouter !
Seul un système économique qui autorise, dans ses
« gènes », à penser dans le temps long, est compatible avec une
écologie juste.
Et ce n’est ni la flore, ni la faune, qui démentiront !!!
Petite Rq : imaginez, si vous aviez pu offrir un bô tracteur à votre arrière - arrière grand père paysan, cela (ce confiné système de crédit ! ) cela aurait-il pu avoir une incidence sur votre vie personnelle ?
Un système de crédit productif, un recentrage sur l’économie physique et bien sûr, bien évidemment, bien nécessairement, un bon Glass-Steegall (séparation des activités bancaires, fini les « too big to fail » !) sont les préludes à une écologie digne de ce nom, non décrétée, mais enfin rendue possible, par d’autres règles du jeu, par le plateau du jeu lui-même, si je puis dire.
Le court terme ou l’écologie, il faut choisir.
Si l’effet est indésirable, que vaut une réponse-médicament consistant à limiter l’effet ?
Le bon médecin aime atteindre la cause de la maladie ! Limiter sa pensée en terme de réduction du symptôme, c’est un peu triste non ?
Si le mur du plafond montre une fuite, vous collez du chwing-gum dans les trous, ou vous allez rendre visite au voisin du dessus ?
Enfin, technologie et écologie ne sont pas antinomiques. Pourquoi le seraient-elles ?
Bien sûr, monsieur lagabe, si tu veux !
Mais rien de cela, à part ton point un, sur lequel je reviens à la fin, la séparation des activités bancaires, (banques d’affaires, les sangsues et banques de dépots, économie physique), rien ne touche à la nature même du système.
Le système, c’est quoi ? Ben voici une approche : un petit nom, le réseau bancaire Inter-Alpha, créé par Rotschield et copaings en 1971, au moment où le dollar cessait d’être accouplé à l’or, représente à lui seul 70% de l’argent mondial, et il est en faillite.
http://www.solidariteetprogres.org/article6826.html  ; « fin du système, il faut savoir sortir à temps » 12 juillet 2010
Ces grandes banques (BNP, Crédit agricole, HSBC, Santander, allo Espagne Brésil, ça va ... ? euuuuuh !, etc. ) ont pu piller prédater, pardon spéculer, perdre, se faire renflouer et crient de nouveau au secours.( Sauver l’Irlande et la Grèce, c’est sauver les Banques, n’est-ce pas ????)
Aucune mesure économique telle que tu les décris, lagabe, ne changera cet asséchement de l’économie physique d’une part et l’effondrement du système d’autre part.
Si tu n’est pas d’accord, prend dix minutes pour une explication lumineuse :
la triple courbe de LaRouche Riemann où il explique la relation agrégat monétaires, financiers et production dans l’économie physique par personne. (Expliqué dans le documentaire « firewall », par exemple, ou à divers endroits sur le site de S et P )
4 ou 5 jours avant que les subprimes ne pétent, en juillet 2007, soit un an avant la dite crise financière, Lyndon LaRouche dit et répète quelques fois, d’un geste catégorique de la main :
« Le système financier est terminé ! » nous sommes en juillet 2007
Et il nous explique depuis 3 ans que le Titanic est percé, que vite vite, Glass Steagall et crédit productif avant de toucher l’eau glaciale, et sinon hyperinflation !
A nous d’en être conscient ou non.
Remarque, avant il disait, enfin pas comme ça : « ce système va péter, c’est dans ses gênes depuis ce 15 août 1971 », ce qui rendait la chose plus facile pour laisser entendre à tous (les lagabe ?, pardon ! et autres consensuels ) que cet homme était ou fou, ou d’extrème droite etc !
En revanche, le point N. 1, c’est à dire la séparation des activités bancaires, Le fameux Glass Steagall global, n’est plus une mince affaire dans un système composé de 55 000 milliards d’argent toxique, fictif, de nature cancéreuse.
Il suppose une gigantesque procédure de mise en faillite ordonnée, et de couper, solutions radicales déjà mises en œuvre dans l’histoire, 4 ans après la crise de 1929, par Roosevelt et son Ferdinand Pecora de procureur en 1933 : Toi untel, richissime, détiens 3 milliards de CDS ou autre poison malin. Et ça ne vaut que 300 millions. Prend ces 300 millions et barre toi !
Un mois plus tard naissait la loi de Glass Steagall, que les sangsues ont réussi à démanteler en 1999.
L’équivalent en France a été impulsé en 1945, mais renié dès 1984 lorsque Jacques Delors instaurait l’existence des « banques universelles », élément dans le système dont la fonction est de privatiser les gains (comme toute entreprise respectable) et de nationaliser les pertes.
La FED et les banques centrales sont des banques privées, eh oui !
Quand ce « détail » atteint le centre du cerveau, il a envie de continuer sa route avec une banderole, destinée à toute synapse qui voudra bien prendre note !
Un Glass Steagall, cela suppose un grand coup de pied dans l’oligarchie et le système, c’est pourquoi personne au sein de ce dit système ne sera prêt à accepter un Gl St pour ensuite redémarrer avec du crédit productif public.
Pourtant, sans cela, même avec lagabe président de la république, le système restera porteur de ses tumeurs malignes, et bonjour l’austérité !
Ce petit lien, particulièrement pour Lagabe mais aussi pour
tout le monde :
http://www.solidariteetprogres.org/article7101.html, conférence sur le crédit
productif public
et pour creuser :
http://www.solidariteetprogres.org/sp_Protectionnisme_regards.php3
La dette, l’émission monétaire, le crédit productif public
L’argument qu’on nous avance généralement, pour
justifier l’existence des banques centrales et le verrou de Maastrich, c’est :
" si vous laissez l’émission monétaire aux mains des états, ceux-ci auront
tendance a faire fonctionner la planche à billets, et ça, c’est
inflationniste"
Fort bien.
Les grands projets d’infrastructure, ceux dont le retour ne se fait sentir qu’une génération plus tard seront donc ou inexistants ou très coûteux en terme d’usure, c’est à dire très juteux pour certains intérets privés. C’est une logique financière.
Les puissances financières, aux USA, ont pu faire sauter le dernier verrou qui limitait leur supprématie :
la loi Glass-Steagall (1933-1999) a été abrogée par Larry
Summer. cette loi instaurait une stricte séparation entre les banques d’affaire
et de dépôt, entre le casino (Wall Street, la City) et l’économie réelle (votre
pognon, l’école de vos enfants, l’hôpital de vos parents, les entreprises de
vos employeurs)
Maintenant, une banque fait banque de dépôt, d’affaire et assurance. Fort bien.
(chez nous aussi, banque universelle, J Delors, 1984)
Ces prédateurs, qui détiennent la dette des états, PIGS et
autres, deviennent des « too big to fail »
La voix était libre alors pour contaminer tout le système avec de l’argent
toxique, ces bulles
financières qui n’ont aucune contre partie dans l’économie réelle.
Le pouvoir de l’émission monétaire a été donné aux banksters, sangsue et autres prédateurs, qui font n’importe quoi, en tout cas certainement rien qui soit apte à réamorcer l’économie réelle. 1$ toxique est 1$ malgré tout.
Et ça, ce ne serait pas inflationniste ?
La spéculation rapportant plus que le travail ou les projets à long terme,
cette machine à drainer le pognon vers le haut ne laisse aucune place à un
acteur économique qui aurait pour fonction d’équiper les nations avec de grands
projets à long terme, projets garantissant un accroissement de la productivité
(pas des profits) dans l’économie physique, mais 20 ans plus tard.
Oui bien sûr, Lagabe, prêter comporte un risque qui doit être couvert etc.
Mais si les états reprenaient le contrôle de leur émission monétaire, ils pourraient alors s’emprunter à eux-même, à un taux d’intérêt minimal et lancer de grands projets dans le monde physique (santé, recherche, énergie …) garantissant un mieux vivre aux générations suivantes.
On préfère, à cela, laisser le pouvoir de l’émission monétaire aux Goldmann Sach et autres « too big to fail » de banques d’affaires (économie de casino) pour engager des sommes considérables (pas grave, le peuple paiera, c’est l’idée !!), argent crée qui n’aura jamais aucun impact positif sur le mieux vivre de nos enfants, le profit monétaire n’améliorant pas l’équipement des populations, l’économie physique.
Dans le système de crédit productif public, c’est précisément parce que tôt ou tard l’argent émis contribuera à améliorer la production physique que cette émission monétaire n’est pas inflationiste. Dans ce système le profit et l’usure ne sont pas une fin en soi, la plus value se mesurant en terme de mieux vivre, si je puis dire. Mais ce système n’enrichit pas l’oligarchie..
Les puissances financières ont toujours saboté les diverses tentatives de réappropriation de l’argent par les peuples. USA 1776. Lincoln. JFK avait aussi sa petite idée…
Nous sommes devant l’effondrement de toute cette escroquerie.
Sans le rétablissement préalable d’une loi Glass Steagall, qui fera le trie entre le toxique et le nécessaire, avant de séparer l’argent du casino et celui qui remplira le frigo ou changera la voiture, on sera amener à tous morfler. L’hyperinflation guette.
Bon ! Cela vous étonnera-t-il si je vous dis que ce bankster de Pébereau, dans libé au tout début de l’été, fustigeait cette idée de séparation des activités bancaires… ?
Too big to fail, éhéh, je te tiens parle kiki ! Et le tour est joué ! Merveilleux ! Welcome to the dictature financière !
On vit une époque formidable : l’effondrement du plus grand empire de l’histoire !
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