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Thomas

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Médecin hospitalier, la quarantaine. Intéressé par la géopolitique, la prévention santé et le développement durable, pionnier de la transparence et de la liberté d’expression, adversaire déclaré des DRM et des systèmes liberticides en général.

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  • Premier article le 02/03/2007
  • Modérateur depuis le 23/08/2007
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Derniers commentaires



  • Thomas Thomas 18 juillet 2007 12:11

    Amusant, intrigant mais en fin de compte guère réaliste.

    Le Québec, que je connais assez pour y avoir vécu et travaillé quelques mois (c’était en 95, en pleine fièvre référendaire) et y avoir voyagé 7 ou 8 fois, est un pays de langue et culture française mais pas de tradition ni de mode de vie français. L’état d’esprit reste celui de pionniers tandis que les Français vivent sur leurs acquis. En plus, la France est un pays profondément centraliste ; comment les Québécois pourraient-ils accepter que tout se décide à Paris, eux qui sont habitués au modèle fédéraliste ? S’il faut en venir à reconnaître les spécificités du Québec au sein de la France alors que nous buttons déjà sur celles de la Corse...

    Du point de vue de la France, intégrer un pays 3 fois grand comme l’actuel territoire national nous conduirait presque à devenir un pays américain avec des annexes en Europe. Et parlant d’Europe, la Turquie dont on rejette l’entrée au motif qu’elle est située à 90% en Asie s’amuserait bien d’une France qui serait située à 75% sur le continent américain !

    Franchement, cette 4ème voie est cocasse mais je ne m’étonne guère de n’en avoir encore jamais entendu parler jusqu’à présent.

    En revanche, si le Canada voulait bien envisager un accord de libre échange voire de libre circulation avec l’Europe, nous aurions fort à y gagner. Je crois justement savoir que le Premier Québécois pousse dans cette direction...



  • Thomas Thomas 17 juillet 2007 08:49

    @l’enfoiré

    « Mais si tu le permets, j’ajouterai un petit hic, tout de même. Parfois, les hopitaux prolongent le traitement parce qu’il y a encore beaucoup d’analyses à faire. Car il y a des poules aux oeufs d’or, aussi. (je fermerai ici la parenthèse car je déconne certainement). »

    J’en profite pour corriger une idée reçue : en France, les hôpitaux et les cliniques sont payés sous forme de forfaits par pathologie pour les patients hospitalisés. Ainsi, pour une pathologie donnée, qu’on garde le patient 2 jours ou 10 jours, pour lui faire 10 examens ou aucun, la somme versée est la même. L’incitation serait donc plutôt à... ne rien faire. Ou plus exactement à faire le maximum en dehors d’une hospitalisation.



  • Thomas Thomas 16 juillet 2007 20:16

    Il ne s’agit pas là que du pur chiffre des membres mais de l’analyse de la composition des nouveaux membres. Je n’ai aucune raison de les remettre en question mais citer ses sources (chaque fois que possible) est toujours un gage de confiance.



  • Thomas Thomas 16 juillet 2007 18:44

    Analyse intéressante... mais vous gagneriez à indiquer vos sources. Êtes-vous membre dirigeante du MoDem pour disposer ainsi de statistiques sur ses adhérents ou reprenez-vous simplement des informations publiées ailleurs ?



  • Thomas Thomas 16 juillet 2007 18:31

    En fait de nom, le votre est le seul qui figure sur cet article. Ainsi qu’un détour par MedLine l’indique, vous avez l’expérience des publications scientifiques et de leurs exigences de références vérifiables. Force est de constater que vous êtes loin d’afficher la même rigueur dans cet article.

    Je suis un simple adhérent MoDem qui n’a guère le temps de participer aux réunions du mouvement mais je suis capable de comprendre la nécessité de mettre en place des structures provisoires et des intérimaires avant d’arriver à un mouvement structuré et démocratique. Je suis également prêt à accepter que la période transitoire implique une part de mesures arbitraires.

    La disparition subite de vingt cadres sur 30 déstabiliserait n’importe quelle entreprise et il ne suffit pas de trouver 20 noms pour les remplacer efficacement. Dans ce genre de circonstances, j’accepte le principe de « mesures d’urgence » le temps de passer le cap.

    Bien sûr, si la démocratie ne s’installait pas dès que raisonnablement possible dans le mouvement, j’en serais très déçu.

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