Je ne me lancerai pas dans ce débat économique, ce n’est pas le sujet.
Cependant je ne saurais trop vous conseiller de ne pas vous contenter de citations toutes faites. Plongez-vous dans la lecture des grands auteurs du libéralisme classique.
Vous y apprendrez notamment qu’un vrai marché d’offre et demande, au sens libéral du terme, doit respecter un certain nombre de critères bien précis. Dans le cas contraire, le marché n’est pas libre.
C’est le cas de la téléphonie mobile qui n’est pas un marché libre pour des raisons techniques.
Dans ce cas précis, tout vrai libéral se doit de souhaiter l’intervention de l’Etat pour imposer des règles qui, seules, garantissent la concurrence.
Si vous ditent le contraire (ce qui est votre droit), alors vous n’êtes pas libéral. Anarchiste, peut-être, mais pas libéral.
@Senatus : Mais précisément, mon cher, nous parlions de popularité. Les chiffres que vous citez sont les intentions de vote du premiers tours. Vous parlez donc d’autre chose.
Et puis vos chiffres ne sont pas contradictoires avec les miens. Marine Le Pen est à 15% ? 20% ? 25% ?
Fort bien. Moi je dis qu’au second tour elle fera 25%. Elle ne sera pas élue.
Moi aussi j’adore l’humour, je suis preneur. Mais soyons sérieux deux secondes :
Savez-vous que le simple fait de posséder un bateau pour aller à la pèche le dimanche vous classe dans la catégorie des riches, dans notre pays ou pratiquement la moitié de la population vit avec le smic ?
Si on se met à l’échelle de la planète, vous êtes carrément un ultra-privilégié, parmi les plus riches des plus riches.
Pour le prix de votre bateau vous pourriez sauver des dizaines de soudanais en faisant don à Médecins sans frontière. Or, vous avez sciemment choisi de conserver cet argent et de laisser mourir des enfants soudanais.
Votre argent n’aurait-il pas pu être mieux investi ?
Le raccourcis est ridicule ? Oui. Ni plus ni moins que cet article.
Enfin... je ne voudrais pas effaroucher vos certitudes d’hommes « libres ».
Vous dites être nostalgique de Tabarly ? Eh bien précisément, ce qui faisait vibrer Tabarly, c’était la vitesse et la technologie ! Et il le répétait, lui-même n’aimait pas la mer, tout ce qui l’intéressait, c’était l’exploit sportif et technologique !
Comme Loic Peyron, il faisait fabriquer des bateaux avec de gros soutiens financier, uniquement pour le plaisir du défi.
Loic Peyron et le trophée Jules Verne, sont les héritiers directs de Tabarly.
Vous tous, autant que vous êtes, parlez de choses que vous ne connaissez pas. Et je trouve ça dommage.